
Libre, seul et assoupi
Auteure: Romain Monnery
Nombre de pages: 13Un premier roman naturaliste, classique et goguenard, récit de formation de la génération précaire, entre stages et colocation.
Un premier roman naturaliste, classique et goguenard, récit de formation de la génération précaire, entre stages et colocation.
Toutes les histoires d'amour sont des questions sans réponse : où commence l'indifférence ? CDD ou CDI ? Comment se dire adieu ? Quel rapport entre le yéti et le point G ? Est-ce que ronfler, c'est tromper ? Deux garçons, une fille, combien de possibilités ?Sur fond d'Internet et de chansons populaires, Le Saut du requin explore le fonctionnement d'un couple moderne perdu entre non-dits et pas chassé. Bref, ceci n'est pas une comédie romantique, mais ça y ressemble.
Quitte à prendre la porte, autant soigner sa sortie ! Et si la démission n’était plus un saut dans le vide mais un vol plané soutenu par une nuée de ballons multicolores ? Si claquer la porte, au lieu de mener droit dans le mur, offrait un appel d’air, une occasion de régler ses comptes en tout bien tout honneur – et malice. Car il ne faut jamais perdre de vue que le travail, quel qu’il soit, reste une farce. Pour tous les velléitaires de l’abandon, les victimes du ras-le-bol général, les dépressifs chroniques ou occasionnels, voici un petit guide de la rupture qui leur donnera les raisons (ou la manière) de franchir le pas. Un exercice de style jubilatoire et salvateur, à savourer comme un pot d’adieu.
Dans une forme de journal intime composé de séquences, de micro fictions comme on en tient sur un blog, Romain Monnery donne les instantanés de la vie d'un jeune homme d'aujourd'hui dont l'existence s'efface peu à peu dans l'inanité de son destin et de son époque. Mémoires d'un jeune homme superflu est le carnet de route drôle, détaché et mélancolique d'une disparition au monde, un monde où la profusion des objets et des signes souligne l'absence de rêves et de raisons d'être, le vide existentiel et la solitude des êtres. A la fois réaliste et poétique, ironique et grave, profond et léger, Romain Monnery, cousin de Tao Lin et petit frère de DFW, confirme la place singulière qu'il occupe dans le roman français.
« L’âge adulte, c’est ce club à la mode où tout le monde arrive à rentrer sauf toi. » « La colocation, c’est comme une pizza. Sur le papier ça s’annonce délicieux. » « La danse, c’est ce truc qu’on fait en soirée dans l’attente hypothétique que les filles soient assez fatiguées pour vous tomber dans les bras. » Avec un humour irrésistible, un jeune homme superflu décrit les affres de cet âge où l’on cherche sa place entre la peur de vieillir et l’angoisse de se faire remarquer, savoir s’il faut regarder derrière ou devant soi. Colocation, travail, virées nocturnes... tout semble mener à la même conclusion : à quoi bon ?
Toutes les histoires d’amour sont des questions sans réponse : où commence l’indifférence ? CDD ou CDI ? Comment se dire adieu ? Quel rapport entre le yéti et le point G ? Est-ce que ronfler, c’est tromper ? Deux garçons, une fille, combien de possibilités ?Sur fond d’Internet et de chansons populaires, Le Saut du requin explore le fonctionnement d’un couple moderne perdu entre non-dits et pas chassé. Bref, ceci n’est pas une comédie romantique, mais ça y ressemble.
Vingt-cinq ans et bac + 5, "Machin" vit chez ses parents qui, excédés de le voir végéter, finissent par le mettre à la porte. Il rejoint une amie à Paris qui lui propose une colocation, et trouve un stage dans une chaîne de télévision. Exploitation, finances à marée basse et avances du patron, il quitte le monde du travail. Le roman naturaliste des désillusions perdues, où l'initiation d'un anti-Rastignac d'aujourd'hui se joue entre échec volontaire et résignation constructive.
VOUS AVEZ TOUJOURS RÊVÉ DE SAVOIR : Ce qu’est un éditeur indépendant ? Comment se définit une ligne éditoriale (et comment on la tient) ? La vérité sur les rapports auteurs-éditeur ? Ce qui se passe dans le service des manuscrits ? Qu’est-ce que la Pop Culture ? Pourquoi le diablotin se déplace sur la couverture ? Comment Jean-Paul Didierlaurent a publié son premier roman ? Pourquoi les lecteurs sont scotchés par la langue de Gaiman ? Que fait Nicolas Rey quand il n’écrit pas ? Comment fait-on pour vendre poésie et nouvelles ? Combien d’essais il faut pour trouver la bonne couverture ? ALORS LISEZ CE LIVRE ! L’histoire pop d’une maison d’édition indépendante qui fête 20 ans de combat et d’engagement pour la littérature et l’imaginaire. À la fois plongée dans les coulisses de la création du livre et découverte par le menu d’une « maison pas comme les autres », voici le récit d’une aventure éditoriale semée d’embûches et de rencontres précieuses. Avec : • L’histoire de la maison • Une conversation avec Marion Mazauric, la diablesse en chef • Un dictionnaire du Diable • Des entretiens avec auteurs et amis qui évoquent...
Est-il naturel d’être fidèle à la même personne toute sa vie ? Les alternatives à la monogamie mènent-elles à davantage de bonheur ? Peut-on empêcher la passion de s’user avec le temps ? D’orgies sous Viagra en cliniques pour dépendants sexuels, de laboratoires de pointe en harems des temps modernes, Neil Strauss va chercher des réponses... Ce qu’il croyait savoir sur l’amour, le sexe et lui-même en sera changé à jamais.
imaginons qu’une femme rencontre un homme parce qu’il écrit d’une certaine façon, il se pourrait que la femme lui suggère assez vite une autre façon d’écrire. mais si l’homme aime la femme en question, il continuera d’écrire à sa façon, et si l’homme aime le poème il continuera d’écrire comme il le doit, et si l’homme aime la femme et le poème, il sait ce qu’est l’amour deux fois plus que n’importe qui. je sais ce qu’est l’amour. ce poème est là pour le rappeler à ces dames. Insolent, franc, brut, parsemé d’humour et de sentiments, un recueil inédit des écrits du poète sur l’amour.
Au cours des années 2000, les séries télévisées ont acquis leurs lettres de noblesse, et certaines font jeu égal avec les meilleures productions cinématographiques. Cette deuxième édition du Dictionnaire des séries télévisées entend offrir aux lecteurs débutants, amateurs ou éclairés, un regard d'ensemble – autant descriptif que critique – sur la production télévisée de ces quatre-vingts dernières années. Chaque notice présente ainsi les informations techniques indispensables (créateur, acteurs, production, diffusion...), une note d'appréciation, un " pitch " de départ, et l'opinion de son auteur. Environ 4 200 entrées – plus de 900 nouvelles et des centaines actualisées – traitent de la totalité des séries diffusées en France depuis l'origine de la télévision. Se côtoient ainsi Chapeau melon et Bottes de cuir, Dr House, Thierry la Fronde, Les Experts, Dallas, Seinfeld, Six Feet Under, Sur écoute, Mad Men, Falco, True Blood, House of Cards, Derrick, Downton Abbey, Friends, Les Soprano, Game of Thrones, Columbo ou encore Breaking Bad, époques et genres confondus. À ce corpus s'ajoutent un glossaire du jargon sériephile, une bibliographie ...
Un plaidoyer pour nos petits commerces, que l'auteur plusieurs fois primé de Fruits et légumes espère ardemment voir refleurir. Sa plume tout en nuances est aux couleurs des charmes d'antan, et encense ce lien d'humanité, si nécessaire, qui se vit au quotidien. Prix Renaudot essai 2021. Mercerie, droguerie, modiste, quincaillerie, marchand des quatre-saisons, papeterie... Chaque Français a dans le coeur un petit commerce. Ces lieux essentiels sont notre art de vivre. Il fallait un écrivain pour les célébrer. Un enfant de commerçants, de surcroît. Anthony Palou a grandi dans une famille de marchands de primeurs, d'origine espagnole, qui s'est installée en Bretagne. Dans ma rue y avait trois boutiques est un tendre plaidoyer pour les petits commerces. D'une plume subtile, alliant humour et mélancolie, Anthony Palou y conte les boutiques et les artisans de sa vie, de Quimper à Paris, en passant par tous les coins de l'Hexagone. Pour lui, rien n'est perdu, les beaux jours sont devant nous.
Une anthologie de textes inédits sur l’écriture, le quotidien d’une véritable légende américaine, icône de la contre-culture. Ces lettres aux éditeurs, directeurs de revues, amis et confrères écrivains pour la première fois publiées, dessinent un portrait intime du grand poète tour à tour poignant, glacial, iconoclaste et souvent hilarant. On y découvre le rapport inquiet au travail, l’érudition littéraire, mais aussi le mordant, l’intransigeance de celui qui a donné voix aux opprimés et dépravés de la société, dans des phrases mémorables ponctuées de moments de grâce.
Sortir l'ancienne analyse idéologique de ses impasses, situer la socialité du texte au principe même de sa mise en forme, penser la textualisation comme un rapport créatif et dynamique avec des discours, des représentations, des langages, se distinguer ainsi radicalement de la sociologie de la littérature, telles sont les bases fondamentales de la sociocritique exposées dans les travaux de Claude Duchet, d'Edmond Cros, de Pierre V. Zima ou Régine Robin.
j’ai 90 mille dollars à la banque 50 balais 125 kilos sur la balance jamais réveillé au son d’une alarme et suis plus proche de Dieu que ne l’est le moineau. Une anthologie de poèmes inédits parus dans d’obscurs magazines, conservés dans des bibliothèques et collections privées. Profonde, rythmée, transgressive, hilarante, vernaculaire, la poésie de Bukowski est à l’image de son auteur : aux antipodes de la littérature académique.
Enseignes, coordonnées et heures d'ouverture pour acheter des articles de qualité moins chers. Avec, dans cette édition 2006, un dossier spécial pour les femmes : des bons plans mode, bijoux et accessoires, mais aussi des adresses de salons de thé, de centres de bien-être, soins, relaxation et beauté.
Une anthologie de textes inédits et illustrés sur l’alcool par le plus grand boit-sans-soif de la littérature américaine. Splendeurs et misères d’une âme imbibée d’alcool. Dans ce recueil de prose et de poésie couvrant l’ensemble de sa carrière, Charles Bukowski se sert de la bouteille comme d’une longue vue pour observer au plus près le spleen et l’idéal des déchus de l’Amérique. Sans jamais se départir de son sourire en coin, celui qui s’autoproclamait « le vieux dégueulasse » raconte comment l’alcool lui servait à la fois de muse, de combustible et de gaz hilarant.
Une redécouverte intime et politique du Che à travers les lettres à ses proches pour la première fois publiées. Des premières pérégrinations à moto à travers l’Amérique latine aux dernières expéditions tragiques au Congo et en Bolivie, en passant bien sûr par la révolution cubaine, les lettres d’Ernesto Che Guevara rassemblées ici couvrent toute sa vie. Des plus personnelles aux plus politiques, cette correspondance largement inédite donne à voir le Che fils, ami, amant, guérillero, leader politique, philosophe et poète – un homme enjoué, drôle, parfois sarcastique et profondément aimant, toujours exigeant. Véritable autobiographie épistolaire, un extraordinaire document qui nous permet de comprendre, derrière l’icône, qui était vraiment le Che.
Rhône actualité, recueil des actes administratifs, Préfecture du Rhône
Rapports du préfet et procès-verbaux des délibérations - Conseil général du Rhône
Annuaire du commerce Didot-Bottin
Depuis une dizaine d’années, la notion de « services écosystémiques » est devenue incontournable quand on parle de biodiversité. Cet ouvrage aborde les origines, les causes et les conséquences de cette notion ; il fait le point sur la genèse et la diffusion de la notion, son transfert dans les espaces nationaux et sa réalisation effective ou potentielle dans des instruments ou des politiques.
" Lorsque lui arriva cette histoire de pigeon qui, du jour au lendemain, bouleversa son existence, Jonathan Noël avait déjà dépassé la cinquantaine, il avait derrière lui une période d'une bonne vingtaine d'années qui n'avait pas été marquée par le moindre événement, et jamais il n'aurait escompté que pût encore lui arriver rien de notable, sauf de mourir un jour. Et cela lui convenait tout à fait. Car il n'aimait pas les événements, et il avait une véritable horreur de ceux qui ébranlaient son équilibre intérieur et chamboulaient l'ordonnance de sa vie. " Qu'est-ce qu'un événement? Que se passe-t-il, en somme, quand il se passe quelque chose dans la vie d'un homme? Tel est au fond le sujet, étonnamment simple et profond, de ce nouveau conte philosophique et cocasse de l'auteur du Parfum. Patrick Süskind est né en 1949 à Ambach, en Bavière. Il a fait des études littéraires à Munich et à Aix-en-Provence et exerce le métier de scénariste. Outre le Parfum, best-seller mondial, il a écrit une pièce de théâtre à un personnage, la Contrebasse.
Des ivrognes. Des brutes. Des assassins. Ils se saoulent dans des bars de l’Est Hollywood, ils tabassent des policiers, il leur arrive même de violer des cadavres, dans une expédition bouffonne. Tels sont les (anti) héros des récits composant ces Nouveaux contes de la folie ordinaire. Où le légendaire « Buck » s’en prend une nouvelle fois à l’intolérance de l’Amérique de la réussite et de l’argent. Bienvenue parmi les marginaux magnifiés, princes et seigneurs de la misère.
Un jour, ce n'est rien mais je le raconte tout de même, un jour d'hiver, je me suis mis en tête de réparer le radiateur de ma salle de bains (...). Je ne sais pas ce qui m'est passé sous le crâne ce jour-là, je me suis cru l'un de ces magiciens de la vie pour qui tout est facile. Il faut dire que jamais encore je n'avais été confronté à de réels obstacles, (...) alors naturellement, j'étais naïf. " Halvard Sanz est un gentil garçon. Signe particulier : doué pour les catastrophes en série. Il y a des gens qui n'ont pas de chance mais qui, genoux à terre, toujours se relèvent. Halvard est de ceux-là. Quête initiatique, roman picaresque, amour allégorique, loufoques aventures servies par une verve intarissable... Mais le chameau sauvage, dans tout ça ? Quand vous en connaîtrez le principe, comme Halvard, vous verrez la vie différemment.
Une jeune fille ivre de liberté tue son père en le poussant dans l'escalier, puis, débarrassée de sa famille, se retrouve devant un autre mur, celui d'un amour impossible, et en devient folle. Le roman s'ouvre avec la force d'un torrent freudien: debout, les mains derrière le dos, Adrienne regarde le cimetière, c'est-à-dire la collection d'ancêtres qui la jugent sur le mur du salon. Eux aussi ont dû, un moment ou l'autre de leur jeunesse, avoir eu envie d'autre chose, suivre un saltimbanque, partir au hasard, changer de Je pour oublier leur état civil. Adrienne est la somme de ces envies avortées. Elle passera à travers sa vie comme à travers une vitre. C'est une soeur de l'Idiot; Dostoïevski l'eût aimée et plainte. L'innocence lui colle à la peau, après son crime comme après ses aveux d'amoureuse. C'est une sourde-muette dans une ville d'aveugles. Et sa jeunesse ne fait qu'aggraver ce sentiment que jamais elle ne pourra franchir les murs que la société dresse autour de nous, convenances, préjugés ou simplement indifférence.
Cela fait deux ans que Cinnia espère que sa relation avec Henri Sauveterre évoluera vers un amour sincère. Depuis qu'elle a accepté d'être sa maîtresse, cependant, il ne lui offre rien d’autre que des nuits aussi exquises que redoutables. À cause de cette passion qui les lie en une intimité bouleversante, elle ne parvient pas à le quitter, alors qu'elle sait à présent qu’il ne partagera jamais ses sentiments ! Aujourd'hui, pourtant, elle doit partir. Car son rêve de fonder une famille est sur le point de se réaliser. À un détail près : elle attend des jumeaux d’un homme qui n’a aucune envie d’être père...
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