
Dès que je l'ai sentie, je devais me retrouver entre ses jambes. La femme humaine se retourne et fonce droit dans ma poitrine. "Oh !" dit-elle, puis elle s'arrête, figée en me fixant. "Salut." Moi aussi, je reste bouche bée. Cette femme ne ressemble en rien aux autres que j'ai vues. Elle est mince, avec de longs cheveux noirs flottants. Ses traits me sont aussi étrangers que ceux des humains, mais pour une raison quelconque, je trouve son visage agréable. Sans m’en rendre compte, ma langue se faufile entre mes lèvres pour sentir mon environnement. Mais tout ce que je peux sentir, c'est elle. Et je n'ai jamais rien senti d'aussi délicieux de toute ma vie. LA MIENNE. Une convulsion soudaine déchire mon corps. Quoi ? Non ! Non, ce n'est pas possible ! Je ne peux y résister longtemps cependant. Le cri intérieur est bien plus fort : Elle est à moi, à moi, à moi, à moi. A MOI. A MOI.
Pour la première fois réunis, les textes critiques et autobiographiques du cinéaste Bernardo Bertolucci. L'auteur du Dernier Tango à Paris et du Dernier Empereur s'attarde sur certains tournages, raconte ses passions au jour le jour, évoque sa vie et ses admirations. Ses très jeunes débuts le propulsent au-devant de la scène. Et les films, tous très personnels, que leur sujet soit politique ( Le Conformiste, La Stratégie de l'araignée ou '900 ) ou intimiste ( Prima della rivoluzione, Un thé au Sahara ) s'enchaînent pour ce réalisateur tourmenté, angoissé. Le plus littéraire des cinéastes italiens, le plus raffiné et peut-être aussi le plus dérangeant, livre un autoportrait qui est presque une auto-analyse. Textes choisis et édités par Fabio Francione et Piero Spila, traduits de l'italien et préfacés par René Marx.
Pour la première fois réunis, les textes critiques et autobiographiques du cinéaste Bernardo Bertolucci. L'auteur du Dernier Tango à Paris s'attarde sur certains tournages, raconte ses passions au jour le jour, évoque sa vie et ses admirations. Parrainé par son père, le poète Attilio Bertolucci et par Pier Paolo Pasolini, il commence une carrière de poète, vite interrompue, en devenant l'assistant de Pasolini qui lui offre un scénario pour qu'il le tourne (La Commare secca). Ses très jeunes débuts le propulsent au devant de la scène. Et les films, tous très personnels, s'enchaînent pour ce réalisateur tourmenté, angoissé qui va prendre la tête de la génération postérieure à celle de Fellini, Visconti, Bolognini, Rossellini. Il s'exprime ici sur son esthétique et sa psychologie, dialoguant avec des journalistes, mais aussi avec sa femme Clare Peploe ou avec Wim Wenders, sans pour autant se priver de la parole directe. Il trace des portraits émouvants de Maria Schneider, de Laura Betti, de Marlon Brando, de Robert De Niro, de Godard, de Moravia, de Pasolini, de Kubrick, de Garrel. Il fournit une sorte d'anthologie personnelle de sa cinémathèque privée...
En 2004, la voiture accidentée d'une élève infirmière sans histoires, Maura Murray, est retrouvée à des centaines de kilomètres de chez elle. Aucune trace de la jeune fille, qui était sur le point de se marier. Plus troublant encore, lorsqu'on ouvre son appartement, on constate qu'elle s'apprêtait à déménager, alors qu'elle n'en avait parlé à personne, ni à ses amies, ni à son futur mari, ni à sa famille. Quel était le secret de Maura ? Et qu'est-elle devenue ? En 2010, l'affaire Murray, jamais résolue, n'intéresse plus grand monde sauf un homme très particulier, James Renner. Celui-ci a été victime, à l'âge de onze ans, d'un grave traumatisme : il est tombé fou amoureux d'une jeune fille de son âge en voyant sa photo affichée dans son quartier avec la mention " Portée disparue ". Il en a conçu une obsession dévorante pour les crimes non résolus, qui l'a mené aux confins de la folie. Un test de psychologie clinique, le MMPI, a montré que son esprit fonctionnait de la même façon que celui des tueurs en série et des meilleurs flics américains. Renner a d'abord essayé de fuir cette part sombre, en vain. Lorsqu'il décide de renouer avec ses...
Il incarne ses pires cauchemars. Il y a cinq ans, ma famille a été tuée. Maintenant, je traque les responsables, que j’extermine les uns après les autres. La vengeance guide mes pas, mes pensées... jusqu’à elle. Sara Cobakis, la femme de ma cible. Une femme que, maintenant, je suis bien déterminé à posséder. Elle est sa victime collatérale. Il est venu à moi dans la nuit, un assassin russe cruel à la beauté sombre. Il m’a torturée et il m’a détruite, faisant voler ma vie en éclats dans sa quête de vengeance. Je croyais être forte. Je croyais pouvoir survivre à tout. Je me trompais. Maintenant, mon tourmenteur veut m’avoir pour lui seul. Ce coffret pratique à prix réduit comprend les deux premiers tomes de la série Mon tourmenteur : Mon tourmenteur et Mon obsession
De la mère aux épouses et aux amantes, toute l'oeuvre d'Ellroy procède du féminin et trouve sa source dans cet héritage maternel : l'obsession. En six mouvements d'une tumultueuse symphonie, James Ellroy revisite les moments clés de ses relations avec les femmes qui ont compté dans sa vie, à commencer par sa mère. Après Ma part d'ombre et la vaine traque de l'assassin de sa mère, Ellroy entreprend une autre forme d'exorcisme : annuler cette malédiction à travers la quête des autres femmes, passer de Elle à Elles. Les femmes comme cristallisation du désir, sources d'influence ou d'inspiration littéraire, sont au centre de ce récit dans lequel Ellroy se raconte avec une féroce absence de complaisance. Mélange de rigueur, de mysticisme et de sexualité, ce livre rassemble toutes les fulgurances et les faiblesses d'un homme hors du commun. Il est impossible de ne pas éprouver de sympathie pour ce petit garçon abandonné qui vit en Ellroy et aspire à la rédemption. (New York Times Book Review)
Est-ce que quelqu’un attrapera ma main Avant l’impact d’une chute Sans issue Après ces années de lutte Y aura t-il quelqu’un pour me choisir et m’assurer un lendemain ensoleillé A quoi bon sourire Juste pour tromper les apparences « Souris, on te souriras. Pleure, seul tu seras » Je souris mais personne ne me répond Même les fantômes du passé S’enfuient à ma vue.
Sur les ruines d’un monde post-effondrement, trois générations de femmes se retrouvent dans un bunker avec des androïdes dernière génération à leurs côtés.
L'hommage d'un fils à son père. " Quand j'avais quelque chose d'important à lui dire, j'ai souvent été plus à l'aise de le faire à l'écrit. Aujourd'hui, je n'ai plus le choix, je ne peux plus l'appeler ni lui parler de vive voix. Ce livre arrive donc au bon moment, il va raconter notre collaboration qui débuta également à point nommé, juste à temps pour que nous puissions faire table rase, et repartir sur un pied d'égalité. Toute mon enfance, et même à l'âge où j'aurais dû m'affirmer en tant que jeune adulte, Victor m'impressionnait beaucoup trop pour que nous parvenions vraiment à nous aimer, mais l'écriture de scénarios nous a rapprochés, et pour un temps, les rôles furent inversés : j'étais le père de Louis La Brocante, et lui n'a jamais désarmé, il a toujours tout donné. Après plus de quarante épisodes, il parvenait encore à me surprendre, une émotion, un mot, un geste que je n'avais pas imaginés. En partant de mes premiers souvenirs d'enfant ébloui par les décors et les costumes du TNP, je vais remonter le temps en sa compagnie et partager ce qu'il fut. Ce qu'il a été. " Richard Lanoux
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
« Mon père s'appelait Jacques Dominati. Il été conseiller de Paris, député et maire, sénateur, secrétaire d'état sous Giscard d'Estaing. Voilà pour la version officielle. Mais il n'est pas question de l'homme politique dans ce livre. J'ai perdu mon père. Certains événements de sa vie, j'en connaissais les grandes lignes d'après les récits innombrables, rapides et drôles qu’il en faisait parce qu’il était un conteur de talent, mais il me manquait les détails qui donnent corps à l'écriture. Le fil rouge du livre est un roman, celui que mon père a commencé à écrire dans sa jeunesse. André Malraux l'a repéré et encouragé. C'est aussi avec Malraux que mon père s'est engagé en politique et cet engagement l'a tenu debout et ardent jusqu'à l'âge de 89 ans. C'est un peu l'histoire d'un jeune homme qui n'est pas devenu écrivain dans la France d'après-guerre. Je me suis toujours demandé comment les hommes devenaient des hommes. Par moment le récit s'apparente à un roman de formation, avec l'aventure de la Résistance en Corse lors du soulèvement en 43 puis le campus du sanatorium des étudiants de Saint Hilaire du Touvet, creuset de débats...
Alors qu’il est âgé seulement de dix ans et demi, Gabriel perd subitement la vue. Un jour, un médecin réussit enfin à poser les mots : Gabriel souffre de la maladie de Leber, une neuropathie optique d’origine génétique, qui a été guérie. La vie, enfin, redémarre.
Le Serviteur marocain de Jan Vander Laenen L’auteur, Jan Vander Laenen, Belge néerlandophone, est un écrivain bruxellois vivant de ses rentes. Il vit une sexualité quotidienne liée à l’alcool dans un bar cuir. Il y rencontre Mimoun, un jeune Marocain dont il tombe vite éperdument amoureux. Il le dénonce à ses parents afin que ce dernier, chassé du foyer familial, puisse trouver asile chez lui. De ce jeune amant, il fait un serviteur. Un domestique particulier puisque, à son attention, il recrée Les contes des Mille et Une Nuits dans des nouvelles gaies, imaginatives et bien troussées. Le Serviteur marocain a été publié en Belgique néerlandophone et en Italie. Découvrez notre catalogue sur http://www.textesgais.fr/
"Je sens ma poitrine se serrer et devenir douloureuse, comme si elle allait éclater. Je me tiens nonchalamment contre le comptoir, mais ce que personne ne voit, ce sont les mains de cet homme en train de presser mes seins, pinçant ma peau entre ses doigts. Si je me concentre et reste parfaitement calme, j'arrive à sentir le duvet de poils recouvrant les mains de l'homme sur mon avant-bras. Je retiens ma respiration et laisse échapper un court soupir tout en me redressant pour pouvoir l'observer. Je croise son regard." Cette histoire courte est publiée en collaboration avec la productrice de films suédoise Erika Lust. Son intention est de dépeindre la nature et la diversité humaines à travers des histoires de passion, d'intimité, de plaisir et d'amour en associant de puissants récits et l'érotisme. Sarah Skov est le pseudonyme d'une jeune autrice. Elle a notamment écrit les nouvelles érotiques Virées excitantes, Mange avec moi, En ta mémoire et Le Féministe
Cet essai au titre évocateur est, de fait, un projet politique que l'auteur, Pierre Mila Assouté, propose à tous les Camerounais, hommes et femmes, où qu'ils se trouvent dans le monde. Son objectif, en écrivant ce livre sous la forme d'une lettre ouverte adressée à tous ses compatriotes et dont il attend une réponse claire et ferme, est de remettre ce pays d'Afrique centrale sur les rails de l'histoire, de la démocratie et du progrès. Son ambition est de mobiliser tous les Camerounais autour d'un nouveau projet de société qui suscite et féconde l'imagination créative de ce peuple jeune, audacieux et dynamique et tout autant assoiffé de bonheur, de paix et de justice. L'auteur, par ce livre, invite l'ensemble des Camerounais à faire de leur pays une véritable démocratie moderne. Résolument tourné vers l'avenir, cet essai campe un horizon pour tous les Camerounais afin d'écrire ensemble l'une des plus belles pages de leur histoire. Pour cela. Pierre Mila Assouté s'adresse à l'ensemble des Camerounais pour bâtir avec eux, pour eux et par eux, une nation solide, un Etat fort et républicain, une économie dynamique et florissante, dans une posture d'ouverture,...
Tout les sépare… sauf le désir. Darian est froid, sûr de lui et habitué à ce que tous lui obéissent sans poser de questions : quoi de plus normal quand on est roi ? Propulsé très jeune sur le trône de Karanie, petit royaume méditerranéen, il s’est forgé une apparence rigide et ne laisse rien ni personne l’ébranler. Mais Elsie entre comme une tornade dans sa vie, et tout se retrouve sens dessus dessous. La jeune étudiante écossaise se moque complètement du titre de souverain de Darian, des convenances et du protocole ; elle n’hésite pas à lui tenir tête et lui dire ce qu’elle pense, ce qui rend le roi complètement dingue. Leurs échanges sont aussi passionnés qu’électriques. Rien n’est possible entre eux. Rien, vraiment ? *** – Embrasse-moi, je lui ordonne. – Non. Elle a appuyé ses mains sur le revers de ma veste de smoking ; pour autant, elle ne me repousse pas. Au contraire, elle me nargue de ses grands yeux splendides. Je remonte la main sur l’arrière de sa nuque. D’habitude, j’aime les cheveux longs chez une femme. Chez elle, j’adore le contact de la peau nue de son cou dans ma paume. Je glisse mes doigts dans ses mèches...
Qui a dit que la France était bien incapable de produire le meilleur du gothic-rock ? Qui a dit que Nice, ville asservie à l'astre solaire, se révélait bien peu propice à l'émergence d'une musique sombre née d'un romantisme noir et décadent ? C'est sur la base de ces contradictions que naissent au début des années 90 les Corpus Delicti, groupe marqué par l'héritage de Bauhaus, Siouxsie, Cure et Christian Death, et qui fera de notre pays le point focal d'une attention médiatique toute particulière. Des accointances résolument batcave aux errements industriels, La déliquescence des ombres est la quête d'une vérité savamment portée par les inspirations artistiques et la vie. Loin des sphères commerciales et conventionnelles de la culture, ces cinq ombres ensoleillées à peine sorties de l'adolescence vont réussir à engendrer un art le plus souvent raffiné, d'une maturité exceptionnelle et, parfois aussi, désespéremment théâtral et chaotique. Un art marqué par son temps; un art, malgré tout, atemporel.
« Road-movie d’une âme blessée, portrait d’un insoumis égaré dans l’Amérique du profit, De Marquette à Veracruz est aussi un chant d’amour adressé à ce Michigan encore édénique dont Harrison fait entendre le moindre murmure, sous les caresses du vent. Un roman magistral. » André Clavel, L’Express « D’un trait de plume, Jim Harrison métamorphose « Poor Little Jimmy » en véritable personnage de roman. [...] Dans sa voix pointe une mélancolie bizarre. Cette mélancolie si fine, infiniment belle, qui électrise tout son récit, En marge, et qu’il nomme « saudade » ». François Busnel, Lire « Jim Harrison, il vous prend aux tripes. Il vous noue la gorge. Vous auriez bien envie de jouir calmement de sa plume, de ses personnages... mais voilà, un livre de Jim Harrison on ne peut pas s’empêcher de le dévorer. La route du retour, est un monument. » Christine Brulé, Ouest France Dimanche
Dans REAL et MINE, Brooke nous a plongé de l'univers de Remington Tate. Comment un homme aussi complexe que Rémy a-t-il vécu leur histoire ? Laissez-le vous raconter son point de vue. Boxeur star de la ligue underground, Remington Tate est un mystère, même pour lui-même. Son esprit est à la fois sombre et lumineux, torturé et plein d'espoir. Si son comportement et son humeur sont souvent tout en mesure, il peut aussi d'un coup perdre tout contrôle. Aucune femme avant Brooke Dumas n'a connu ses secrets les plus intimes, ses pensées les plus profondes. Mais dès qu'il pose ses yeux sur elle, il sait sans l'ombre d'un doute, que la seule raison qu'il aura désormais de se battre, ce sera elle. À partir de là, il n'aura qu'une obsession : vouloir, désirer, aimer et protéger Brooke. Maintenant que ce couple si intense et si sexy a réussi à surmonter ses énormes difficultés, Katy Evans vous propose d'entrer dans l'esprit de Remy.
Daniel Montvillard rentre de week-end avec sa femme et son fils lorsqu’un terrible accident, survenu dans de mystérieuses circonstances, brise sa vie. Convaincu qu'un événement extérieur a provoqué le drame dont il est le seul survivant, il décide de tout faire pour retrouver le responsable. Son enquête l'entraîne alors au coeur de la sombre forêt lozèrienne, dans l'univers inquiétant des romans de HP Lovecraft. Il y découvrira un secret terrifiant qui menace l'humanité tout entière, le faisant sombrer peu à peu dans la folie...
Tous les hommes désirent naturellement savoir est l’histoire des nuits de ma jeunesse, de ses errances, de ses alliances et de ses déchirements. C’est l’histoire de mon désir qui est devenu une identité et un combat. J’avais dix-huit ans. J’étais une flèche lancée vers sa cible, que nul ne pouvait faire dévier de sa trajectoire. J’avais la fièvre. Quatre fois par semaine, je me rendais au Kat, un club réservé aux femmes, rue du Vieux-Colombier. Deux cœurs battaient alors, le mien et celui des années quatre-vingt. Je cherchais l’amour. J’y ai appris la violence et la soumission. Cette violence me reliait au pays de mon enfance et de mon adolescence, l’Algérie, ainsi qu’à sa poésie, à sa nature, sauvage, vierge, brutale. Ce livre est l’espace, sans limite, de ces deux territoires.
TOME 3 BIKER BRIT Holly Hatfield est bibliothécaire, elle est fougueuse et intelligente et parle avec un accent britannique très sexy. Elle porte des jupes crayon, des chemisiers en soie et des talons aiguilles. Elle est ultra-classe, mais son attitude est toujours stricte. Elle a peur de l'engagement et se méfie des hommes qui lui ont toujours menti et l'ont toujours trompée. Theodore " Tank " Bradshaw est un ex-marine et il s'occupe de la sécurité du Hero's Pride. Il doit son surnom au fait qu'il a conduit des tanks lorsqu'il servait en Afghanistan et qu'il est très costaud. C'est un grand amateur de femmes qui l'aident à chasser les démons auxquels il est confronté. Holly et Tank se rencontrent et se découvrent une certaine attirance l'un pour l'autre, mais seulement en tant que " sex friends ". Aucun des deux ne cherche une relation sérieuse. Mais lorsqu'un club de motards rival débarque en ville et commence à jouer sur le territoire de Tank, celui-ci est obligé de se dévoiler. TOME 4 BIKER BOSS Tammy Hamilton débarque de Californie pour venir en aide aux autorités locales contre une bande de criminels qui s'en prennent au Hero's Pride. En général, les...
C’est dans l’appartement où Maude passe ses vacances qu’elle découvre pour la première fois un livre du romancier Thomas Lubeigt. Fascinée, elle s’empresse de plonger dans l’univers de ce célèbre auteur. Mais à mesure qu’elle découvre son œuvre, Maude est confrontée à une révélation stupéfiante : des pans entiers de sa vie se retrouvent dans ces pages, comme si Thomas la connaissait personnellement. Quelle est donc l’étrange connexion que les unit ? Peut-on imputer au seul hasard ces coïncidences frappantes ? Personne ne peut répondre à ses questions, pas même Thomas Lubeigt qu’elle parvient à rencontrer. A force d’essayer de comprendre, Maude s’enfonce dans l’obsession, jusqu’à la perte de conscience. A son réveil, elle n’a oublié qu’une seule chose : l’existence même de Thomas Lubeigt. Commence alors pour elle un parcours initiatique qui la conduira des replis enfouis de sa mémoire jusqu’à Bali, au cœur d’une intrigue empreinte de phénomènes inexpliqués, d’irrationnel et de rituels ancestraux.
La vie offre toujours son lot de surprises, de joies et de souffrances. L'important est ce que nous en faisons. Ce livre est le reflet d’un vécu riche en émotions que l’auteure a voulu transmettre et partager avec ses lecteurs, comme une trace laissée à travers le temps. La résultante d’un passé qu’elle a subi, d’un présent qu’elle vit et de l’avenir qui lui reste à dessiner. Dans cet ouvrage, elle a glissé la plume de son cœur au gré de ses besoins, de ses envies, avec toujours en fil conducteur, cet amour de la vie qui ne l'a jamais quitté.... Ce livre, ces poèmes, ces réflexions, chacun de nous peut se les approprier car chacun de vous, aime, a aimé et aimera. Carpe Diem, la vie est ce que l'on en fait.
Des secrets de famille et un mystérieux tableau impressionniste vont plonger une jeune femme moderne dans la vie tourbillonnante de la Belle Époque, de Paris à Vienne... Vivian, une jeune étudiante en art londonienne, prépare sa thèse sur Maurice Danet, un peintre impressionniste et son principal tableau " La Rose Blanche ". Pour la jeune femme, ce tableau n'a rien d'anodin : il représente son arrière-grand-mère Marie-Anne qui a entretenu une liaison avec le peintre. Un jour, Vivian tombe par hasard sur le journal intime de Marie-Anne, témoin précieux de la Belle Époque. Passionnée par les secrets qu'elle y découvre, Vivian se lance sur les traces de " La Rose blanche ". Ce roman virevoltant, baigné d'art et d'histoire, nous entraîne de Paris à Vienne dans les années 1900, où entre deux secrets de famille, on croise toute la belle société de la Mitteleuropa.
Le jeune duc de Lexington est foudroyé par la beauté de Venetia Easterbrook. Mais il ne tarde pas à apprendre que sa splendeur vaut la noirceur de son cœur : elle a causé la mort de ses deux premiers maris. On la dit égoïste, vaniteuse et superficielle. Tout ce qu’il déteste ! Pourtant, en dépit des années qui passent, il demeure obnubilé par la noblesse de ses traits. Jusqu’au jour où, lors d’une traversée transatlantique, il tombe éperdument amoureux d’une mystérieuse baronne qui refuse de lui dévoiler son visage. Christian se croit sauvé de son obsédante passion. Il ignore que ces deux femmes ne sont qu’une seule et même personne...
Le 30 juin 2018, trente marins quitteront Plymouth pour un tour du monde en solitaire et sans escale à bord de voiliers d’un autre temps. Pas de GPS, de pilotes électriques, d’appareils photo numériques, mais des équipements identiques à ceux embarqués en 1968 par Robin Knox Johnston, le seul à boucler l’épreuve après 313 jours de mer. Le Golden Globe Challenge fut une aventure épique et tragique dont ce récit met en lumière les héros invraisemblables. Hommage soit rendu à leur engagement avec la course du 50e anniversaire ! En 1968, ils sont neuf à s'élancer. C’est une première : jamais un tel défi n'a été relevé et personne ne sait alors s'il peut être réalisé. Le journal londonien Sunday Times, sponsor de la course, lui donne le nom de Golden Globe Challenge. Bernard Moitessier, Loïck Fougeron, Chay Blyth, Robin Knox-Jonhston, John Ridgway, Donald Crowhurst, Bill King, Nigel Tetley et Alex Carozzo pointent leur étrave vers l’inconnu, avec en ligne de mire le mythique cap Horn. Plusieurs d’entre eux, à l’image du Britannique Chay Blyth, n’ont pratiquement jamais navigué en solitaire. D’autres ont choisi des bateaux incapables...
Bienvenue chez Conti. Je suis Lia et je vais nguhhhhhhhhhhhh ». J’ai beugué. Directement en face de moi se trouvait le nageur olympique, Jay Morningstar... et je me suis comportée comme la dernière des idiotes. Le reste de la table a levé les yeux pour me voir debout là, la bouche pratiquement béante. Son entraîneur, que j’ai reconnu grâce à des interviews télévisées, et même les deux autres nageurs de l’équipe olympique... ils n’ont rien dit, ils n’ont même pas cligné des yeux. Rien. « Euh... je veux dire... » Je ne pouvais même pas former une phrase cohérente et Jay Morningstar me regardait toujours, un sourire en coin. Que devais-je dire ? « Désolée, je viens de faire un bruit bizarre, c’est juste que j’ai une affiche de toi sur mon mur où tu ne portes rien de plus que tes médailles d’or, un sourire et un maillot minuscule ?»
Petites Cendres, artiste de cabaret, court le long de l’Atlantique, sur cette île de Floride. Au même moment, l’enfant Angel est accueilli aux Jardins des Acacias, refuge médicalisé destiné aux malades du sida. Fleur, jeune compositeur de génie, fait face à un prêtre dépravé, qui semble incarner le Mal. Le poète Adrien écrit les derniers vers de sa longue vie en regardant la mer. Le romancier Daniel tente de comprendre ses enfants qui s’émancipent. Le tueur Christophe efface son passé en devenant comédien. Frédéric le peintre se souvient de Charles l’écrivain, en essayant de venir au secours d’un jeune drogué japonais. Chacun expérimente en ces quelques heures concentrées une étape essentielle de son existence fragile. Peut-être qu’aux Jardins des Acacias, ce n’est pas la tragédie qui attend ces personnages, mais une merveilleuse rédemption, lors d’une croisière en mer... La grande romancière québécoise profite de ce nouveau tableau polyphonique pour faire le point sur son œuvre, dans un entretien qui suit le roman.Marie-Claire Blais, née en 1939, vit à Key West, en Floride, où elle situe sa série romanesque inaugurée par Soifs....
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
En vacances avec sa famille dans le sauvage Montana, Dave Robicheaux est troublé par une succession d'événements étranges qui laissent penser qu'une présence vénéneuse hante ces paysages sublimes. Dans cette vingtième aventure, Dave Robicheaux affrontera son adversaire le plus diabolique.
Aristée était, selon la mythologie, fils d’Apollon et de la nymphe Cyrène. Il apprit aux hommes à élever les abeilles. Ce livre est l’histoire de sa vie. Tour à tour pêcheur, berger, étudiant, guerrier grec conquérant l’Orient, puis roi, il rencontrera la camaraderie et l’amitié, la haine et l’amour, et rêvera de marier l’épanouissement de chacun et la justice, le bonheur et le goût du pouvoir. Aristée, que l’on comparera aux “Mémoires d’Hadrien” de Marguerite Yourcenar, est un roman de toute beauté. Jamais peut-être l’Antiquité ne nous aura paru si proche. Parce que à travers les aventures d’un homme, sa vie, son destin, Pierre Olivier Lapie nous raconte l’aventure humaine.
Un roman intime et politique qui nous plonge au cœur de la guerre froide et dans la pensée complexe du père de la bombe. Robert Oppenheimer aimait les femmes, courser les trains au volant de sa puissante voiture, affronter les tempêtes à la barre de son bateau et galoper sur les chemins du Nouveau-Mexique. Par-dessus tout, il aimait la physique car elle réveillait en lui le philosophe, le poète. Un poète riche, un philosophe inquiet de l’avenir des pauvres, un philanthrope qui finança le parti communiste et les Brigades internationales luttant contre Franco en Espagne. Alors, lorsque en 1942 le général Groves le choisit pour diriger les recherches sur la création de la bombe atomique à Los Alamos, les services secrets, le contre-espionnage et le FBI se liguent pour empêcher la nomination d’un communiste. Groves résiste, convaincu de la loyauté de Robert Oppenheimer. Trois ans plus tard, après les bombardements d’Hiroshima et Nagasaki, la célébrité et l’influence d’Oppenheimer sont immenses. Pour tous, il est devenu « Doctor Atomic ». Mais cet intellectuel sensible à l’art et aux exigences humanistes prend conscience de la responsabilité de la...
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