
Les Éditions Rhéartis, présentent dans sa gamme patrimoine, les œuvres de la philosophie antique et notamment les textes de la période médiévale japonaise. Le traité des cinq roues, est un des rares textes qui nous vient du Japon et qui traite du sujet des samouraïs. Ce livre est un guide pratique de l’art du combat. Mais aussi de la philosophie de l’art Samouraïs. Voici un extrait : « Je suis un samouraï né dans la province Harima, et mon nom est Shimmen Musashi-no-kami, Fujira-no-genshin. Je suis âgé de soixante ans. J’ai prêté attention aux Voies de la tactique dès ma jeunesse et j’eus mon premier duel à l’âge de treize ans. Pour ce premier duel, mon adversaire était Arima Kihê, bon sabreur de l’école Shintô que j’ai vaincu. À l’âge de seize ans, je vainquis Akiyama, fort au sabre et originaire de la province de Tajima. À l’âge de vingt et un ans, je me suis rendu à Kyoto et y ai rencontré les meilleurs sabreurs du Japon. Je les ai rencontrés plusieurs fois en duel sans jamais être vaincu par aucun d’entre eux. Puis j’ai pérégriné à travers les provinces où j’ai rencontré plusieurs sabreurs de diverses écoles et...
Nombreux sont les pratiquants d'arts martiaux qui ont parcouru le Gorin no sho (Écrit sur les cinq éléments), l'oeuvre majeure de Miyamoto Musashi (1582-1645). Malheureusement, ce texte est aussi intéressant qu'hermétique. Sa seule lecture ne permet pas d'appréhender la philosophie et les concepts stratégiques du célèbre samouraï. En traduisant et en commentant le Heihô sanjûgo kajô (Trente-cinq articles sur la stratégie), les auteurs poursuivent deux objectifs. Tout d'abord, ils veulent offrir la première traduction intégrale de ce texte en français. Ensuite, grâce aux très nombreux commentaires qui accompagnent cette édition, ils espèrent fournir un outil permettant de mieux comprendre la pensée de Musashi et favoriser ainsi une meilleure compréhension du Gorin no sho.
Il deviendra un guerrier. Une légende. Un samouraï. A treize ans, Bennosuke n'a qu'un rêve : devenir un grand guerrier à l'image de son père, l'un des samouraïs les plus redoutés et les plus respectés du Japon. Mais avant d'accéder à la gloire, il doit prouver qu'il est digne d'un tel héritage. La voie du sabre est faite de sang, de vengeance, d'héroïsme. Le jeune garçon l'apprendra, parfois à ses dépens, avant de remettre en question des siècles de tradition : pourquoi un samouraï devrait-il préférer la mort au déshonneur ? Quel prix devra-t-il payer pour entrer dans l'Histoire sous le nom de Musashi Miyamoto ? Autour de la figure emblématique du légendaire samouraï Musashi Miyamoto, auteur du Traité des cinq roues, David Kirk brosse la fresque étincelante du Japon du XVIIe siècle, marqué par des codes moraux immémoriaux et des combats épiques, à la culture aussi cruelle que raffinée. Un roman fascinant dans la lignée de Shogun de James Clavell ou du Ran de Kurosawa.
MIYAMOTO Musashi (1584-1645), géant de l'art du sabre et de la stratégie, est un personnage historique du XVIIe siècle. Son image d'homme invincible et la vertu spirituelle qu'il a prêtée au sabre ont fait de lui un héros mythique. Le Traité des cinq anneaux qu'il a rédigé à la fin de sa vie est la somme de toutes ses recherches sur l'art du sabre et de la stratégie. Il a toujours su doser : hardiesse et finesse, fermeté et souplesse, minutie et vue d'ensemble... Il expose ici, avec un étonnant réalisme, tout le secret de son art. Cet ouvrage a été le livre de chevet de plusieurs shôguns. Aujourd'hui, il sert de référence à de nombreux hommes d'affaires.
La vie aventureuse de Miyamoto Musashi (1584-1642) a inévitablement fait de celui-ci une figure mythique de la culture japonaise. Célèbre pour ses combats, maître dans l'art du sabre, ce guerrier était aussi calligraphe, peintre, sculpteur, et auteur d'une œuvre écrite importante par son influence. Rendu très populaire au XXe siècle, Miyamoto Musashi a soulevé de nombreuses controverses et polémiques qui ont rendu incertaine la frontière entre mythe et réalité. A partir d'une nouvelle traduction commentée de l'œuvre de Miyamoto Musashi, et à travers son expérience personnelle de l'art martial, l'auteur dresse un portrait original de ce personnage légendaire, dont la vie se situe à une époque où le Japon voit la fin des guerres féodales. Miyamoto Musashi est l'histoire d'un guerrier exceptionnel mais aussi celle des arts martiaux, dans une société japonaise en train de vivre une nouvelle page de son histoire.
MIYAMOTO MUSASHI, GUERRIER ETMAITRE DE SABRE JAPONAIS LEGENDAIRE DU XVIIE SIECLE EST L'AUTEUR D'UN TRAITE DE STRATEGIE A PROPOS DE L'ART DU SABRE, LE GORIN-NO-SHO (ECRIT SURLES CINQ ELEMENTS) QUI, MALGRE LES NOMBREUSES DIFFICULTES D'INTERPRETATION QU'IL COMPORTE, EST AUJOURD'HUI ENCORE UNEDES PRINCIPALES REFERENCES DE L'ETUDE ET DE LA PRATIQUE DES ARTS MARTIAUX AU JAPON. L'AUTEUR PRESENTE DE CET OUVRAGE ET DE L'ENSEMBLE DE L'OEUVRE ECRITE DE MUSASHI ET DE SES ELEVES UNE TRADUCTION, LARGEMENT COMMENTEE AFIN D'ESSAYER D'EN APPROCHER DE LA FACON LA PLUS FIDELE LE CONTENU. POUR CELA, IL S'APPUIE SUR UNE COMPARAISON ENTRELES DIFFERENTES INTERPRETATIONS DE CETTE OEUVRE EN JAPONAIS MODERNE ET, POUR EN ECLAIRER LES ASPECTS TECHNIQUES, SUR SA PROPRE EXPERIENCE DE PRATIQUE DES ARTS MARTIAUX. ENSUITE, A TRAVERS UNE ETUDE DE LA VIE DE MUSASHI FAISANT LE POINT SUR LES DOCUMENTS CONNUS JUSQU'ICI, IL FAIT APPARAITRE LA SPECIFICITE DE SON ECOLE DE SABRE ET TENTE D'EN PRECISER LES ORIGINES. ENFIN, IL SITUE L'OEUVRE DE MUSASHI DANS L'HISTOIRE DE L'ART DU SABRE JAPONAIS ET EN MONTRE L'INFLUENCE ET LA CONTINUITE JUSQU'A L'EPOQUE MODERNE DANS LES TECHNIQUES ET DANS UNE CONCEPTION DE L'ART DU COMBAT...
Savoir négocier n'est pas inné, c'est une compétence qui s'acquiert et se perfectionne. Pour cela, cet ouvrage réunit tout ce qu'il faut savoir pour se familiariser avec la négociation. Lionel Bellenger détaille, étape par étape, comment s'engager dans une négociation constructive : - Comment bien préparer une négociation ? - Comment engager la discussion ? - Comment repérer les scénarios à risque et éviter les pièges ? - Quelles stratégies et tactiques adopter pour augmenter ses chances d'aboutir à un accord gagnant-gagnant ? Grâce à de nombreux outils, notamment la méthode des 3 C (consulter, confronter, concrétiser), les plans d'actions et les diagnostics, Lionel Bellenger vous donne les points de repère indispensables pour évoluer avec aisance dans vos négociations quelle que soit la situation. Avec cet ouvrage, vous disposez de tous les atouts nécessaires pour gagner en confiance, en maturité et devenir un négociateur hors pair.
Au XVIe siècle, Miyamoto Musashi, samouraï invaincu par une vie de combats, maître ès armes et esprit de nombreux disciples, se retire dans une grotte quelques mois avant sa mort et rédige ce classique de la littérature universelle: Traité des Cinq Roues.Ce guerrier nous donne en un texte lumineux l'essence des arts martiaux et le secret d'une stratégie victorieuse qui transcende la violence et devient art de vivre et d'agir. Attitude qui explique aujourd'hui les raisons des succès japonais dans tous les domaines.Une leçon à méditer et à pratiquer: car l'esprit de l'art de l'épée peut s'appliquer à tous les gestes de la vie quotidienne.
" Le sobre perça l'air avec le bruit sec d'une corde d'arc, et un cri foudroyant remplit l'espace vide... Un énorme soleil rouge jaillit en flammes au-dessus du Higashiyama... Fasciné, vibrant de vie, Musashi le regardait monter... Son sang parut sur le point de jaillir de ses pores. On eût dit le diable même, surgi de l'enfer. " Dans le Japon du XVIIe siècle, Miyamoto Musashi, jeune homme fougueux, n'aspire qu'à se battre. Recherché dans tout le pays, il est recueilli par un moine et n'a bientôt plus qu'un but : tendre à la perfection grâce aux arts martiaux. Son sabre sera désormais serviteur du bien. Il ira de combats en conquêtes à la recherche d'amour et de sagesse, épaulé par le chant de sa tendre Otsu. Un grand classique du récit initiatique qui marie amour, aventure et quête de soi.
La voie du karaté Les arts martiaux (le budo), et plus précisément le combat à mains nues (le karaté), ne sont plus que caricature quand, en Occident, ils sont conçus comme des sports. Séparés de l'enseignement philosophico-religieux – en particulier du zen – auquel ils étaient à l'origine rattachés, ils sont réduits à des gestes vides et dénaturés. Kenji Tokitsu s'applique à retrouver l'esprit du guerrier qui les anime en analysant la structure du combat : décision inébranlable, précision, distance, cadence, intuition ; puis en étudiant l'enseignement des grands maîtres du sabre de l'ère Edo (1603-1867). Du même mouvement, l'auteur cherche aussi à dégager une méthode de progression qui, en respectant la vérité retrouvée du karaté, soit adaptée à la conscience de notre temps. Kenji Tokitsu Docteur en sociologie et en langue et civilisation japonaises, maître de sabre, il a fondé l'académie Tokitsu-Ryu où il enseigne les arts martiaux. Il a également publié au Seuil Miyamoto Musashi. Maître de sabre japonais du xviie siècle (2008).
Ilia, réalisateur, apprend le décès de son père artiste peintre, mythomane et mégalomane reconnu dans le monde entier. Deux ans après son décès, il s’engage dans la réalisation d’un biopic sur la vie de son père. Au fil du tournage, Ilia, hanté par ses fantômes et ses angoisses, perd le contrôle de ce qu’il souhaitait et imaginait raconter.
Le traité des cinq roues est le reflet d’une philosophie personnelle susceptible de s’appliquer à tout aspect de l’existence, comme son auteur en a apporté la preuve au détours de ses multiples dispositions personnelles l’ayant conduit à devenir un artiste et un calligraphe accomplis. Les stratégies exposées par Musashi, notamment l’observation, la détermination du moment opportun, la simplicité, le savoir et le pragmatisme, ne se limitent pas aux arts pratiqués par un guerrier ; elles renforcent la préparation mentale et la flexibilité stratégique afin de réaliser des prouesses et de véritables réussites en tout domaine. Cette édition magnifiquement illustrée est rehaussée par deux autres brefs ouvrages de Musashi, le Hyôhô sanjû-gokajô (Trente-cinq instructions sur la stratégie) et le Dokkôdô (La Voie de la solitude, encensant l’autonomie), et une introduction édifiante mettant en valeur le contexte philosophique et historique sous-jacent à Musashi et à ses écrits.
Vous trouverez ici environ 3 000 citations recueillies auprès de plus de 600 auteurs et regroupées selon 400 mots-clés. Le choix de ces citations n’est pas destiné à satisfaire les tenants d’une économie de droite ou de gauche (si cela existe) ou à vanter les mérites d’une quelconque doctrine politique ou économique. Certaines citations ont été sélectionnées pour vous séduire ou vous surprendre. Parfois pour vous faire réfléchir. N’hésitez pas à en déguster la substantifique moelle ! Et comme les matières économiques et financières passent souvent pour être arides, nous avons semé par ci par là des graines d’humour qui ne manqueront pas de s’épanouir dans le riche terreau que constitue notre lectorat !
« Les cinq anneaux » est le manuel le plus célèbre du bushido, la Voie du Guerrier. Il décrit l'accomplissement du samouraï à travers la pratique du sabre long, le tashi.Mais la pratique du sabre long n'est pas seulement une question de dextérité, mais plus un état d'esprit, une volonté tendue vers le but à atteindre : la victoire sur l'adversaire, et à travers cela, la maîtrise de soi-même et la maîtrise du monde. Pour cela, la dextérité est certes utile, mais la compréhension des forces de l'adversaire, le changement de méthode lorsque l'adversaire est coriace, l'adaptation au terrain et aux circonstances : tout cela font du guerrier un stratège.Cette stratégie s'applique au combat singulier. Mais c'est la même stratégie qui fait du samouraï un Officier capable de mener ses troupes et d'arracher la victoire dans un combat entre armées.Les principes que l'on trouve dans ce livre sont encore utilisés de nos jours par de grandes firmes japonaises dans le cadre des affrontements économiques que celles-ci doivent livrer au quotidien.Musashi Miyamoto (1584-1645) est le samouraï le plus célèbre du Japon. Il vécut à l'époque de l'unification du Japon...
Sun Tzu est un général chinois du VIe siècle avant notre ère (544–496 av. JC). Les treize articles de Sun Tzu sont le manuel le plus réputé de la stratégie asiatique. Cette œuvre échappa à la grande destruction des livres ordonnée par l’empereur Chehouangti des T’sin en 293 ap. JC et resta longtemps la grande référence des généraux chinois. Elle fut en particulier la doctrine de l’ensemble des généraux des royaumes combattants à l’époque des guerres des Trois Royaumes. Se Ma Yang King a vécu au IVe siècle avant notre ère et nous a laissé ses principes sur l’art militaire, le Se Ma Fa Ou Tse a vécu au IVe siècle avant notre ère. Il dirigea victorieusement les armées du royaume d’Oe et ses exploits militaires ont laissé de nombreuses traces dans les chroniques chinoise. S’appuyant sur les travaux de Sun Tse, Ou Tse rédigea son traité d’art militaire. Seuls six articles nous sont parvenus. Ces articles étaient très réputés auprès des lettrés chinois et mandchous et ils furent l’objet de nombreux commentaires. Musashi Miyamoto (1584-1645) est le samouraï le plus célèbre du Japon. Il vécut à l’époque de l’unification du...
Pour parfaire l'éducation de son fils Mikédi, le chef de guerre Nakamura Ito le confie à un rônin du nom de Miyamoto Musashi. Un samouraï de légende, le plus grand maître de sabre qu'ait connu l'Empire des quatre Poissons-Chats. Ensemble, pendant six longues années, le maître et l'apprenti vont arpenter la route qui mène jusqu'à la capitale Edo, où l'Impératrice-Dragon attend Mikédi pour en faire son époux. Mais la Voie du Sabre est loin de trancher l'archipel en ligne droite : de la forteresse Nakamura aux cités flottantes de Kido, du Palais des Saveurs à la Pagode des Plaisirs, Mikédi apprendra les délices de la jouissance, les souffrances du combat et la douceur perverse de la trahison.
Miyamoto Musashi (c.1584 - 13 juin (calendrier japonais: 19 mai), 1645), également connu sous le nom de Shinmen Takezō, Miyamoto Bennosuke, ou par son nom bouddhiste, Niten Dōraku était un célèbre samouraï japonais et est considéré par beaucoup comme étant l'un des épéistes les plus qualifiés de l'histoire. Musashi, comme on l'appelle souvent simplement, est devenu légendaire grâce à son épée remarquable dans de nombreux duels, même dès le plus jeune âge. Il est le fondateur du style d'épée Hyōhō Niten Ichi-ryū ou Niten-ryū et l'auteur de The Book of Five Rings, un livre sur la stratégie, la tactique et la philosophie qui fait toujours l'objet d'études.
Le Livre des cinq anneaux, également connu sous le nom de Traité des cinq roues, en japonais Go rin no sho , est un traité sur le sabre kenjutsu, écrit par Musashi Miyamoto vers 1645. À l'âge de 60 ans, Musashi se retire dans la grotte du Reigandō, à Kumamoto, pour réfléchir et écrire sur son art.Son ouvrage a acquis auprès des adeptes des arts martiaux le statut de classique de stratégie, à l'instar de L'Art de la guerre de Sun Zi. Comme son illustre prédécesseur, il est aussi étudié pour ses vues philosophiques. Ses réflexions sur le conflit ont gagné un large public, notamment dans le domaine économique. L'école Hyoho Niten Ichi Ryu emploie cet ouvrage comme manuel en complément de la transmission orale.Musashi en appelle au sens pratique du lecteur et considère les ornements techniques comme excessifs, en opposition avec la simplicité qu'il recommande. Il souligne aussi que ses concepts sont applicables au combat de duel et de bataille. L'élève doit les examiner attentivement, par la mise en pratique et non par une simple lecture.Musashi privilégie l'usage simultané des deux sabres à contre-pied de la tradition qui préfère la tenue du sabre à...
Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, (1675-1755), partage avec le cardinal de Retz la qualité de mémorialiste de très grande réputation. Ses Mémoires couvrent la période 1691-1723, c’est-à-dire une grande partie du règne de Louis XIV (1638-1715) et la régence (1715-1723). Issu de la noblesse française, il entre aux mousquetaires gris de Louis XIV à l’âge de 16 ans et, à la mort de son père, devient duc et pair de France à l’âge de 18 ans. De tels atouts lui permettent de prétendre à une brillante carrière de militaire, de courtisan et d’homme politique. Une telle vie, parfois mouvementée, lui donne une place de choix pour fréquenter et observer la cour de Louis XIV puis la cour du Régent. En 1723, la mort du Régent lui fait perdre ses derniers soutiens à la cour. Il se retire en son château de La Ferté-Vidame et, de 1739 à 1749, il se consacre à la rédaction de ses Mémoires, faisant s’interrompre celles-ci en 1723, à la mort du Régent. Œuvre majeure de Saint-Simon, les Mémoires ont longtemps attendu leur publication. Le manuscrit, gardé chez un notaire, sera publié pour la première fois grâce à son neveu, le général de...
La légende des siècles est une épopée en vers destinée à retracer l’évolution de l’humanité et son histoire. Cette œuvre monumentale fut écrite tout au long de l’exil de Victor Hugo à Guernesey, entre 1855 et 1876 et publiée en 3 fois (1859, 1877, 1883). Dans son œuvre, le poête rêve devant un mur (on dirait presque une télévision !) sur lequel se dessinent et s’animent les multiples épisodes qui ont agité l’humanité. La vision de Victor Hugo n’est pas à proprement une vision historique, mais la vision des événements qui ont agité des personnages emportés par les flots du temps et plongés dans les grands événements de leur temps. C’est donc le mélange de l’histoire et de la légende, le heurt des événements historiques et des destinées individuelles, le creuset des passions, des sentiments et du destin. Précédé de "Réflexions sur quelques uns de mes contemporains" de Charles Baudelaire (1861) où celui-ci qualifie cette oeuvre de "seule épopée française. Didier HALLÉPÉE, grand lecteur aux mille passions a sélectionné ces œuvres pour vous.
Sophie Rostopchine (Sofia Fiodorovna Rostoptchina) est, comme son nom l'indique, issue de l'aristocratie russe. Elle est née le 1er août 1799 à Saint-Pétersbourg et a passé son enfance dans le domaine familial Voronovo, près de Moscou (45 000 hectares, 4 000 serfs) En 1812, Napoléon vient apporter au peuple russe les bienfaits de la révolution française à la tête de sa Grande Armée. Le général Fiodor Vassilievitch Rostopchine, père de Sophie, est alors gouverneur de Moscou. Il fait incendier Moscou, ce qui provoquera la retraite de Napoléon et la disgrâce de Fiodor. Réduit à l'exil, Fiodor finit par s'installer à Paris où il fait venir sa famille. C'est là que Sophie épouse le 14 juillet 1819 le comte Eugène de Ségur, petit-fils du maréchal de Ségur. Ce mariage commença comme un mariage d'amour mais finit par s'avérer désastreux. Sophie se consolera en s'occupant de ses huit enfants puis de ses nombreux petits enfants. Plus tard, elle coucha par écrit les nombreuses histoires qu'elle avait inventées pour ses petits enfants. L'oeuvre de la comtesse de Ségur à bercé notre enfance. Qui de nous n'a pas plaint la pauvre Sophie et eu envie de lui dire...
Dans « l’homme de cour » et « le héros », Baltasar Gracían se révèle un grand spécialiste de la casuistique (normal pour un jésuite) et du cynisme. Il ne conseille pas de mentir, mais de laisser à l’interlocuteur le soin de croire ce qui lui plaira le mieux. Il ne faut pas mentir, mais il ne faut pas dire toute la vérité… Tout cela nous évoque Le Prince de Machiavel. Le Prince de Baltasar Gracían, c’est Ferdinand le Catholique, roi d’Aragon et maître en l’Art de la dissimulation. Ces œuvres sont un recueil de préceptes sur l’art de la dissimulation politique. C’est aussi une profonde réflexion sur l'art de se gouverner soi-même, et bien sûr sur la condition humaine et le comportement mondain.
Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, (1675-1755), partage avec le cardinal de Retz la qualité de mémorialiste de très grande réputation. Ses Mémoires couvrent la période 1691-1723, c’est-à-dire une grande partie du règne de Louis XIV (1638-1715) et la régence (1715-1723). Issu de la noblesse française, il entre aux mousquetaires gris de Louis XIV à l’âge de 16 ans et, à la mort de son père, devient duc et pair de France à l’âge de 18 ans. De tels atouts lui permettent de prétendre à une brillante carrière de militaire, de courtisan et d’homme politique. Une telle vie, parfois mouvementée, lui donne une place de choix pour fréquenter et observer la cour de Louis XIV puis la cour du Régent. En 1723, la mort du Régent lui fait perdre ses derniers soutiens à la cour. Il se retire en son château de La Ferté-Vidame et, de 1739 à 1749, il se consacre à la rédaction de ses Mémoires, faisant s’interrompre celles-ci en 1723, à la mort du Régent. Œuvre majeure de Saint-Simon, les Mémoires ont longtemps attendu leur publication. Le manuscrit, gardé chez un notaire, sera publié pour la première fois grâce à son neveu, le général de...
C’est au temps des grands dragons que les elfes sont arrivés. Mais l’ennemi les avait suivis. La fin de l’immense bataille a signé la fin des elfes mais aussi la naissance du chat ! Seule Bastet a survécu. Elle protégera Chat et accompagnera l’homme jusqu’à ce que celui-ci soit prêt à accueillir le retour de la magie. De la Genèse à nos jours, en faisant un détour par la révolution russe, tout se met en place sous nos yeux. Un roman passionnant où le vrai héros s’appelle Chat !
Sophie Rostopchine (Sofia Fiodorovna Rostoptchina) est, comme son nom l'indique, issue de l'aristocratie russe. Elle est née le 1er août 1799 à Saint-Pétersbourg et a passé son enfance dans le domaine familial Voronovo, près de Moscou (45 000 hectares, 4 000 serfs)En 1812, Napoléon vient apporter au peuple russe les bienfaits de la révolution française à la tête de sa Grande Armée. Le général Fiodor Vassilievitch Rostopchine, père de Sophie, est alors gouverneur de Moscou. Il fait incendier Moscou, ce qui provoquera la retraite de Napoléon et la disgrâce de Fiodor. Réduit à l'exil, Fiodor finit par s'installer à Paris où il fait venir sa famille. C'est là que Sophie épouse le 14 juillet 1819 le comte Eugène de Ségur, petit-fils du maréchal de Ségur.Ce mariage commença comme un mariage d'amour mais finit par s'avérer désastreux. Sophie se consolera en s'occupant de ses huit enfants puis de ses nombreux petits enfants. Plus tard, elle coucha par écrit les nombreuses histoires qu'elle avait inventées pour ses petits enfants.L'oeuvre de la comtesse de Ségur à bercé notre enfance. Qui de nous n'a pas plaint la pauvre Sophie et eu envie de lui dire...
Joseph-Marie Amiot (1718,1793), est un prêtre jésuite, astronome et historien français, missionnaire en Chine. Il fut le dernier survivant de la Mission jésuite en Chine. Il a contribué à faire connaître la culture chinoise en Europe. Il a traduit les principaux ouvrages chinois consacrés à l’art militaire. Yong Tcheng ou Yongzheng (1678 1735) est le troisième empereur de Chine de la dynastie Qing. Grâce à des réformes qui centralisent le gouvernement et rationalisent la fiscalité, il rend l’administration efficace. Il crée le département des affaires militaires afin de centraliser et renforcer son pouvoir sur l’armée. C’est à cette occasion qu’il fait mettre par écrit ses dix préceptes destinés aux gens de guerre. Sun Tse ou Sun Tzu est un général chinois du VIe siècle avant notre ère (544–496 av. JC). Les treize articles de Sun Tzu sont le manuel le plus réputé de la stratégie asiatique. Cette œuvre échappa à la grande destruction des livres ordonnée par l’empereur Chehouangti des T’sin en 293 ap. JC et resta longtemps la grande référence des généraux chinois. Elle fut en particulier la doctrine de l’ensemble des généraux...
En acquérant sa dextérité grâce au pouce et à l’index, l’homme a pu à la fois maîtriser l’outil et découvrir l’art de compter. Depuis, bien des années se sont écoulées, et on s’aperçoit que dans notre monde, tout est nombre. Les nombres nous servent à compter, à manipuler les concepts mathématiques les plus simples ou les plus avancés, à apprivoiser les grandeurs économiques ou géographiques du monde qui nous entoure, à illustrer notre approche philosophique de l’univers, ou simplement à nous apporter plaisir et parfois humour. Ce livre vous guidera dans l’univers des nombres, vous faisant découvrir ce que chacun d’eux peut illustrer dans tous les domaines qui vous sont chers. Un parcours tout en surprises et en plaisirs.
Présentation des pièces japonaises provenant des musées du Cinquantenaire, qui seront exposées de manière permanente à la tour japonaise de Bruxelles. Le catalogue offre un panorama d'une production artistique particulièrement vaste et diversifiée à l'époque Edo.
Sophie Rostopchine (Sofia Fiodorovna Rostoptchina) est, comme son nom l'indique, issue de l'aristocratie russe. Elle est n�e le 1er ao�t 1799 � Saint-P�tersbourg et a pass� son enfance dans le domaine familial Voronovo, pr�s de Moscou (45 000 hectares, 4 000 serfs)En 1812, Napol�on vient apporter au peuple russe les bienfaits de la r�volution fran�aise � la t�te de sa Grande Arm�e. Le g�n�ral Fiodor Vassilievitch Rostopchine, p�re de Sophie, est alors gouverneur de Moscou. Il fait incendier Moscou, ce qui provoquera la retraite de Napol�on et la disgr�ce de Fiodor. R�duit � l'exil, Fiodor finit par s'installer � Paris o� il fait venir sa famille. C'est l� que Sophie �pouse le 14 juillet 1819 le comte Eug�ne de S�gur, petit-fils du mar�chal de S�gur.Ce mariage commen�a comme un mariage d'amour mais finit par s'av�rer d�sastreux. Sophie se consolera en s'occupant de ses huit enfants puis de ses nombreux petits enfants. Plus tard, elle coucha par �crit les nombreuses histoires qu'elle avait invent�es pour ses petits enfants.L'oeuvre de la comtesse de S�gur � berc� notre enfance. Qui de nous n'a pas plaint la pauvre ...
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