
La Belle équipe
Auteure: Julien Duvivier , Charles Spaak
Nombre de pages: 95Cinq chômeurs touchent le gros lot et décident de monter une guinguette.
Cinq chômeurs touchent le gros lot et décident de monter une guinguette.
Qui a tué l'éminent professeur d'histoire Yitzhak Litvak, de l'université de Tel Aviv ? C'est la question à laquelle tente de répondre le commissaire Émile Morkus, un des rares hauts gradés arabes de la police israélienne. Mais quelle piste suivre ? Célibataire sans enfant, Litvak semblait vivre seul, surtout préoccupé de l'avancée de ses travaux. Celle d'une mauvaise rencontre ? D'un étudiant voulant se venger d'un échec quelconque ? Ou celle d'un règlement de comptes entre ces universitaires qui, comme dans toutes les facultés du monde, se détestent cordialement ? L'affaire prend une autre tournure quand le frère jumeau de Litvak est à son tour assassiné, et que certains services israéliens travaillent ostensiblement à étouffer l'affaire. Shlomo Sand, lui-même professeur (émérite) d'histoire à l'université de Tel Aviv, nous régale dans ce premier roman policier à mettre en scène les débats qui déchirent la culture politique israélienne, la paranoïa et l'incapacité des services de sécurité et, surtout, la force aveugle d'un récit biblique sur les origines de l'État hébreu auquel il est dangereux de toucher. Shlomo Sand est déjà l'auteur...
Pour l’anniversaire de son mari, Audrey souhaite lui réserver le plus beau des cadeaux qui soit : elle-même. Ce dernier est bien décidé à en profiter, et décide de faire d’elle sa prisonnière le temps d’une nuit. Tout commence dans une chambre d’hôtel où Audrey doit l’attendre avec un bandeau sur les yeux. Privée de la vue, tous ses autres sens sont décuplés. Son mari lui réserve bien des surprises…
Élise Thiébaut plonge au cœur de sa généalogie, de son héritage génétique, et signe une autobiographie de la France pour le moins singulière. Éclairant certains pans oubliés de l'Histoire, elle tord le cou à quelques idées reçues, répondant de même aux polémistes identitaires qui fantasment sur ce concentré de civilisation que constituerait son ADN. " Le Grand Remplacement est à nos portes ! ", " La civilisation européenne est menacée ! ", " Le féminisme a proclamé la fin des hommes ! ", " Les valeurs de la nation sont bafouées ! "... Ce bref florilège serait risible par son absurdité s'il ne cachait pas des croyances bien réelles et une percée idéologique virulente, appelant à un nécessaire retour aux sources du " roman national ". C'est donc à déjouer les pièges de cette fiction que s'emploie Élise Thiébaut. Elle s'interroge d'abord sur sa propre " identité " : qu'est-ce que l'histoire de cette Française dite " de souche " a-t-elle à nous dire de l'histoire de France ? En se livrant à des tests ADN, à des recherches généalogiques et archivistiques, elle pose des questions qui révèlent des tabous et impensés de la mémoire collective. ...
Les religions sont-elles condamnées à s'opposer et à être source de conflits en raison de la diversité et du caractère souvent contradictoire de leurs doctrines ? Lorsqu'elles sont missionnaires et prétendent détenir la vérité sur Dieu, le monde et l'homme, le caractère systématique de leurs énoncés théologiques et juridiques qui excluent les autres systèmes ne redouble-t-il pas ces conflits ? Comment dans ces conditions le dialogue interreligieux pourrait-il aller au-delà des rencontres et du dialogue de vie ? Peut-on penser du point de vue théologique une ouverture à l'autre qui assoie l'unité entre les religions, leur communion et leur réconciliation au niveau de la doctrine sans obliger chacune à renoncer aux énoncés de sa foi ? Pour envisager ces questions fondamentales qui concernent tous les acteurs impliqués dans le dialogue interreligieux ou la théologie du pluralisme religieux, plusieurs théologiens ont interrogé George Lindbeck afin d'évaluer si les principes qu'il avance pour repenser l'oecuménisme sont transposables au niveau de l'interreligieux. En effet, conscient de l'enjeu des différences doctrinales entre les Églises chrétiennes,...
De la Vienne impériale de Mahler et Strauss au Paris des Années folles et du groupe des Six, de l’Allemagne d'Hitler à l’Union soviétique de Staline, Chostakovitch et Prokofiev, des avant-gardes les plus radicales de l’après-guerre à l’Amérique des sixties et des seventies, Alex Ross retrace avec brio la grande aventure de la musique moderne. Au fil des guerres chaudes et froides, des révolutions et des conservatismes, de l’élitisme de la Seconde Ecole de Vienne à l’avènement de la culture de masse, c’est véritablement l’histoire du XXe siècle par sa musique qu’il nous donne à entendre. Son credo : parler de la musique classique comme si elle était universellement populaire, et de la musique populaire comme si elle accédait enfin à l’intemporalité de ce qui est classique.
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