
Si Dieu ne bâtit la maison
Auteure: Pierre Coullaut
Nombre de pages: 268Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Le Comité international de la Croix-Rouge ne ressemble à aucune autre institution. Partout où des hommes se battent, il est là. Forçant les blocus, passant les lignes et les fronts, il apporte des secours aux victimes des conflits. Ses délégués pénètrent dans les camps et dans les prisons. Jamais la Croix-Rouge ne s’était penchée sur son passé. C’est aux approches de son Centenaire, que l’on s’est aperçu que son histoire restait à écrire. Elle méritait de l’être, car elle projette sur l’Histoire tout court un éclairage nouveau. Depuis Solférino et la guerre d’Italie de 1859, des conflits sans nombre se sont succédé. Presque sans interruption, le Comité international a déployé une activité à laquelle des millions d’hommes, de toutes races et de toutes couleurs, doivent la vie sans toujours le savoir. Il est en effet un témoin silencieux et un acteur discret. En ouvrant aujourd’hui ses archives, il n’est pas sans déroger quelque peu à une maxime de conduite dont il s’est bien rarement écarté. Mais l’intérêt même des victimes de la guerre lui commande de se faire mieux connaître. Dans le domaine du droit de la guerre, le...
Fondée en 1950 par Eugénie Droz, la collection des Travaux d'Humanisme et Renaissance a réuni, en soixante-cinq ans, plus de 550 titres. Elle s'est imposée comme la collection la plus importante au monde de sources et d’études sur l'Humanisme (Politien, Ficin, Erasme, Budé...), la Réforme francophone (Lefèvre d'Etaples, Calvin, Farel, Bèze...), la Renaissance (littéraire et artistique, Jérôme Bosch ou Rabelais, Ronsard ou le Primatice...), mais aussi la médecine, les sciences, la philosophie, l'histoire du livre et toutes les formes de savoir et d’activité humaine d’un long XVIe siècle, des environs de 1450 jusqu’à la mort du roi Henri IV, seuil de l'âge classique. Les Travaux d'Humanisme et Renaissance sont le navire-amiral des éditions Droz.
Le premier volume de L’Histoire de l’École alsacienne : Naissance d’une École libre, racontait d’abord la fondation de l’École à Paris en 1871, par un groupe d’hommes décidés à bouleverser des méthodes d’enseignement qui viennent de faire faillite, et à doter la France d’un établissement où l’éducation soit enfin adaptée au monde occidental moderne. La suite ne sera pas facile, mais vingt ans plus tard, grâce à des appuis de tous bords : Jules Ferry, Clemenceau, Waldeck-Rousseau, Édouard Vaillant, l’École sera solidement implantée et comptera, parmi ses élèves, Charcot, Gide ou Henry de Monfreid. En 1891, l’École alsacienne se prépare à prendre (et à faire prendre à ses élèves) le grand tournant du passage au XXe siècle. Ce deuxième volume couvre une période de l’histoire à la fois féconde et agitée l’affaire Dreyfus, la séparation des Églises et de l’État, les difficultés créées par « le petit père Combes » à l’enseignement privé, la Grande Guerre de 14-18 évidemment, etc. À la tête des éducateurs de l’École, on trouve le professeur Beck et Jules Siegfried, président du conseil d’administration de ...
Une équipe internationale et interconfessionnelle de chercheurs se penche sur l'histoire et la réception de la conférence mondiale des missions d'Edimbourg en 1910, considérée comme un événement déterminant pour le mouvement missionnaire et l'oecuménisme au XXème siècle. Aucun de ceux qui cherchent à comprendre l'évolution du christianisme depuis deux cents ans ne saurait laisser de côté Edimbourg 1910. L'éventail ambitieux des questions abordées et l'approche de la Conférence ont fait que nombre de ces questions restent pertinentes pour le monde d'aujourd'hui, même s'il a énormément changé. Ce numéro prend sa place dans la préparation de la Conférence du centenaire qui se tiendra à Edimbourg du 2 au 6 juin 2010.
Que vous soyez professionnels de l'architecture ou passionnés d'urbanisme et de voyages, partez à la découverte de la Cité ardente ! Ce premier guide d’architecture moderne et contemporaine consacré à Liège et à ses environs (arrondissements de Liège, Huy et Waremme), invite à regarder l’architecture autrement au travers d’une sélection de près de quatre cents projets illustrés de plans et situés sur cartes, commentés par plus de quarante auteurs et photographiés par Élodie Ledure. Ces projets sont le fruit de la modernité revisitée à chaque époque par les architectes, de l’Art nouveau à aujourd’hui : programmes modestes ou réalisations d’envergure, commandes privées et bâtiments publics. La collection offre un regard neuf sur l’architecture, en proposant une sélection critique de bâtiments représentatifs de la modernité architecturale – et de la notion de progrès social, culturel, politique, économique, technique, esthétique qu’elle sous-tend. Publié avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, cet ouvrage de référence richement documenté retrace l'histoire architecturale de Liège, entre art nouveau et modernité....
La fête des Trois Rois, ou l’Epiphanie, remplaçait en Orient, avant Saint Jean Chrysostome, la fête de la Nativité. C’était, en même temps, la fête du baptême de Jésus-Christ et celle de l’entrée dans l’Eglise des prémices d’entre les gentils. Comme saint Matthieu rapporte que les mages offrirent au divin enfant de l’or, de l’encens et de la myrrhe, on s’était habitué à en compter trois. La prophétie du Psaume 72 leur était appliquée, et comme le poète hébreu écrivait : « Les rois de Tarsis et des Iles, de Schéba et de Séba, lui apporteront des présents », on en concluait, que les trois mages devaient avoir été des rois et l’on croyait savoir qu’ils avaient les noms de Balthasar, Melchior et Gaspard. Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
Dossier dirigé par Jean-François ZORN, Claire-Lise LOMBARD et Jacques MATTHEY. Une équipe internationale et interconfessionnelle de chercheurs se penche sur l'histoire et la réception de la conférence mondiale des missions d'Edimbourg en 1910, considérée comme un événement déterminant pour le mouvement missionnaire et l'oecuménisme au XXème siècle. Aucun de ceux qui cherchent à comprendre l'évolution du christianisme depuis deux cents ans ne saurait laisser de côté Edimbourg 1910. L'éventaill ambitieux des questions abordées et l'approche de la Conférence ont fait que nombre de ces questions restent pertinentes pour le monde d'aujourd'hui, même s'il a énormément changé. Ce numéro prend sa place dans la préparation de la Conférence du centenaire qui se tiendra à Edimbourg du 2 au 6 juin 2010.
Le matin du 24 juin 1859, la France et l'Autriche s'affrontent en un combat sanglant aux portes de Solférino. Un jeune commerçant genevois est témoin de la bataille et des souffrances qui lui font cortège. Il racontera trois ans plus tard combien la désorganisation de l'intendance médicale militaire fut fatale à des milliers de soldats, de part et d'autre du front. Hanté par cette vision d'horreur, Dunant n'a de cesse, de faire accepter par les chancelleries son idée d'aide humanitaire, neutre et bénévole, en temps de guerre. Et cette oeuvre novatrice, pour laquelle il réclame " un haut degré de dévouement ", va progressivement s'immiscer dans les consciences et s'étendre à tous les États du monde.Aussi, en 1901, pour le premier Prix Nobel de la paix, le nom de Henry Dunant (1828-1910) est naturellement sur toutes les lèvres... même si le fondateur de la Croix-Rouge ne fait pas l'unanimité parmi les pacifistes.Poursuivi par les créanciers, Dunant s'est réfugié dans la solitude et l'anonymat sur les hauteurs du lac de Constance. Il ne recherche plus que la tranquillité lorsque les projecteurs de Stockholm viennent rappeler au monde ce que fut sa vie...
Paris, le 26 mars 1880. Messieurs et honorés frères, L’esprit missionnaire est un esprit d’agression et de conquête. Toujours plus loin c’est sa devise. Nos jeunes Eglises du Lessouto, comme celles de France, le comprennent ; sans parler de ce qu’elles font pour l’évangélisation de leur propre pays, il suffit de rappeler leurs efforts pour porter à d’autres tribus les bienfaits de l’Evangile. 1. Il vous souvient d’Esaïa Séélé, cet homme intelligent parti du Lessouto en 1863, et qui a passé plusieurs années à évangéliser les Bapélis au Transvaal. Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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