
François-Marius Granet, 1775-1849
Auteure: Émile Ripert
Nombre de pages: 284Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
"Tous les jours je trouvais de nouvelles choses à peindre, car pour bien connaître Rome, il ne faut pas seulement six mois, six ans, non, il faut toute une longue vie."
Né à Aix-en-Provence, tout comme Cézanne qui lui vouait une admiration certaine, le peintre et collectionneur François-Marius Granet (1775-1849) connaît une vocation artistique précoce : il entre à quinze ans dans l'atelier du peintre aixois Constantin, avant de rejoindre l'atelier de David à Paris. Son séjour à Rome transforme sa peinture et l'inscrit dans une veine romantique. Revenu définitivement en France après 1830, il partage sa vie entre Paris, Versailles et Aix-en-Provence : si sa peinture officielle prend un caractère plus académique, sa sensibilité pour le paysage en fait un précurseur de l'impressionnisme. A la fois étude biographique et artistique. cet ouvrage retrace le parcours du peintre, de Paris à Rome, de Rome à Paris, et explore les multiples facettes d'un artiste tour à tour peintre d'histoire, de ruines, ou encore de paysages. Au-delà de l'artiste, rendu célèbre par Ingres, se révèle une figure d'homme, dont la vie consacrée à la peinture traduit une dimension mystique d'une rare profondeur. La ville d'Aix-en-Provence lui doit aujourd'hui un fleuron des collections d'art françaises.
D'origine modeste, François-Marius Granet est né en 1775 à Aix-en-Provence, où il meurt en 1849. Il traverse la Révolution française, le Directoire, le Consulat, l'Empire, les règnes de Louis XVIII, de Charles X et de Louis-Philippe sans difficultés majeures, ne vivant que par et pour la peinture, assumant tout à la fois une carrière de peintre et de conservateur de musée. Il était par ailleurs collectionneur, pour lui-même comme pour d'autres. À sa mort, il donne la quasi-totalité de son œuvre personnelle (tableaux, lavis, aquarelles, dessins) et de ses collections au musée de sa ville natale qui prendra le nom de musée Granet pour le centenaire de sa mort !
Contient des portraits de personnalités du monde littéraire et artistique de l'époque, parmi elles, des célébrités lyonnaises.
Originaire d'Aix-en-Provence, c'est en Italie où il se rend pour la première fois en 1802 et où il reviendra pour de longs séjours jusqu'en 1824, que François-Marius Granet (1775-1848) poursuit sa formation. Essentiellement paysagiste, mais aussi peintre d'histoire, Granet a exercé dans la seconde partie de sa carrière des fonctions officielles, d'abord au musée du Louvre, puis à Versailles. L'ensemble de son œuvre peint et dessiné fut, selon ses dernières volontés, légué à sa ville natale, hormis deux cents dessins choisis pour le Louvre sous le contrôle de Frédéric Reiset. Les dessins reproduits, dans ce livre, certains pour la première fois, montrent les différents aspects de la personnalité dé Granet dessinateur au cours de quarante années d'actives recherches. Dans ses aquarelles notamment, l'artiste se laisse aller à son véritable tempérament, renonçant souvent au pittoresque, négligeant parfois complètement le dessin, afin de traduire à l'aide de son pinceau l'impression ressentie devant une nature noyée sous la brume, endormie par temps de neige ou vibrant sous un soleil printanier.
L'essor du roman moderne en Europe entre le XVIIe et le XIXe siècle s'accompagne d'une abondante littérature critique, oeuvre de farouches opposants comme de partisans enthousiastes de cette nouvelle étoile du firmament littéraire. Dans les journaux et les magazines (autres genres nouveaux), sous forme de lettre ou d'ouvrage critique, au gré de préfaces et autres paratextes, jusque dans les textes des romans eux-mêmes, on tente à la fois de cerner les caractéristiques de l'écriture romanesque, de trouver des règles qui permettent de l'évaluer esthétiquement et de définir sa fonction sociale. Sont ainsi interrogés le statut de la fiction, les liens entre le lecteur et le texte, entre la littérature et la vie. Ce volume collectif introduit un regard neuf et international sur cet immense et très divers corpus critique.
Du plus haut qu'il put atteindre au plus caverneux où ilosa descendre, l'homme a donné le nom de Marie à de vertigineuses cathédrales commeà de ténébreux tréfonds (je songe entre autres au puits Notre-Dame deshouillères de Ronchamp, ou à la fosse Notre-Dame de la Compagnie des minesd'Aniche), à des communautés vivant l'appel du silence comme à des formationsde rock parmi les plus hurlantes (l'un des groupes du heavy metal suédois nes'est-il pas appelé Notre Dame?).Je ne dis pas cela par gout des paradoxes, mais parce que Mariene serait pas Marie si Elle n'était pas partout, si Elle n'avait pas les bras et le coeur, donc ! ouverts au plus large pour embrasser toutes lesactivités des hommes sans exception aucune.En voici une nouvelle preuve avec ce Dictionnaire encyclopédique de mariologie dont Marie estl'antienne, la source et la racine, Dictionnaireaussi complet et complexe, aussi florissant, aussi surabondant, aussi audacieux,aussi défiant, aussi priant qu'une cathédrale de pierre.Ah oui, sans doute était-ce un pari fou que d'ériger ce monumentde littérature et de spiritualité ! Mais ce pari, Pascal-Raphael Ambrogi etDominique Le Tourneau l'ont gagné. Et...
Options de téléchargement