
List of members in vols. for 1857-64; the list in the vol. for 1857 covers period from founding of the academy.
"The rules of the Numismatic Society of London" bound with New Ser., v. 1.
« L’histoire est une science difficile, condamnée à n’atteindre que par des chemins malaisés une vérité toujours relative. [...] N’empêche que l’histoire est un besoin profond de l’humanité pensante et que, si elle n’existait pas, il faudrait l’inventer. » L’objectif du livre de Charles Samaran est simple : « proposer les meilleures définitions possibles de l’histoire, dire comment elle est née et s’est développée depuis l’Antiquité dans la conscience des hommes. Dégager ensuite les notions de temps et de lieu sur lesquelles elle se fonde. »
Frequently includes the contents of its Bulletin mensuel.
(Livre actualisé en novembre 2018) La monnaie est au coeur de l'économie. Dès lors, comprendre la monnaie est indispensable pour étudier l'économie. L'Histoire de la Monnaie pour Comprendre l'Économie est ainsi la référence pour décrypter l'économie. Ce livre explique la monnaie au fil de l'Histoire, de manière passionnante et accessible. Il répond aux questions comme: Pourquoi la monnaie est-elle apparue ? Qu'est-ce qu'une banque ? Où sont passées les pièces d'or ? Qu'est-ce que l'inflation ? Qu'est-ce que le FMI ? L'Histoire de la Monnaie pour Comprendre l'Économie explique également les nouvelles interprétations historiques basées sur l'économie. Ces interprétations présentent l'évolution du système monétaire comme un catalyseur de l'Histoire, depuis la chute de l'Empire romain jusqu'aux Guerres mondiales du XXe siècle et au-delà. En considérant les influences monétaires passées, Lannoye propose même au lecteur une innovation monétaire pour financer l'économie verte.
Exception faite de quelques rares travaux, le monde du rock a souvent été observé à distance. Le phénomène de masse a prévalu sur la pratique concrète. Cet ouvrage vise à inverser cette tendance. À cette fin, il propose de s'intéresser à la réalité concrète de la pratique rock à partir d'un important travail d'ethnographie sociologique. Cette réalité se compose d'un mix hétéroclite d'acteurs, d'objets et de dispositifs. C'est la raison pour laquelle cette enquête de terrain s'emploie à dresser la morphologie d'une multiplicité d'objets produits par le monde du rock (instruments, disques, flyers, fanzines, etc.), à éclairer le fonctionnement et l'équipement d'un ensemble de lieux (locaux de répétition, salles de concerts, magasins de disques, studios d'enregistrement, etc.), à présenter la genèse et la fonction de certains dispositifs (répétition, concerts, politiques culturelles, programmes de soutien, circuits de distribution des œuvres, etc.) et à recueillir le discours des acteurs (musiciens, disquaires, organisateurs de concerts, rédacteurs de fanzines, label managers, amateurs, etc.). À partir de quoi, la combinaison des données obtenues...
Que devrait nous raconter une histoire du rock ? La plupart des ouvrages disponibles sur le sujet se focalisent sur les musiciens, les firmes de disques, le sens des paroles ou les secrets des enregistrements ; ils abondent en biographies tumultueuses, en anecdotes sordides et en interviews décapantes, mais ils sont presque tous construits sur une absence : celle de la musique. Christophe Pirenne propose une alternative. En partant des œuvres, c’est-à-dire des sons, des rythmes, des accords, des instruments, mais aussi des postures capillaires et vestimentaires, l’auteur tente d’expliquer comment se forment les genres, pourquoi rien ne se répète tout en n’étant jamais véritablement neuf et surtout pourquoi ces musiques ont pu un jour bouleverser nos vies. De That’s All Right (1954) d’Elvis Presley à Jesus Walks (2004) de Kanye West, des dizaines de chansons sont ainsi décortiquées pour tenter de mettre à jour ce qui a pu leur valoir d’ouvrir la voie à des genres musicaux originaux dans lesquels des milliers voire des millions de gens ont pu se reconnaître. Ces chansons, ces textes musicaux ne naissent évidemment pas de rien. Pour qu’ils existent il...
Jardin du Luxembourg. Un homme s’adresse à une femme qu’il s’apprête à rejoindre : il lui raconte l’histoire des mythiques chaises du Jardin, lui parle de La Nausé de Sartre, fait un détour par la Fontaine Médicis... Puis il poursuit « en sa compagnie » une exploration sentimentale et savante de Paris. À chaque rue traversée sont convoqués des anecdotes méconnues, des auteurs oubliés et célèbres ou des souvenirs personnels, du temps où le narrateur visitait de nuit les catacombes, escaladait les toits de Paris ou rencontrait à la bibliothèque la femme qui l’attend aujourd’hui. Dans ce récit aussi érudit qu’accessible, Alexandre Lacroix réussit à partager sa connaissance époustouflante de la ville et à mettre en scène un Paris intime et éternel. Et, ce faisant, il transforme ce roman géographique en un singulier voyage amoureux. Portrait d’Alexandre Lacroix par Arnaud Février © Flammarion
Il s'agit à la fois d'un historique de l'espionnage (origines, évolutions, etc.), d'une approche centralisée sur les techniques, les actions mais aussi le fonctionnement des services de renseignement et d' un panorama détaillé des grandes organisations secrètes du monde (la DGSE en France, la CIA aux États-Unis, le MI6 en Grande-Bretagne, le SVR en Russie, le Mossad en Israël). Le tout est abordé sur un ton didactique et accessible : des termes simples et des phrases courtes afin de favoriser clarté et rapidité de la lecture ; un plan rigoureux et des mini-sommaires en début de chaque partie pour une présentation méthodique ; un ton vivant et décomplexé pour valoriser les anecdotes et donner vie au récit.
À partir de l’étude des relations économiques et financières entre la France et l’Égypte de la fin du XIXe siècle à 1914, l’auteur s’interroge sur leurs implications politiques dans les relations internationales. Il démontre que, de 1882 à 1914, l’Égypte, alors sous tutelle britannique, est l’une des principales destinations de l’épargne française. La masse des capitaux français exportés en Égypte atteint un sommet inégalé avant ou après ces trois décennies. Pourquoi les intérêts français se sont-ils maintenus dans un pays occupé par une autre puissance ? Quelle est leur influence dans la rivalité franco-britannique en Égypte ? Samir Saul répond à ces questions en s’appuyant notamment sur l’histoire des entreprises qui font appel aux capitaux français, des plus modestes aux plus grandes : Suez, le Crédit foncier égyptien, les Sucreries. Il détaille l’évolution de leur structure financière, de la composition de leur conseil, de leurs activités et de leurs performances. Il insiste, en particulier, sur le contrôle des capitaux exportés, sur la relation entre la structure des entreprises et les modes de contrôle, ainsi que sur...
Un final grandiose Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch Art Keller, ancien agent de la DEA, est recruté par le sénateur républicain O’Brien pour participer à une opération officieuse au Guatemala : aider le cartel de Sinaloa, dont la mainmise sur le Mexique assure un semblant de stabilité à la région, à se débarrasser d’une organisation rivale sanguinaire, Los Zetas. La rencontre organisée entre les dirigeants des deux cartels tourne au bain de sang : les trafiquants s’entretuent et le parrain de Sinaloa disparaît. Keller retourne alors au Mexique, où il retrouve la femme qu’il aime, Marisol. Maire d’une petite ville, celle-ci résiste vaillamment aux cartels, malgré la tentative d’assassinat qui l’a laissée infirme quelques années plus tôt. Quand O’Brien propose à Keller de prendre la tête de la DEA, il y voit l’occasion de lutter contre les organisations qui sèment la mort en Amérique. Il accepte.Après quatorze années consacrées à l’écriture de la trilogie Cartel, Don Winslow conclut l’épopée d’Art Keller avec un réquisitoire sans appel contre la gestion corrompue de la guerre anti-drogue par les gouvernements en ...
Pesticides, plastiques, résidus de médicaments et beaucoup d’autres choses encore : chaque jour, des centaines de milliers de produits chimiques sont rejetés dans l’environnement. Ces perturbateurs endocriniens affectent le développement du cerveau, le métabolisme, la reproduction, et ont une incidence sur les cancers. Des études scientifiques récentes montrent que le nombre d’enfants atteints de dérèglements hormonaux, de désordres de type autistique ou de troubles de l’attention avec hyperactivité est en augmentation constante. Barbara Demeneix parvient même à une conclusion inquiétante : les capacités intellectuelles des générations futures seront sérieusement compromises. Quelles solutions pouvons-nous mettre en œuvre pour protéger les enfants, mais aussi les adultes, à titre individuel et surtout collectif ? Si nous refusons d’agir, les générations futures pourraient bien se retrouver impuissantes face à ces problèmes de santé publique. Il leur manquera l’intelligence – à tout jamais. Barbara Demeneix est biologiste. Internationalement reconnue pour ses travaux en endocrinologie sur l’hormone thyroïdienne et les perturbateurs...
« Le Tour, c'est la Fête et les jambes » propose Antoine Blondin. Le ton est donné, festif et musclé.Deux légendes se chevauchent, celle d'Antoine Blondin et celle du Tour de France. Voici 60 ans que le Hussard de la littérature a bouclé sa première boucle dans le sillage de Louison Bobet qui remportait, en 1955, son 3ème Tour.Des 524 chroniques écrites pour l'Équipe par Blondin en 27 Tours de France, - images pieuses d'une France souvent païenne qu'il raconte au quotidien -, apparaissent plusieurs d'entre elles, manuscrites, pépites qui enrichissent l'ouvrage. Ouvrage réalisé avec Symbad de Lassus, le petit fils d'Antoine, gardien des trésors (qui se rend désormais sur la route du Tour retrouver les parfums qui ont enivré son grand père), Jacques Augendre, (55 Tours à son compteur dont tous ceux d'Antoine) qui nous fait revivre les temps héroïques des Guerriers de l'asphalte et Jean Cormier (37 Tours) qui rend hommage à « l'autre maillot jaune », le colocataire de la fameuse voiture « 101 » dont le maître à bord était Pierre Chany.Ce livre est une ode à l'amitié. L'amitié pour Antoine Blondin qui en débordait maladivement, au point de donner...
Le terme générique metal est le fruit d'une histoire musicale née il y a plus d'une trentaine d'années. Il désigne une multitude de genres et de sous genres musicaux issus de l'appariement du hard rock et du heavy metal et résulte d'une agrégation sémantique consécutive de l'érosion et de l'interpénétration de ces termes au cours des années 80. Leurs modèles canoniques, respectivement représentés par les groupes Led Zeppelin et Black Sabbath. se sont progressivement dilués sous l'effet d'une filiation particulièrement effervescente et féconde : black, thrash, doom, progressive, crossover, death, hardcore, gothic, sludge, néo, etc. Ce livre retrace tout d'abord l'histoire de cette multitude de genres. Il présente ensuite une vision élargie de son environnement culturel ou l'on voit se dessiner une pluralité de rapports d'influence avec d'autres disciplines artistiques telles que la littérature, le cinéma, la bande dessinée, la photographie ou l'art graphique. Si un certain nombre d'éléments permettent de penser que le metal tend à se démocratiser et à être reconnu pour sa valeur artistique et culturelle, il n'en est pas moins l'objet d'un certain...