
Notions d'esthétique
Auteure: Charles Lalo
Nombre de pages: 140Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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Fruit de l'initiative des Facultés universitaires Saint-Louis, le présent ouvrage rend hommage, à l'occasion de son admission à l'éméritat, à Jacques Dabin qui fut titulaire de cours de philosophie morale et de droit naturel depuis 1968 et assura la fonction de Recteur des Facultés de 1973 à 1993. Reflétant à la fois ses préoccupations majeures, ainsi que la diversité des approches correspondant aux différentes composantes des Facultés, cet ouvrage réunit les actes du colloque que les Facultés ont consacré à ce thème du 20 au 22 avril 1994, ainsi que d'autres contributions émanant de membres ou amis des Facultés qui ont accepté de se joindre à cet hommage.
Au tournant des XIXe et XXe siècles, la critique d'art prolifère en Europe et aborde non seulement les origines de la création contemporaine, picturale en particulier, mais pose aussi les jalons d'une véritable anthropologie culturelle et religieuse.
En France, les débuts de la sociologie du sport sont associés habituellement aux années 1960 avec les noms de Joffre Dumazedier, Georges Magnane, Michel Bouet... Celui de Roger Caillois y tient également une place privilégiée, avec le livre Les jeux et les hommes (1958), pour qui s’intéresse aux types de jeux en relation avec telle ou telle civilisation. L’auteur se proposant, comme on le sait, d’élaborer « une sociologie à partir des jeux ». De fait, en prenant appui sur un recensement détaillé des formes de jeux auxquels s’adonnent les hommes, Roger Caillois formalise une théorie anthropologique de la civilisation qui lui permet d’interpréter les différentes cultures, des sociétés archaïques aux sociétés modernes.
Rassemble des travaux sur les divers aspects que recouvre le formalisme dans l'art.
Les lumières de l'auditorium s'estompent et le silence s'installe... Un silence quasi-religieux que viennent rompre les premiers applaudissements discrets et mesurés pour accueillir l'orchestre. Le rituel prend place. Ainsi commence le concert : un orchestre, un public et entre eux, un chef d'orchestre comme figures centrales. Mais ont-elles toujours existé ? Telles que nous les connaissons aujourd'hui, ces figures sont récentes. En réalité, elles se profilent au XVIIIe siècle pour s'émanciper au XIXe siècle, alors que les idéaux de la Révolution ont triomphé et qu'un vent de romantisme souffle sur la vie musicale. Explorer les fondements sociaux et culturels de notre modernité musicale, tel est l'objet de ce livre. Une modernité qui part d'une " révolution symphonique " et qui consacre l'orchestre, son chef et le mélomane. Toutefois, ce n'est pas un monde musical radicalement nouveau qui sort de cette révolution mais un monde ambivalent abolissant les anciennes conceptions et perceptions de la musique. Au XVIIIe siècle prend forme un nouveau public, sensible, non pas seulement au " pouvoir moral " de la musique, comme c'était le cas dans les siècles passés,...
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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V.2. Les grandes évasions esthetiques; Delacroix, Flaubert, les Goncourt, Lamartine, Sarcey, Wagner. V.3. L'économie des passions; Mme Ackermann, Balzac, Hugo, Musset, Nietzsche, Sand, Zola.
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Le 27 juillet 1942, ce cri est lancé par le philosophe et résistant Valentin Feldman aux soldats allemands qui s'apprêtent à le fusiller. Si le mot est devenu célèbre, on en a oublié son inventeur. Né à Saint-Pétersbourg, réfugié en France après la révolution russe, Feldman est un élève brillant, qui décroche la première place de l'épreuve de philosophie au Concours général en 1927. Neuf ans plus tard, il publie le seul essai paru de son vivant, L'Esthétique française contemporaine. Ses proches se nomment alors Claude Lévi-Strauss, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir ou Georges Politzer. Confronté aux enjeux intellectuels et politiques de son temps (antifascisme, soutiens au Front populaire et à l'Espagne républicaine, etc.), le jeune homme s'engage volontairement en 1939 sous l'uniforme français. Stationnant à Rethel, il entame son Journal de guerre, un document irremplaçable sur l'effondrement de mai-juin 1940. Français d'adoption, juif et communiste, Valentin Feldman est de ceux qui s'engagent immédiatement contre l'occupant nazi. Nommé professeur à Dieppe, il lance un journal clandestin, L'Avenir normand. Rattrapé par le statut des juifs de...
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