Chantal Ferdinand est conteuse et écrivain. Elle collecte ses émotions, ses souvenirs, ses rêves, des anecdotes et des récits de vie, et les rassemble pour faire un puzzle de textes. Evénements et petits riens, distractions et gros chagrins, Chantal Ferdinand passe tout à la moulinette de ses souvenirs et de ses rêveries, les assaisonnant d'un soupçon de dinguerie et d'un zeste de gravité.
Une fable grinçante, mordante, dérangeante, qui épingle sans en avoir (trop) l'air des travers de notre époque. Le tout avec fantaisie, loufoquerie et douce dinguerie. "Je me suis régalée avec ta Fable bourreaucratique, qui commence un peu comme un album pour enfants bien gentil, avec la fermière et ses vaches, qui devient au fur et à mesure plus sombre, avec l'énigme de la double vie de la fermière, et qui débouche sur un "thriller" à faire froid dans le dos". M., une collègue très chère.
Un deux trois, cancer... Sortez vos mouchoirs, vous avez rendez-vous avec la tristesse... Non, pas du tout ! Chantal et le crabevadaure, c'est toute une aventure, pleine de médicastres et de nymphirmières, et de patients en tous genres. Plein d'amour aussi, et c'est là le principal.
L'histoire ouvrière est faite d'une succession de luttes et de souffrances. Des combats pour obtenir enfin la dignité qui, jusqu'à une époque récente, avait été refusée aux travailleurs. Cette histoire est peu à peu devenue inséparable de celle des syndicats. Du XIX° siècle à Mai 68, l'auteur retrace les étapes marquantes, à ses yeux, de l'éveil de la dignité ouvrière. La contestation naît d'une certaine vision de l'homme et du refus de l'insupportable. Ce survol encourage les nouvelles générations les combats de ceux qui les ont précédées.
Pièce de théâtre pour 9 personnages (6h-3f).
Tous ces titres de poèmes donnent le ton : pas de couleurs vives, pas d'exubérance, pas de tapage. Mais le regard vibrant d'une femme que la vie vient cogner, ses interrogations, ses constats désabusés, ses espoirs. "Raisonnée je l'espère / Raisonnable, je ne l'espère plus." Suivons l'auteur dans ses errances déraisonnables, c'est un chemin d'en-vie.
L'imagination est une conscience en action. Il faut la faire sortir du bois et tout se remet en marche. Ce sont les ateliers d'écriture menés en 2013 au collège Édouard Vaillant de Gennevilliers qui ont permis à deux classes de 4e de s'exprimer et de découvrir une parole poétique singulière. « Et tous ont écrit. » Imaginaires est la trace de plusieurs projets d'écriture, soutenus par l'enthousiasme de Ludmilla Fermé-Podkosova, professeur de Lettres attachée à ses élèves autant qu'aux mots.
À l'ombre du mur, dans le cimetière de Charleroi, repose Ferdinand, l'oncle de Stéphanie. Mais quatre jeunes hommes ont décidé de répandre un parfum de poison sur ce sommeil : ils ont violé la sépulture de l'once Ferdinand. Dans la famille de Stéphanie, chacun fait face comme il peut. Le père ressort de vieux papiers, des textes écrits par son frère, Ten Kobalt, une pièce de théâtre que Stéphanie devrait jouer au lycée. Laurent, le frère, shoote plus fort dans son ballon de foot pour battre l'équipe de Liège. La mère est attentive et inquiète. Elle crie très fort pour se défouler dans les gradins du stade. Et Stéphanie monte sur scène. Elle jouera Marie-Madeleine dans Barabbas de Ghelderode. Barrabas, c'est Rodrigue. Il la réchauffe quand elle a froid et il ne pose pas de questions. Comme son oncle qui photographiait les nuages, Stéphanie scrute le ciel à la recherche de sa vérité. Elle glisse dans la ville endormie pour réveiller les secrets de Ferdinand. Rodrigue l'accompagne et la réconforte. Il s'approche d'elle en lui racontant de belles histoires. Mais il se pourrait qu'une autre histoire, plus terrible, les sépare.
De l'avis de tous ceux qui s'y sont essayés, raconter à des adolescents est toujours une aventure rude et merveilleuse. Une aventure où le relationnel est prépondérant. Cet ouvrage est bâti autour du témoignage signifiant de quelques conteurs confirmés qui, entre autres publics, racontent à des groupes d'adolescents depuis longtemps, dans des conditions et des lieux très divers, et qui ont réfléchi à leur pratique. De la confrontation de ces expériences enthousiasmantes ou difficiles, se dégagent - non pas des recettes - mais quelques constantes, quelques règles générales : une manière de s'y prendre... et ce qu'il vaut mieux éviter. Au fil des pages, les auteurs s'interrogent sur " l'identité du conteur ", autrement dit l'état d'esprit qui peut être celui de l'artiste lorsqu'il se présente devant un groupe d'adolescents ; l'identité de ce public particulier avec ses constantes (quête de l'identité) et ses variables (âge, vécu, groupe, ...) ; l'incidence du lieu (bibliothèques, établissements scolaires, foyers, jardins, ...) lors de la " conterie " ; l'importance du premier conte et les caractéristiques essentielles du " conte-accroche ", celui qui...
La présente fiche d'information donne un aperçu des principaux indicateurs relatifs à la R&D agricole du pays concerné, visualisés par des graphiques abordables. Elle contient également une analyse plus approfondie de certains des principaux obstacles que doit surmonter le système de R&D agricole du pays, et les options politiques à adopter pour relever ces défis.
La liste exhaustive des ouvrages disponibles publiés en langue française dans le monde. La liste des éditeurs et la liste des collections de langue française.
Lorsqu'il apprend qu'il est lauréat du prix Nobel de littérature, l'écrivain Claude Bermance est loin de se réjouir... Claude Bermance cessera-t-il un jour d'être cet éternel jeune homme en colère qui fuit la popularité comme les honneurs ? Nobel oblige y répond à sa truculente façon. À travers son héros, Max Genève se joue des prix littéraires et de l'hypocrisie qui les accompagne. EXTRAIT - Ah, la grande famille des Nobel. Quel honneur, quelle engeance ! Le délicieux Sully-Prud’homme, sûr qu’on se murmure encore ses vers dans les halls d’immeubles à la Courneuve. Le sage et rusé Winston Churchill. Le grand Thomas Mann qui transmit courageusement à son fils le cadeau encombrant de son homosexualité refoulée. L’immense Carl Spitteler, l’apôtre de la neutralité suisse. Notre Anatole, Français de France. Les duettistes danois Karl Gjellerup et Henrik Pontoppidan en 1917. Il se tourne vers le jeune peintre. - Louis-Ferdinand, avez-vous lu Pontoppidan ? À PROPOS DE L'AUTEUR Max Genève, né en 1945 à Mulhouse sous le nom de Jean-Marie Geng, vit entre Paris et Biarritz. Docteur en sociologie, il publie cinq essais “polémiques” salués par...
Découvrez l'intégrale des Mystères de Paris en un seul ebook ! 1 – Mystère rue des Saints-Pères 2 – La disparue du Père-Lachaise 3 – Le carrefour des Ecrasés 4 – Le secret des Enfants-Rouges 5 – Le léopard des Batignolles 6 – Le talisman de la Villette 7 – Rendez-vous passage d'Enfer 8 – La momie de la Butte-aux-Cailles 9 – Le petit homme de l'Opéra 10 – Les souliers bruns du quai Voltaire 11 – Minuit, impasse du cadran
Reproduction de l'original: Mémoires touchant la vie et les écrits de Marie de Rabutin-Chantal de M. Le Baron Walckenaer
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