
Le pharmacien de Saint-Flour
Auteure: Jean Vissouze
Nombre de pages: 324Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Le journaliste Brian Clifford a rencontre des hommes et des femmes qui lui ont parle de l'apparition d'un etranger se presentant a temps nomme pour tirer des individus d'un mauvais pas. Qui est cet etranger ? Quel est son nom ? A-t-il plusieurs noms d'emprunt ? Personne ne sait. Pour une raison ou une autre, il disparait aussitot apres avoir accompli ses bonnes actions
1919. Plongée dans l'hiver, la France pleure encore ses morts. De retour chez eux, les soldats doivent pourtant s'obliger à reprendre une vie normale. Grâce à l'amitié qui le lie depuis l'enfance au Comte Lucien de Lavera, le lieutenant Armand Rouvière se voit proposer le poste de régisseur au château de Saint-Chanas. À peine arrivé, le jeune homme découvre un domaine à l'abandon et une famille si marquée par le drame que la vie même semble avoir déserté les couloirs du château. Sarah, la tante excentrique, Hubert, l'héritier qui a perdu la vue dans une tranchée, Louise, la belle et inconsolable veuve de guerre, et son petit garçon délaissé, Charles, vivent reclus dans leur chambre, n'échangeant que quelques mots à l'heure des repas. Armand par sa bienveillance et sa volonté réussira-t-il à leur redonner le goût de vivre ? L'amour soufflera-t-il à nouveau sur ces cœurs endormis ? - Prix des lecteurs 2017
« Maxime Réal del Sarte ! Voilà un jeune homme qui a beaucoup fait parler de lui », me disait tout dernièrement quelqu’un. — « Oui, mais que l’on ne connaît pourtant pas suffisamment, lui répondis-je, car tous ceux qui le connaissent l’aiment et l’admirent. » Je sais qu’aujourd’hui, grâce à notre chère Action Française, de nombreux ligueurs connaissent Maxime et qu’il leur a laissé à tous un souvenir impérissable. Il faut, pour que ce souvenir soit plus profondément gravé dans le cœur, avoir vécu sa vie de la Santé. Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
Les entreprises les plus efficaces et performantes sont-elles en même temps les plus sociales ? Cette question stimulante trouve un éclairage nouveau en sillonnant ce grand espace doté d’une longue tradition industrielle que constitue l’Europe du Nord-Ouest au cours des trois derniers siècles. S’inscrivant dans une approche transnationale et régionale, cet ouvrage grâce à la grande diversité de ses contributions, souvent neuves et originales, met en perspective et analyse une dimension souvent méconnue dans la réussite entrepreneuriale, le rôle du social et du monde du travail. Sur la base d’exemples significatifs mettant en exergue l’importance de la réalité historique régionale, les différentes études rassemblées placent cette dimension sociale à la rencontre de trois éléments majeurs : l’évolution de la population active et de ses typologies de qualification ; la gestion des ressources humaines, généralement opérée par une palette de dispositions gravitant autour de la rémunération (primes de rendement, avantages en nature, hérédité de l’embauche, etc.) ; les relations professionnelles conflictuelles ou consensuelles entre employeurs...
« La Conciergerie, la plus ancienne prison de Paris, est une dépendance du Palais de justice, et elle paraît remonter à son origine même. Ses bâtiments sont irréguliers et l’on y voit des vestiges de tous les ordres d’architecture. Le Palais fut habité par les rois de la première race ; il ne le fut pas par ceux de la seconde, et les douze premiers rois de la troisième seulement y résidèrent. Le roi Robert (1031-1060) le fit rebâtir. Plusieurs de ses successeurs l’ont agrandi ; saint Louis est de ce nombre. On attribue à ce roi les salles basses situées au-dessous de la grande salle du Palais, dite salle des pas perdus. Une de ces vastes pièces est encore appelée salle Saint-Louis (on y pénètre par une porte donnant dans la salle des gardes à la Conciergerie, et au-dessus de laquelle on lit cette désignation). Une autre a conservé le nom de Cuisines de Saint Louis. Nous avons visité ces salles formées de galeries avec arcades en ogives, d’architecture sarrasine, dit Dulaure. Les arêtes de ces ogives reposent sur des colonnes gothiques dont les socles sont à demi enfouis au-dessous du niveau actuel du fleuve. Dans les cuisines de Saint Louis, nous...
Du 17 août 1792 au 31 mai 1795, la salle des Libertés, au cœur du Palais de Justice de Paris, résonna du plus tragique des épisodes de la Révolution française. Sous l’autorité de l’Accusateur public, le tristement célèbre Fouquier-Tinville, le Tribunal révolutionnaire envoya à l’échafaud plus de 2 500 personnes. En s’appuyant sur les actes des procès, les journaux d’époque et les dossiers inédits de certains accusés, Emmanuel Pierrat livre le récit terrifiant de ces années de guerre civile. Sous sa plume, audience après audience, prennent vie les partisans d’un retour à la paix, les tenants d’une justice implacable, mais aussi les « traîtres ». Marie-Antoinette, Danton, Olympe de Gouges, Philippe Égalité, Madame Roland, Camille Desmoulins, Jean-Pierre Brissot, Saint-Just, Robespierre. Nombreux sont ceux qui sont passés du rang de juge au box des accusés. En plongeant au cœur de la machine judiciaire révolutionnaire, Emmanuel Pierrat dresse le portrait de ce Tribunal de la Terreur, miroir d’un pays « qui ne se réforme pas » mais se juge lui-même avec ardeur. Emmanuel Pierrat est avocat au barreau de Paris, ancien membre du Conseil...
Chronique de la Terreur... Traitant de la justice révolutionnaire, telle qu'elle s'exerça de septembre 1792 à juillet 1794, jamais un historien n'avait entrepris de l'illustrer dans les faits, mois après mois, jour après jour, en mettant en œuvre les dossiers de la police, documents incontestables dans leur simplicité même. Jean-François Fayard, juriste et historien universitaire, a mené l'enquête, dont voici les surprenantes conclusions. Fouquier-Tinville, accusateur public du tribunal révolutionnaire, eut à trancher 5343 cas. Grandes affaires politiques - celles de Marie-Antoinette, des Girondins, de Danton, de Hébert, de Robespierre, enfin. Affaires relevant effectivement d'actes contre-révolutionnaires - mais elles ne furent pas plus de 580. Et les autres ? Dans la plupart des cas ? À Paris et en province, ce qui est jugé révolutionnairement, ce sont propos ou attitudes estimés hostiles à la Révolution, le plus souvent sur délation. Et là, ce ne sont ni les politiques ni les aristocrates qui sont condamnés, mais n'importe qui. Un homme a appelé son chien Citoyen ; une femme a réclamé à sa voisine un rouet : un sectionnaire a compris roi... Ainsi, le ...
Le samedi 18 mars 1871, le Journal officiel de la République française publiait le n° 77 de sa troisième année. Jamais il n’avait paru plus calme dans sa placide sérénité : pas un nuage dans son ciel bleu. Un état de successions en déshérence occupait ses trois premières colonnes et formait toute la partie officielle ; suivaient, dans la partie non officielle, des nouvelles étrangères, et solem quis dicere falsum Audeat ? Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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