
Pierres qui meurent ?
Auteure: André Sarazin
Nombre de pages: 203Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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André Sarazin est l'auteur de six ouvrages sur l’architecture et la vie d’autrefois dans notre région, qui ont connu la faveur des lecteurs et sont vite devenus introuvables. Conservateur des archives de la ville d’Angers, André Sarazin nous donne aujourd’hui une réédition de son évocation du vieil Angers, augmentée des notices publiées depuis 1968 dans « Le courrier de l’Ouest ». Cette suite d’enquêtes sur les grands monuments qui ont fait la gloire d’Angers — château, remparts, cathédrale, hospice Saint-Jean, etc., hôtels aristocratiques et logis — passionnera les amoureux du passé. Comme ses précédents ouvrages, en particulier Vieux logis en Anjou, ce livre encore est entièrement illustré de la main de l’auteur, et terminé par un plan comparatif en deux couleurs de la vieille ville, et de ses transformations modernes.
"Un arc-en-ciel sur un toit d'ardoise" est l'histoire de La Noue, une vieille demeure angevine qui sut, grâce à l'amour de ceux qui l'habitèrent pendant quatre siècles, maintenir constamment son rayonnement et sa jeunesse, en survivant aux blessures des guerres et aux ravages du temps.
Quarante ans avant que l’auto-entreprise ne devienne LA solution pour nombre de jeunes des générations à venir, l’auteur, enfant heureux mais rebelle, prit son destin en main à dix-huit ans, sans diplôme ni formation, et partit à la conquête du monde. Il entreprit une carrière multiforme et passionnante, s’adaptant aux circonstances, aux opportunités qui se présentaient, exerçant alors dix métiers différents dans une vingtaine de pays de l’Europe, d’Afrique et du Moyen Orient. Il réussit à commercer aussi bien aux Etats-Unis qu’au Japon et dans les pays du Sud Est Asiatique. Après quarante-deux années de vadrouille planétaire, il prit une retraite méritée mais se lança dans une carrière littéraire non programmée qui l’amena à rédiger ce dernier ouvrage autobiographique qui pourrait donner des idées à ceux qui n’en ont pas ou à ceux que la vie actuelle abandonne au bord du chemin.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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Après trente-trois années d'enseignement à l'université d'Angers, Jacques Maillard ayant souhaité prendre sa retraite, ses collègues et ses amis ont voulu, en témoignage de remerciement pour son activité, lui offrir ce volume de mélanges. Les vingt-six contributions de celui-ci donnent un aperçu des orientations actuelles de l'histoire urbaine de l'Antiquité à nos jours, autour de cinq thèmes : évolution des institutions municipales, relations entre pouvoir central et autorités locales, formes du contrôle de la ville sur le « plat-pays », richesse de la culture des élites, ferveur des pratiques religieuses. Sur chacun de ces thèmes l'ouvrage établit une comparaison entre l'histoire d'Angers, objet privilégié des recherches du professeur Maillard, et celle d'autres villes, tant en France qu'en Europe et sur d'autres continents, ainsi au Canada et en Égypte. Le résultat est un tableau à la fois riche et nuancé des recherches contemporaines sur l'histoire des villes, qui renouvelle magistralement nos connaissances et ouvre la voie à de nouvelles perspectives comparatives. Jacques Maillard, agrégé d'histoire, docteur d'État, est professeur émérite à...
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Les édifices en pan de bois sont l'une des composantes majeures du paysage urbain et rural dans de nombreuses régions de France. Ils témoignent d'un mode constructif qui fut largement répandu dans l'architecture du Moyen Âge et de l'époque moderne, et dont le succès s'illustre aussi bien par la diversité des structures, des assemblages, des hourdis et des éléments de décors ornant les façades que par les multiples emplois de cette technique : édifices à usages agricoles, maisons polyvalentes urbaines, habitat sériel d'opérations de lotissement, résidences seigneuriales, églises, etc. Cet ouvrage présente un état des connaissances sur la construction en pan de bois du XIIIe au XVIe siècle en France, à travers une vingtaine de contributions qui s'appuient sur l'analyse des sources textuelles et iconographiques, des relevés d'archéologie du bâti, des datations dendrochronologiques et des observations architecturales. Elles s'intéressent aux techniques de charpenterie, à l'approvisionnement des bois d'œuvre, aux organes de circulation et de distribution des édifices ou encore aux relations structurelles avec les planchers, la charpente du comble et les...
Les lignes de force de la cinquième République n'apparaissaient-elles pas à travers les sondages de 1947? Ce sont bien les nouvelles institutions qui ont remodelé le paysage politique. « Copyright Electre »
L'engrenage qui tua le roi de France. 1789 est la dernière année de Versailles comme lieu de pouvoir. Les rituels de la vie de cour, qui semblent imperturbables, sont bousculés par les événements révolutionnaires suivant un rythme et une densité sans précédent. Le 17 juin, le roi perd son pouvoir au profit de l'Assemblée nationale. Cette révolution politique et institutionnelle est suivie d'une révolution populaire le 14 juillet, d'une révolution sociétale le 4 août, d'une révolution idéologique le 26 août, d'une révolution sociale les 5 et 6 octobre. En moins de quatre mois, un système plus que millénaire est abattu. Avec un art du récit sans pareil, Alexandre Maral restitue l'enchaînement, serré, des événements à la lumière de la perception qu'en ont eue les habitants du lieu – souverains, courtisans, députés, citadins. Il prend appui sur des archives, des périodiques, des témoignages personnels et des dépositions – sources inédites – et explore les moindres détails de cette dynamique conflictuelle, examinant ainsi sur un processus qui contient en germe la proclamation de la République et la condamnation à mort du souverain.
Rien ne prédestinait Jean Hiernard à publier un jour le Journal de voyage d’un Silésien du xvie siècle. Spécialiste d’histoire romaine, il fit un jour par hasard connaissance, par le truchement de l’austère Corpus Inscriptionum Latinarum, de Seyfried Rybisch, un étudiant en droit passé par Poitiers en 1552 au cours de sa peregrinatio academica où il avait relevé quelques épitaphes antiques. Il lui est apparu comme une sorte d’alter ego dont il découvrit les manuscrits, aujourd’hui conservés à Wrocław, l’ancienne Breslau. L’Itinéraire de Rybisch, comme ses nombreux semblables à cette époque, nous fait parcourir en compagnie de ce studiosus et de ses camarades les chemins de la Renaissance. Son édition, accompagnée d’un commentaire exhaustif, a nécessité de longues années parsemées de doutes, de déceptions, mais aussi de découvertes. L’étude des récits de ce genre permet de renouveler notre connaissance de l’univers mental et intellectuel d’un moment de l’histoire où l’Europe moderne était en train de naître.
En Anjou, les Beaufortais souhaîtent connaître leurs monuments " mais aussi l'histoire dont ceux-ci ont été les témoins et le milieu dans lequel ils se situaient, selon l'article 7 de la charte adoptée à Venise en 1964, par les architectes et techniciens des monuments historiques. Il convient ainsi de se replacer dans le contexte de la situation de cette petite ville comme siège d'un comté pendant quatre siècles et demi et depuis toujours au centre d'une vallée agricole particulièrement fertile. Ce livre vient compléter une série de cinq autres ouvrages déjà parus concernant les éléments les plus caractéristiques de ce patrimoine. Les recherches effectuées depuis 2005, dans les archives et bibliothèques, les contacts pris auprès des porteurs de souvenirs, ont permis de constituer une grande quantité d'informations. Classées, elles sont insérées ici, pour en assurer la conservation et la transmission.
Au milieu du XXe siècle, soit au cours du passage de la société traditionnelle au monde contemporain, l’Ontario français a connu une rupture définitive dans son organisation sociale. C’est à ce moment que les Franco-Ontariens mettent sur pied un réseau unique de centres culturels, véritables foyers d’intégration d’une collectivité éclatée. Existe-t-il un lien entre ces deux phénomènes ? Pour répondre à cette question, Diane Farmer décrit les mécanismes de maintien et de transformation de l’identité franco-ontarienne en soulignant le rôle primordial du centre culturel dans ce processus. Elle analyse l’émergence et le fonctionnement de quatre centres culturels de l’Est et du Nord-Est, de même que la dynamique communautaire dans laquelle chacun inscrit son action. Cette étude lui permet de préciser les éléments qui assurent la cohésion du groupe et de cerner dans quelle mesure il y a création d’un espace francophone en Ontario.
Historical and literary scholars have become increasingly interested in women's roles in and approaches to war. In times of conflict, French and francophone women have made crucial contributions in aid of the patrie, but wars have also set women against the governing powers, frequently forcing them to choose between their concerns as women, and the economic and social demands of their belligerent nations. This volume, the proceedings of the 9th UK Women in French conference entitled 'Les femmes et la guerre', brings together scholars from different academic disciplines - history, sociology, politics, literary criticism and gender studies - who explore the impact of war upon women in French and francophone societies. Les critiques littéraires et les historiens s'intéressent de plus en plus aux rôles des femmes pendant les périodes de guerre. Les femmes françaises et francophones ont, par leurs actions cruciales, aidé la patrie en temps de guerre ; cependant, les conflits ont également opposé les femmes à leur gouvernement, en les obligeant souvent à choisir entre leurs intérêts en tant que femmes et les exigences économiques et sociales de leur pays belligérant. Ce...
Loués ou honnis, tels demeurent dans la mémoire française les chefs de guerre qui, de 1793 à 1796, menèrent les révoltes royalistes de l'Ouest contre les armées républicaines. Leur jeunesse et leur audace ont fait leur légende, dorée ou noire. Mais c'est en cela que ces champions de la monarchie sont également des héros modernes. Cathelineau " le saint de l'Anjou ", Lescure " le saint du Poitou ", Bonchamps le magnanime, Talmont le vengeur, d'Elbée le provocateur Marigny l'indiscipliné, Stofflet l'infaillible, La Rochejaquelein le cadet et Charette " le roi de la Vendée " : voici l'épopée d'une génération qui, toute à sa fureur de vivre, a choisi pour destin de revivre l'Iliade. C'est avec un souffle homérique que Jean-Joël Brégeon en restitue ici l'histoire. Préface de Gérard Guicheteau
" Je suis plus près de l'extravagance que qui que ce soit. " Comme ce fut le cas naguère pour Camille Claudel, ce livre révèle la destinée romanesque d'une femme marginale et d'une artiste d'exception tombée dans l'oubli. Morte en exil à Florence en 1886, Félicie de Fauveau fut considérée de son vivant comme une sculptrice étonnamment douée, appréciée par Balzac, Dumas et Stendhal. Mais son image de pasionaria et de rebelle a nui à sa reconnaissance o cielle. Félicie de Fauveau appartient à la caste sulfureuse des conspiratrices, des amazones et des aventurières. Portant en elle le rêve fou et anachronique d'une monarchie idéale en plein XIXe siècle, elle s'est battue pour une cause perdue d'avance dans le bocage vendéen. Marginale, Félicie l'a été aussi dans son mode de vie et ses relations amoureuses. Une grande passion sentimentale l'a unie à une femme qui fut aussi sa compagne de combat. Félicie de Fauveau ne s'est jamais mariée. Elle a vécu de son travail, faisant le choix di cile de l'indépendance. Dans ses ateliers de Paris puis de Florence, elle a transformé les idéaux de sa jeunesse en une esthétique romantique qui lui a valu d'être...
Collection : L'or bleu
Henriette Edme est née en 1719, au temps de « l'aimable Régence » (Voltaire). Elle est l'aînée d'une famille de bourgeois gentilshommes installée dans le modeste château des Rouaudières, à Cormenon, dans le Perche Vendômois, ou Bas-Vendômois, zone de contact entre Maine, Beauce et Orléanais. Celle qui devient Mme de Marans après un mariage tardif, vit noblement et passe son temps libre à lire, réfléchir et écrire en son for privé. Ses écrits personnels, conservés par sa famille, montrent sa grande culture ainsi que son ambition « d'en apprendre davantage », à l'encontre des discours du temps sur les savoirs des femmes, à l'encontre des idées reçues sur les savoirs des châtelaines. Cette étude se propose de montrer comment Henriette de Marans façonne son image de femme cultivée : elle est l'actrice de la construction de son identité. Néanmoins, ce portrait remarquable n'est pas celui d'une héroïne exceptionnelle. Henriette de Marans vit comme ses semblables de la petite et moyenne noblesse provinciale, elle n'est ni brimée ni particulièrement encouragée, elle véhicule les lieux communs lus et entendus, elle ne revendique pas, elle ne...
Evoquant de multiples destins avec l'épure du zen, cette " Emeraude bleue " étincelle à la manière des bijoux finement ciselés. Ses facettes ont tantôt les teintes d'un ardent réalisme, tantôt celles de la fable. On y découvre des personnages hors du temps, nés en des terres légendaires, et dont la vie connaît des dénouements aussi riches de sens qu'inattendus. " Comme j'aime cette " Emeraude bleue " ! Je suis sous le charme de son éclat merveilleux. " Michel TOURNIER, de l'Académie Goncourt.
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