Des origines à nos jours, « Les faits marquants de l’histoire de Mont-de-Marsan » se déclinent au travers de 118 pages rédigées à partir des plus récentes découvertes archéologiques, mais aussi des ouvrages spécialisés déjà publiés sur une des périodes de cette longue aventure urbaine, résumée ici à l’intention d’un vaste public tant de visiteurs que d’habitants de la « cité aux trois rivières ».
Après « Il y a 100 ans... naissait la Côte d’Argent », Serge Pacaud reprend l’idée d’un ouvrage sur la Côte d’Argent, évoquant ici Biscarrosse – son Bourg, la Plage, les lacs et l’aventure de l’hydravion – et Sanguinet. Le tout est abondamment illustré par des cartes postales anciennes, inédites pour la plupart, de la collection de J. Cabannes. Les plus anciennes cartes postales datent d’il y a cent ans et les plus récentes d’avant 1940. Un ouvrage inédit qui va réjouir tous ceux qui, habitant Biscarrosse et Sanguinet, veulent mieux connaître l’histoire du siècle passé de ces deux localités. Un ouvrage qui va réjouir tous ceux qui, natifs de l’endroit, pourront évoquer, avec plaisir ou émotion ce que furent le Biscarrosse et le Sanguinet du temps passé. Serge Pacaud, grand spécialiste de l’époque 1900, auteur de plusieurs ouvrages régionalistes sur les Landes, la Gironde et sur les mœurs du temps, propose un ouvrage fort documenté, agréable et instructif sur ces deux villages landais. J. Cabannes & A. Volckaert ont vécu leur adolescence respectivement à Biscarrosse et Sanguinet. Par leur mariage, ils ont relié les deux cités...
Le Moyen Age connut le temps des Cathédrales qui concerna toute la chrétienté, tant l'aspiration en la foi, la sublimation du Divin, la peur de la vie et de la mort revêtaient une importance extrême dans cette époque superstitieuse. On connaît moins le temps des Bastides qui n'intéressa dans leur forme spécifique que le midi de la France, alors partagée entre la suzeraineté du roi de France, celle du roi d'Angleterre-duc d'Aquitaine et de leurs vassaux respectifs. Ces fondations durèrent à peine un siècle et demi, mais sont caractéristiques d'une édification urbaine générale qui influa durablement sur la sociologie et la politique des états en perpétuels bouleversements. Plusieurs dizaines de villes neuves surgirent des sols que Français et Anglo-Gascons, ducs et comtes, se disputaient sur ce territoire morcelé en une foule de fiefs. Aujourd'hui, que reste-t-il de ces bastides adaptées aux conditions économiques et militaires d'alors, que sont-elles devenues après 700 ans d'histoire ? L'ouvrage tente de retrouver les traces de toutes celles que l'on créa dans le département de Lot-et-Garonne, une soixantaine au bas mot. De nombreux documents sont perdus, ...
NB : Le fichier EPUB est disponible uniquement en version "MISE EN PAGE FIXE". Le Moyen Âge connut le temps des Cathédrales qui concerna toute la chrétienté, tant l’aspiration en la foi, la sublimation du Divin, la peur de la vie et de la mort revêtaient une importance extrême dans cette époques superstitieuses. On connaît moins le temps des Bastides qui n’intéressa dans leur forme spécifique que le midi de la France, alors partagée entre la suzeraineté du roi de France, celle du roi d’Angleterre-duc d’Aquitaine et de leurs vassaux respectifs. Ces fondations durèrent à peine un siècle et demi, mais sont caractéristiques d’une édification urbaine générale qui influa durablement sur la sociologie et la politique des états en perpétuels bouleversements. Plusieurs dizaines de villes neuves surgirent des sols que Français et Anglo-Gascons, ducs et comtes, se disputaient sur ce territoire morcelé en une foule de fiefs. Aujourd’hui, que reste-il de ces bastides adaptées aux conditions économiques et militaires d’alors, que sont-elles devenues après 700 ans d’histoire ? L’ouvrage tente de retrouver les traces de toutes celles qui furent fondées ...
Le Moyen Âge connut le temps des Cathédrales qui concerna toute la chrétienté, tant l’aspiration en la foi, la sublimation du Divin, la peur de la vie et de la mort revêtaient une importance extrême dans cette époques superstitieuses. On connaît moins le temps des Bastides qui n’intéressa dans leur forme spécifique que le midi de la France, alors partagée entre la suzeraineté du roi de France, celle du roi d’Angleterre-duc d’Aquitaine et de leurs vassaux respectifs. Ces fondations durèrent à peine un siècle et demi, mais sont caractéristiques d’une édification urbaine générale qui influa durablement sur la sociologie et la politique des états en perpétuels bouleversements. Plusieurs dizaines de villes neuves surgirent des sols que Français et Anglo-Gascons, ducs et comtes, se disputaient sur ce territoire morcelé en une foule de fiefs. Aujourd’hui, que reste-il de ces bastides adaptées aux conditions économiques et militaires d’alors, que sont-elles devenues après 700 ans d’histoire ? L’ouvrage tente de retrouver les traces de toutes celles qui furent fondées en Lot-et-Garonne, une soixantaine au bas mot. De nombreux documents sont...
Le Moyen Âge connut le temps des Cathédrales qui concerna toute la chrétienté, tant l’aspiration en la foi, la sublimation du Divin, revêtaient une importante extrême dans cette époque superstitieuse. On connaît moins le temps des Bastides qui n’intéressa dans leur forme spécifique que le midi de la France, en particulier la région aquitaine, dépendant alors de la Couronne anglaise. Ces fondations durèrent à peine un siècle et demi, mais sont caractéristiques d’une édification urbaine générale qui influa durablement sur la sociologie et la politique des états en perpétuels bouleversements. Dans cette partie du Languedoc et du Roussillon de jadis, plusieurs dizaines de villes neuves surgirent des terres que Français, Aragonais ou grands vassaux se disputaient suite à la redistribution des cartes qu’amena la Croisade contre les Cathares. Aujourd’hui, que restent-ils de ces bastides adaptées aux conditions économiques d’alors, que sont-elles devenues après 700 ans d’histoire ? L’ouvrage tente de retrouver les traces de toutes celles que l’on créa dans les trois départements de l’Ariège, de l’Aude et des Pyrénées-Orientales. De...
NB : Le fichier EPUB est disponible uniquement en version "MISE EN PAGE FIXE". Un promeneur inattentif pourrait croire que Mont-de-Marsan, cité préfectorale moderne, est toute entière dans son temps, et d’architecture ancienne n’évoquerait que son passé commercial récent des XVIIIe et XIXe siècles. Pourtant, au cœur de la cité, au détour d’une ruelle, sur le bord des rivières, se trouvent encore des vestiges séculaires qui rappellent la fondation du bourg, les péripéties historiques, politiques et guerrières qui firent de Mont-de-Marsan une forteresse médiévale. Prosper Mérimée avait décrété qu’aucun édifice antique ou moyen-âgeux dans les Landes n’était digne d’intérêt. Opinion largement contredite par de nombreuses fouilles qui ont permis de mettre en lumière un patrimoine incontestable... Serge Pacaud, chercheur et historien, dans une série de monographies consacrées aux vestiges médiévaux de ce département, s’attache à évoquer le passé de ces vieilles ruines, trésors avérés de l’architecture historique des Landes. A la suite des précédentes monographies sur La Bastide d’Armagnac, Bessaut et L’Abbaye de Sorde, un...
De la Picardie à Frédéric Mistral, l'inventeur des félibres, l'ouvrage récapitule les traditions et les coutumes de nombreuses provinces françaises, en déterminant quelques spécificités remarquables qui firent le sel d'un folklore régional étonnamment dense. Par une iconographie exceptionnelle et de minutieuses recherches, l'auteur nous plonge dans la France du début du XXe siècle, rurale aux trois quarts, qui se nourrissait encore d'usages issus d'époques immémoriales, mais que les temps modernes allaient gravement compromettre.
Au début du XXe siècle qu'en était-il de la Lorraine, province amputée de sa partie mosellane par les traités de 1871, pour ce qui concerne la vie quotidienne de ses habitants ? De mêmes moeurs, porteurs d'une histoire quasiment commune, les habitants des départements "républicains" de la Meuse, de la Meurthe-et-Moselle, des Vosges et de l'ancienne (et future) Moselle ont été formaté dans le même moule ethnographique de traditions voisines, depuis des générations. Qu'ils fussent anonymes, paysans, ouvriers, femmes de peine ou illustres personnages - comme Barrès, Poincaré ou Marthe Richard -, tous s'intégrèrent parfaitement dans ce creuset commun qui donnait à voir l'image aimable de cette province. L'ouvrage met particulièrement l'accent sur les us et coutumes, sur le quotidien des Lorrains et des Lorraines, race rude mais droite, unique mais universelle, captivante et passionnante, confrontée aux aléas de sa situation géographique depuis les invasions barbares du Ve siècle. L'auteur a mené le même travail passionnant sur les anciennes provinces de Guyenne, Gascogne, Béarn, Pays Basque et Bretagne. Serge Pacaud, historien et écrivain a publié, entre...
Après avoir évoqué les faits et les personnages extraordinaires de la Belle Epoque dans un ouvrage précédent, l'auteur nous invite à partager le quotidien de nos arrière-grands-parents. De nombreux sujets de la vie courante sont abordés, commentés et abondamment illustrés de cartes postales de ce temps. Formidable livre de souvenirs, l'ouvrage restitue le goût et l'odeur de la Belle Epoque en un album familial qui fédère chaque Français dans une même mémoire collective.
Trois personnages, deux clercs et une moniale, se retrouvent reclus dans une maison du quartier Saint-Gilles à Orthez, lors de l’épidémie de peste noire en 1348. Durant six jours et six nuits, ils doivent attendre, cloîtrés, le délai d’incubation de la terrifiante maladie pour être certains de ne pas en subir la contamination et de pouvoir revenir dans la société. Afin de s’occuper et à tour de rôle, chacun raconte aux autres des récits et des historiettes impliquant les relations humaines dans ce qu’elles ont de plus intimes, et qui se déroulèrent sur les terres du duché d’Aquitaine, du comté d’Armagnac, de la vicomté de Béarn et des fiefs de leurs vassaux. Animés par le Credo et la superstition, deux fois dans la journée, ils prennent la parole comme pour, à la fin de la semaine, parodier le poème des troubadours, la sextine composée de six sizains et d’un tercet. En se promettant, s’ils en réchappent, de former lors de leur délivrance l’ultime strophe par l’évocation d’une anecdote personnelle. Hélas, en suscitant six fois le chiffre six, nombre duquel résulte la maturation de la Bête dans l’Apocalypse de Saint-Jean, ils...
En 1946, les autorités, dans un élan certain d'humanisme, se prononcèrent pour la fermeture des maisons de tolérance. Le département des Landes, comme les autres, se soumit à ce diktat. Mais le problème de la prostitution demeurait toujours et participait à la réalité d'une longue histoire. Dès le début du XIXe siècle, la loi décida que les municipalités devaient assurer la responsabilité de l'enfermement des femmes de mauvaise vie, ainsi que de leur mise en carte. Elles s'en acquittèrent avec, plus ou moins, bonne conscience. Mais rien n'était résolu en ce qui concernait la divagation des prostituées clandestines. On tenta de réglementer les unes et les autres, pourtant les lois successives de la IIIe République et de l'État français de Vichy ne firent qu'accentuer leur déchéance physique et morale. Serge Pacaud, auteur de plusieurs ouvrages sur la vie traditionnelle des Landais à la Belle Époque, nous livre la synthèse de ses recherches sur la prostitution dans ce département, pendant les cent cinquante ans que dura la tolérance. Enquête unique à ce jour dans les Landes. Sans tabou ni complaisance, les archives, souvent oubliées, parfois...
Les anciennes provinces françaises recelaient de traditions, de coutumes, d'usages particuliers. La façon de se vêtir et les habits utilisés participaient de ces habitudes. Chaque contrée possédait ses règles propres dont il n'était pas question pour quiconque de s'affranchir. Au début des années 1900, l'observateur constatait partout dans les campagnes une profusion de costumes originaux et de coiffes remarquables, puis leurs exhibitions déclinèrent dans les décennies suivantes. D'où provenaient ces rituels, qu'en était-il de leurs origines, de leurs particularismes, de leurs évolutions, de la perte de leur influence ? Quelle était la part du folklore, de la vérité, de l'ostentation ? À toutes ces questions et à d'autres, ce livre apporte par une lecture ludique et une documentation remarquable des réponses claires et précises.
Dans cette collection qui se veut accessible à tous afin de permettre une meilleure connaissance de l'histoire de France dans sa composante régionale, revivez le destin particulier des Landes, de la Préhistoire jusqu'à l'époque moderne, peuplé de tragédies et de bonheurs, de périls et de fortunes diverses. Cet ouvrage, qui se lit comme un roman d'aventures extraordinaires, retrace les grandes péripéties qui formatèrent le département, qui définirent son admirable spécificité, qui réalisèrent ce que nous connaissons à présent de son identité unique.
L'ouvrage dépeint la saga romancée d'une puissante et ambitieuse famille seigneuriale durant le Xvè siècle
L a province de Béarn était un vestige du Moyen Age et de la Renaissance, ancien pays " souverain " jusqu'en 1620. Que restait-il, à l'orée des années 1900, de la province dissoute par la volonté des Conventionnels, un siècle plus tôt ? A la Belle-Epoque, les mœurs, les coutumes et les traditions formataient dans une même culture les individus venus de contrées différentes. Le but du présent ouvrage, qui restitue par le texte et une iconographie exceptionnelle les heures glorieuses du Béarn, est de nous attarder sur toutes ces spécificités qui permirent à cette province d'acquérir son incontestable renommée. L'auteur a mené le même travail passionnant sur les anciennes Guyenne et Gascogne. Et également sur le Pays basque.
Que représentait le littoral français au début du XXe siècle ? Depuis toujours, on le considérait essentiellement comme un domaine militaire, frontière naturelle avec les autres pays maritimes en concurrence commerciale. Mais il était également une source de survie pour toute la population qui y vivait. De Dunkerque à Hendaye, les chroniques rapportent les aléas, les vicissitudes et les satisfactions de ces côtes françaises ouvertes sur la mer du Nord, la Manche et l'océan Atlantique, qui accueillaient alors une nouvelle économie, chaque année plus triomphante : le tourisme. Grâce à une documentation constituée de cartes postales anciennes, l'ouvrage relate toutes les spécificités de ce littoral remarquable par sa diversité, évoquant le destin des gens de la mer, de leurs habitats, de leur environnement et de leurs mœurs, confrontés dorénavant à la diminution de la ressource naturelle et à l'invasion balnéaire estivale.
Illustré de cartes postales d'époque, ce récit de la vie de Mata Hari, personnage énigmatique, danseuse, courtisane et espionne, tente d'établir la vérité sur son curieux destin, qui a alimenté les fantasmes de l'imaginaire collectif de la première moitié du XXe siècle.
Le souvenir de l'année 1936 agit dans la mémoire collective comme le plus pur symbole du roman national, voici 80 ans, le Front Populaire accédait au pouvoir. Les lois sociales, l'extraordinaire entrain qui animait le peuple, l'espérance enfin en des jours meilleurs, tout concourait pour susciter de cette époque une formidable confiance. Etait venu le temps où, dans les usines, les ouvriers reprenaient espoir en leur condition, où les employés et les fonctionnaires se remettaient à l'ouvrage avec dynamisme, où les ménagères appréciaient avec justesse les efforts à poursuivre pour la tenue de leur modeste ménage, où les enfants ne pleuraient plus la faim. La promesse des lendemains qui chantent se concrétisait. Hélas, en ce milieu des années 30 qui voyait l'émergence de gouvernements dictatoriaux, la possibilité de guerres futures dans un environnement social toujours dégradé, les plus lucides des observateurs pressentaient que cette embellie ne durerait pas longtemps.
La Belle Epoque, chère à notre mémoire et à nos fantasmes, connut de multiples événements sociologiques, politiques, des faits divers, catastrophes et tragédies en nombre. Cet ouvrage, par l'image et la photographie, tente de nous faire revivre une époque située à l'aube des temps modernes et mettre un visage sur des noms surgis d'une histoire oubliée : Alfred Dreyfus et Emile Zola, Félix Faure et sa belle maîtresse Marguerite Steinheil, Paul Déroulède et Jules Guérin, Sarah Bernhardt et Caroline Otéro, Emile Combes et le préfet Louis Lépine, Thérèse Humbert et Gabriel Syveton, le bon président Armand Fallières et Georges Clemenceau, Marcellin Albert et Louis Blériot, Jules Bonnot et Henriette Caillaux...