Le manoir des mortes-amours
Auteure: Jean d'Astor
Nombre de pages: 260Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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Notre système scolaire, premier lieu d'insertion sociale, est devenu au fil des années le premier lieu d'exclusion sociale... Mais quels sont donc les facteurs qui ont provoqué une telle dégradation amenant à considérer l'école comme un lieu de souffrance ? Cet ouvrage est une explication des développements actuels de la psychologie de l'enfant et de l'adolescent, appliquée à l'école, enrichie du regard d'une directrice d'école primaire.
Monique Wittig fut à la fois l'auteur d'une œuvre romanesque importante, une militante engagée dès l'origine dans le mouvement de libération des femmes, et une théoricienne prônant un féminisme matérialiste qui remet en cause, à partir du point de vue lesbien, « la pensée straight ». Reconnu et étudié depuis longtemps déjà à l'étranger, et notamment aux États-Unis où elle a vécu, son travail d'écriture, inextricablement lié à une activité militante et à une exigence théorique, restait à approfondir en France. Lire Monique Wittig, c'est interroger les rapports entre façons d'écrire, façons de parler et façons d'agir, tels qu'ils se manifestent dans ses textes mêmes : c'est ce que propose ce livre, qui réunit des contributions d'universitaires issues de différents champs disciplinaires, de militant.e.s, d'écrivain.e.s. Pour qui en effet se refuse à penser que la littérature appartienne aux arts décoratifs, pour qui pense qu'au contraire peuvent s'élaborer dans l'écriture des pratiques susceptibles d'être réappropriées et que le travail sur le langage est le lieu même où peuvent se former une pensée et une politique, alors Lire Monique...
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Monique Saint-Hélier (1895-1955) connaît le succès dans les années trente en France, grâce notamment à la violente polémique que suscite son deuxième roman, Bois-Mort (1934). Pourtant, dès les années cinquante, la romancière disparaît durablement de l'histoire littéraire française. Pourquoi les romans de Monique Saint-Hélier déchaînent-ils les passions critiques, puis ne rencontrent-ils plus que le désintérêt après la Seconde Guerre mondiale? Comment expliquer le silence éditorial de près de vingt ans qui sépare la publication des ouvrages des années trente de ceux des années cinquante, alors même que ces romans appartiennent à un même ensemble narratif? Fondée sur des sources inédites et un vaste corpus de comptes rendus, l'étude de la réception critique de l'oeuvre de Monique Saint-Hélier en France apporte des réponses aux nombreuses questions soulevées par cette trajectoire particulière. Malgré toute sa singularité, ce parcours permet également une réflexion plus générale sur les variations de la réception d'une oeuvre à des époques différentes.
"Naturalisation des réfugiés française à Neuchâtel de la révocation de l'édit de Nantes à la révolution française, 1685-1794," with list of refugees: v. 37, p. [197]-285.
Cinq ans après être déménagé en ville à la suite d'un incendie ravageur, la famille Robichaud peine toujours à se sortir de son marasme. Et tandis que les enfants grandissent, leur père Emile cultive son infamie. Travaillant et débrouillard, il subvient néanmoins à ses propres besoins avant ceux de sa famille. Son penchant pour l'alcool s'es aggravé avec le temps, ce qui exacerbe ses traits de personnalité les plus déshonorants. Monique, l'aînée de la famille, attire les hommes par sa beauté provocante. Trop occupée à épauler sa pauvre mère dans l'économie familiale, la jeune fille n'a pas conscience du charme qu'elle dégage. Bientôt, Paul, un vétéran de la Seconde Guerre mondiale, se démarque des autres prétendants, Lauretta, elle, voit d'un bon oeil les avances du jeune homme, qu'elle considère être un bon parti pour sa fille. Si seulement Emile était aussi valeureux... Lorsque Monique et Paul convolent en justes noces, leur union devient source de bonheur pour le clan Robichaud, qui accueillera sous peu un nouveau membre. Mais, tandis que la promesse d'une vie heureuse semble vouloir se concrétiser pour les uns, Emile vient mettre du sable dans...
Un murmure infini... Vous êtes-vous aventurés, un soir, lors des anciennes séances de nuit, vers les rayonnages de la Bibliothèque municipale de Toulouse (rue de Périgord) ? On y entend un murmure infini, le bruissement des paroles des livres entre eux. Certains souffrent et se plaignent d'une trop longue fermeture, de l'absence d'un lecteur attentif ou d'une lectrice bienveillante (car la vie des livres est dans l'oeil et la main du lecteur). D'autres parlent des relations des personnels de la Bibliothèque dont ils sont les témoins au fil des jours et des années. Ils ont vu et entendu des choses humaines multiples et étonnantes, pendant des centaines d'années. Ils paraissent plutôt apaisés et reconnaissants pour ces derniers temps. Ils avaient connu des choses bien plus déroutantes, jadis... Ce sont les premières sensations que nous recueillons au sein du murmure incessant. Comme une plainte, un appel fragile, une invitation pour notre regard et notre écoute. Dans l'émotion et le recueillement, d'autres paroles viennent à nous, si nous voulons y prendre garde. Il nous faut alors entrer dans le silence des livres et laisser résonner la voix qui vient du papier....
Explosion démographique... Les cités grouillent. Pour ne pas mourir par étouffement, Marianne interrompt ses études en Sorbonne, devient institutrice dans un coin de province où l’homme n’a pas encore tué la nature. Là, elle est reine en son royaume. Elle a du goût pour sa tâche, est à l’aise au milieu des champs, apprivoise un rat. Le docteur d’une commune voisine s’attache à la jeune fille. Il reste néanmoins solidaire de sa femme qui, des années plus tôt, a perdu la raison, dans un camp de « nuit et brouillard ». Marianne, sans se poser de questions, sans trop en poser, se donne joyeusement à son compagnon du soir. Tout est pour le mieux jusqu’au jour où Catherine, la plus grande élève, commet une erreur, qu’elle regrette vite, qui pourrait ne pas être grave si on lui venait en aide. Mais dans un monde où l’individu ne compte pas, où elle ne peut que subir la loi aveugle de l’espèce — tous les trois dixièmes de seconde un enfant naît sur la terre — cette erreur tourne au drame. Marianne, bouleversée, a soudain envie de se battre. La bêtise est un bulldozer. Il faut se battre contre les bulldozers. Quand on a vingt-deux ans, du...
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Ce recueil est dédié à la mémoire de ma très chère amie la regrettée Monique Delord. Prière. J’ai des vents à te confier Des pluies à te semer Des nuits à te réciter Veux-tu J’ai des houles pour te bercer Mon rivage pour t’embrasser L’écume pour t’habiller Veux-tu J’ai des soleils à te souhaiter Des lunes à t’avouer Des champs à te chanter Veux-tu J’ai des étoiles à libérer Dans ton jardin pour te veiller Des arbres pour porter Ton ciel et te célébrer Je veux Amen !
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Le sort de Marie Stuart, reine d’Écosse accusée de trahison, emprisonnée pendant près de vingt ans, puis exécutée pour rébellion par Élisabeth d’Angleterre, a inspiré des générations d’écrivains et d’artistes. Le livre s’attèle à étudier diverses facettes de cette réception, du XVIe siècle à nos jours. Il propose, en filigrane, une réflexion sur les rapports entre histoire et fiction. Dès les années 1560, Marie Stuart fait l’objet de deux lignées d’interprétation concurrentes : celle qui voit en elle une martyre innocente, et celle qui la diabolise comme une traîtresse ignoble. À la fin du XVIIIe et au XIXe siècle, le romantisme transforme la figure de Marie Stuart en une héroïne passionnée. Les artisans les plus connus de cette métamorphose sont Schiller et Donizetti. L’image romantique perdure, notamment sous la plume de Stefan Zweig et grâce aux adaptations cinématographiques. Plus récemment, des lectures féministes sont venues s’ajouter à la succession de strates qui constituent et constitueront le mythe complexe de Marie Stuart. Historienne, Monique Weis est chercheur qualifié du Fonds national de la Recherche scientifique ...
Monique Somesnil trouve une situation d'institutrice chez Jack Saint-Angel, dont la soeur, la petite Maë, infirme, réclame des soins attentifs. Une sympathie spontanée naît entre Monique et Maë qui éprouve, au contraire, une hostilité instinctive à l'égard , de la future femme de son frère, Yvonne Le Kervec. Les efforts de Monique pour vaincre l'aversion de Maê envers ,celle qu'elle suppose n'être qu'une intrigante restent vains, ce qui provoque la colère de Jack ; il adresse de durs reproches à Mo-nique : "Vous lui avez sûrement représenté sous les traits d'une marâtre une personne que je veux faire entrer dans ma vie !" lui lance-t-il, furieux. A ces reproches injustifiés s'ajoutera une insulte d'Yvonne à son endroit que Monique ne peut pardonner. Elle préfère partir, s'éloigner à tout jamais de Jack qu'elle aime en secret. "Mon beau rêve est fini", se répète-t-elle. Mais, un jour...
Ce récit est le résultat de beaucoup de souffrances et de beaucoup d’amour. Les familles comblées par la nature et par la Providence ne peuvent jamais imaginer la longue quête des couples qui veulent des enfants et qui ne peuvent pas en avoir, l’épreuve à deux, l’un à côté de l’autre, le doute qui s’insinue, le tourment, le désespoir. Quand le choc ne débouche pas sur la séparation et le divorce, vient la résignation du couple vaincu, qui sait qu’il a raté une dimension essentielle de sa raison d’exister : l’enfant, le besoin de transmettre, certes, ce que l’on est ou ce que l’on croit être, mais aussi les joies et les peines, et la tendresse de l’enfant, la tendresse qu’il faut lui apporter. À travers leur récit vécu, celui de la première naissance réalisée aux États-Unis pour eux par une mère d’accueil américaine, Guy et Monique Libaudière proclament l’immense espoir que font naître les techniques modernes de fécondation, actuellement en plein développement en France comme aux États-Unis ou en Australie : le procédé des mères-porteuses, des mères d’accueil. L’homme et la femme ont besoin de donner comme de recevoir ...
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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L'objectif de cet ouvrage est d'exposer la mise en application de la praxéologie, son implication et ses potentialités au sein de contextes éducatifs, afin d'inciter les intervenants à développer son emploi dans les dynamiques sociétales. L'intérêt de cet ouvrage est de proposer des pistes d'intervention aux enseignants, aux formateurs, aux actants sociétaux afin que la praxéologie devienne un outil, un levier éducatif et un vecteur de la construction efficiente du monde de demain.
Tu m’appartiens explore deux thèmes : l’amour possessif et l’abus conjugal. Candace, la sœur de l’agent Rosser, s’est réfugiée en Ontario pour échapper à un mari abusif. Lorsqu’elle décide de revenir au Manitoba, elle remet sa vie en danger. Rosser tente vraiment d’éloigner sa sœur de la situation, de ce mari violent. Il s’agit de l’aliéner de ce village manitobain. Il demande l’aide du Caporal Trudel, officier de la GRC. Ceci attire l’attention de l’Inspecteur Greene qui ne tolère pas que ses policiers interviennent dans les conflits conjugaux. Arguments de vente Tu m’appartiens explore deux thèmes : l’amour réel versus l’amour possessif et l’abus conjugal. Cette deuxième intrigue dans la série de Sylvain Trudel continue à développer la relation entre le Caporal et Monique.
Un étude littéraire sur l'oeuvre de Monique Wittig et en particulier sur les thèmes qui caractérisent les textes et les revendications de l'écrivain : le lesbianisme et le féminin.
Cet ouvrage, qui offre autant de récits enchanteurs que de découvertes littéraires, rassemble les récits, poèmes et contes de Noël des plus grands écrivains de tous les temps et de tous les pays, aussi bien français qu'allemands, anglais, américains, scandinaves, russes, espagnols ou italiens. Source d'inspiration inaltérable depuis le Moyen Âge, cette littérature d'abord inscrite dans la plus haute tradition chrétienne connaît à l'époque romantique une résurrection spectaculaire qui a touché, ému et émerveillé depuis lors des lecteurs de toutes générations. Certains récits sont devenus très célèbres, comme le Chant de Noël de Dickens, Les Trois Messes basses de Daudet ou La Petite Fille aux allumettes d'Andersen. Mais d'autres, trop méconnus, méritaient d'être exhumés : de petits chefs-d'oeuvre ciselés par l'émotion tels que Fleur-de-Blé de Camille Lemonnier, Les Sabots du petit Wolff de François Coppée ou La Noël de Marthe d'Anatole Le Braz. C'est l'âme enfouie de Noël que nous dévoilent les auteurs médiévaux, comme celui de La Chasse sauvage, Orderic Vital, ou le conteur anonyme de Sire Gauvain et le Chevalier vert, relayés au XIXe...
A l'âge de quinze ans, Monique Robichaud voit sa vie prendre un tournant dramatique : elle attend un enfant, et ce, hors des liens sacrés du mariage... Nombre d'obstacles se dressent déjà sur le chemin de cette femme encore si jeune. L'accouchement survient tout juste avant que la propriété familiale soit rasée par les flammes. Emile, son père superstitieux et irascible, croit à une punition divine en réponse aux péchés de l'adolescente. Devant les attaques odieuses qui se multiplient, Monique fait front commun avec sa mère pour s'affranchir du joug patriarcal alors que la famille se relocalise dans la « p'tite ville » de Granby. Son but ultime étant de récupérer la garde de son fils illégitime, Monique n'est pas au bout de ses peines : entêté comme toujours, le grand-père du petit s'y oppose farouchement. Ce combat d'une vie s'avère le prélude à une succession de malheurs qui s'abattront sur elle jusqu'à ce qu'elle rende son dernier souffle.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Une maison dans les dunes. La vie du jeune Tom y serait presque heureuse sans cette mère indifférente, plus préoccupée par le roman qu'elle écrit que par son fils. Heureusement il y a Monique, sa marraine, qui lui donne la tendresse dont il manque. Plus tard, à Montréal, Tom rencontre Mireille, alias Fox Trot, la fille de Monique. Que fuit donc la jeune fille et pourquoi est-elle pourchassée?--[Memento].