"Le jeune August a de la chance : sa mère Paula est la soeur d’Adolphe Hitler, chancelier du Troisième Reich. En ces temps troublés de guerre mondiale, son statut de neveu du Führer lui permet d’échapper aux Jeunesses Hitlériennes et de ne pas servir de chair à canon sur le front est. Mais August ressemble trait pour trait aux caricatures du juif propagées par les nazis. Suite à un concours de circonstances, il est arrêté puis torturé par la Gestapo. Incapable de prouver sa véritable identité, il est envoyé à Auschwitz, découvrant de plein fouet la terrible réalité de la Solution Finale. Va-t-il réussir à s’échapper de cet enfer ? Plus qu’un simple roman, Neveu d’Hitler est un reportage terri fiant sur la vie quotidienne des Allemands sous le règne des nazis et les atrocités subies par tout un peuple du simple fait de sa religion."
" La BRI (Banque pour les règlements internationaux) a accepté de l'or volé. Les intérêts du Reich y prédominaient. Elle a fourni des renseignements financiers à la Reichsbank ", lit-on notamment dans un rapport officiel récent de Washington. A cela, il faut encore ajouter que son patron employa pendant la guerre, puis protégea à la Libération, des activistes nazis notoires. Ce patron s'appelait Thomas Harrington McKittrick :: le banquier américain de Hitler. Ce livre relate la succession de situations plus invraisemblables et condamnables les unes que les autres qui conduisirent un citoyen américain à une collusion avec l'ennemi. Celle-ci ne fut rien d'autre qu'une trahison de la cause alliée.
Il semble indispensable d'aborder la cinématographie allemande sous le Nazisme (de 1933 à 1945) en prenant en compte la production antérieure à cette période. Cette recherche sur l'évolution chronologique de la vie culturelle et artistique est fondamentale puisque les mutations qui s'opèrent sont autant de prodromes de la compréhension du système cinématographique sous Hitler. De plus, on ne saurait se contenter d'étudier des documentaires et des fictions, entre 1933 et 1945, sans analyser le miroir qu'ils reflètent sur la société allemande. Cet ouvrage propose une approche spécifique : celle de la sémiologie de l'image. Cette démarche permet, entre autres, de donner à voir l'ensemble du dispositif cinématographique (du contexte de production des films à la réception). Elle permet également d'interroger l'imaginaire collectif que le Nazisme tente d'insuffler au peuple allemand pour légitimer sa politique. La confrontation entre les mythes qu'ils tentent d'imposer et l'accueil que leur réservent les spectateurs, les obligent, parfois, à changer d'orientation. L'ouverture, enfin, sur la production cinématographique allemande après 1945 permet de mettre en...
1943. Reclus dans son quartier général en Prusse orientale, terrorisé à l'idée que l'on attente à sa vie, Hitler a fait recruter des goûteuses. Parmi elles, Rosa. Quand les S.S. lui ordonnent de porter une cuillerée à sa bouche, Rosa s'exécute, la peur au ventre : chaque bouchée est peut-être la dernière. Mais elle doit affronter une autre guerre entre les murs de ce réfectoire : considérée comme « l'étrangère », Rosa, qui vient de Berlin, est en butte à l'hostilité de ses compagnes, dont Elfriede, personnalité aussi charismatique qu'autoritaire. Pourtant, la réalité est la même pour toutes : consentir à leur rôle, c'est à la fois vouloir survivre et accepter l'idée de mourir. Couronné en Italie par le prestigieux prix Campiello, ce roman saisissant est inspiré de l'histoire vraie de Margot Wölk. Rosella Postorino signe un texte envoûtant qui, en explorant l'ambiguïté des relations, interroge ce que signifie être et rester humain. « Ce livre où l'on parle d'amour, de faim, de survie et de remords vous reste gravé dans le coeur. » Marie Claire Italie
Découvrez enfin tout ce qu’il faut savoir sur Adolf Hitler en moins d’une heure ! Artiste raté, ancien clochard et survivant des tranchées, Adolf Hitler est devenu le tyran le plus terrible que l’Europe ait connu, alors même que rien ne le laissait présager... Né en Autriche, il connaît une jeunesse faite de frustrations et d’échecs. La Première Guerre mondiale lui donne une cause à défendre, et c’est à corps perdu qu’il se dévoue à l’Allemagne. Mais l’humiliation qu’elle subit le laisse profondément amer et le conforte dans l’idée que la nation qu’il admire tant a été trahie par des ennemis intérieurs : les juifs et les communistes. Il n’a dès lors plus qu’une idée en tête : prendre la tête du pays pour restaurer sa puissance et imposer à l’Europe entière la suprématie de la race aryenne, qu'elles qu'en soient les conséquences. Un monstre est né. Ce livre vous permettra d’en savoir plus sur : • La vie d’Hitler • Le contexte de l’époque • Les temps forts de la vie du Führer • Les conséquences de son action Le mot de l’éditeur : « Dans ce numéro de la collection 50MINUTES Grandes Personnalités, Xavier...
Evénement majeur de notre siècle, le nazisme demeure également une énigme majeure posée aux historiens. Entre l'omnipotence diabolique de Hitler et la description de son pouvoir comme celui d'un " dictateur faible " face à un appareil d'Etat tout-puissant, Ian Kershaw risque une vision nouvelle. Ce qui devient objet d'histoire, ce n'est plus Hitler, mais sa position exceptionnelle qui excédait la mesure d'un individu sans qualité, tribun de brasserie, déclassé social, artiste raté. Hitler exerçait une autorité charismatique, fondée sur la perception, toujours renouvelée, par la masse de qualités, d'une mission, d'un héroïsme supposés du chef. Le charisme permet enfin de tenir ensemble tous les traits que les interprétations précédentes avaient jusqu'alors séparément soulignés : le pouvoir de Hitler résultait de la collaboration, de la tolérance, des faux espoirs ou de la faiblesse de tous ceux qui, en Allemagne, occupaient une position de pouvoir ou d'influence - tous reportèrent leurs attentes ou leurs ressentiments dans la personne du dictateur. Il devint l'emblème de l'activisme, la source de l'autorité légitime, l'instance de confirmation ou de...
La 4e de couverture indique: "Comment Pie XI a-t-il pu accepter de conclure un accord avec Hitler en 1933 ? Pourquoi Pie XII n'a-t-il pas pris plus fermement position contre les massacres perpétrés par les nazis ? Tiraillés entre l'affirmation de leur autorité morale et leur devoir de protéger l'Eglise, les papes ont été contraints à la prudence lors de la montée du nazisme et du déroulement de la Deuxième Guerre Mondiale. Dans cet ouvrage précis et très documenté, Marc-André Charguéraud dévoile la complexité d'une époque troublée, du Concordat de 1933 à la guerre, au cours de laquelle Pie XII, au-delà de ses " silences ", sauvera de nombreuses vies humaines. Cet ouvrage s'avère essentiel pour mieux comprendre la position parfois ambiguë de l'Eglise catholique aussi bien vis-à-vis de la question juive que des persécutions infligées aux divers peuples européens."
Une présentation exhaustive et inédite du rapport complexe qu'entretient Hitler avec la France. Premier ouvrage à donner la priorité à la vision de la France chez Hitler, ce livre novateur présente trois originalités : il repose sur des documents de la main d'Hitler et de son entourage ; il remonte à la Première Guerre mondiale et aux premières publications du Führer ; il suit pas à pas les dernières années, à partir de 1940. Autant de traits d'une personnalité kaléidoscopique qui reflètent en creux le visage d'une France mal remise du traumatisme de la Grande Guerre et se révélant incapable de saisir le phénomène hitlérien dans sa réalité profonde. " Une étude définitive bousculant clichés et idées reçues. " Le Figaro
Le 8 novembre 1923, Hitler déclenche à Munich un putsch qui, bien que s'étant le lendemain soldé par un fiasco, va énormément compter dans l'histoire ultérieure du mouvement nazi. Dans son étude, Didier Chauvet revient dans un premier temps sur les tentatives de sédition qui ponctuèrent les cinq premières années de la République de Weimar ; il explique notamment comment, suite à la faillite du putsch de Kapp en Prusse, la Bavière devint à partir de l'été 1920 un lieu de concentration des forces d'extrême droite. Puis, par un récit solidement documenté et bien mené, l'auteur restitue le scénario du coup de force de la brasserie: au fi I des pages, on ne peut qu'être stupéfié du manque d'organisation de ses protagonistes : une telle improvisation ne pouvait décidément se terminer autrement que par la débâcle de la Feldherrnhalle. Enfin, Didier Chauvet traite du procès des putschistes en s'appuyant sur les déclarations et réactions auxquelles il donna lieu : au ternie de multiples arguties juridiques, Hitler, loin d'être brisé, va quitter le tribunal grandi et désormais célèbre dans toute l'Allemagne. Durant sa détention à Landsberg, il tire...
Les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale en Europe sont les plus sanglants et les plus destructeurs de tout le conflit. Chaque jour, en moyenne, 30 000 êtres humains perdent la vie. De cette orgie de mort, Hitler est le grand responsable. Diminué par la maladie, traqué, contesté ou haï par son peuple même, réduit à vivre sous les bombes dans un trou humide, il continue néanmoins à alimenter le brasier. Pour comprendre ce cataclysme, Jean Lopez livre la chronique des derniers jours de la vie du Führer, de son retour à Berlin à la mi-janvier 1945 à son suicide en avril de la même année. Ce sont ses déplacements, ses proclamations, ses actes de gouvernement et de commandement militaire, sa vie quotidienne et ses humeurs qui sont racontés grâce aux témoignages de ceux qui l'entourent jusqu'à la fin : les Goebbels, bien sûr, mais aussi son chauffeur, son garde du corps, son médecin. Cette chronique est aussi celle des événements militaires, absolument indispensable tant la résistance de la Wehrmacht aux offensives des Alliés détermine directement le temps qu'il reste à vivre au Troisième Reich et à son maître. Elle est enfin politique et permet...
S’il ne fait plus aucun doute que le régime de Vichy était demandeur d’une collaboration avec l’occupant, l’implication personnelle de Hitler dans cette relation a été largement occultée par les historiens. Or, comme le prouvent ses Propos, il était obsédé par cette France vaincue rapidement. Une conquête encombrante mais dont il avait un besoin vital pour nourrir l’effort de guerre allemand : il s’agissait de la contrôler avec peu de personnel, de la mettre au travail et de la piller, en tendant la corde à l’extrême sans la casser. Biographe de Hitler, François Delpla se concentre ici sur la relation particulière entre les deux hommes, détaillant le rôle paradoxal du Führer dans le maintien de Pétain, contre vents et marées, le maréchal s’étant mué en professeur de résignation. La correspondance de Hitler avec le maréchal, les comptes rendus de ses rencontres avec lui, Laval et Darlan, les directives données à Abetz et à d’autres intermédiaires sont passés au crible à partir de sources en grande partie nouvelles. L’auteur les inscrit dans une perspective de longue durée en considérant la place de la France dans le projet nazi et ...
Le 30 avril 1945 L'Allemagne est dans le chaos. Les troupes russes ont atteint Berlin. Partout dans le pays, les gens sont sur la route : les survivants des camps de concentration, les prisonniers de guerre alliés, les nazis en fuite. La population civile vit dans le pire dénuement. L'homme qui a orchestré ce cauchemar s’enferme dans son bunker sous la capitale et prépare ses adieux. Le Dernier Jour d’Hitler est le récit chronologique tel qu’on pourrait le voir à travers les yeux de : - ceux qui ont côtoyé Hitler dans ces dernières heures tumultueuses, - ceux qui luttaient pour leur survie pendant les dernières heures du conflit, - ceux qui se battaient encore dans faubourgs de Berlin, - et ceux qui arpentaient les couloirs du pouvoir en Europe, en Amérique et dans le monde. C’est donc la fin de ce bâtard ! – Staline, à l’annonce de la mort d’Hitler Cette journée marqua une fin et un début. Elle a placé des gens ordinaires dans des situations extraordinaires et les dirigeants du monde dans une grande confusion. Prenez par exemple l’histoire de Sisi Wilczek, fuyant les Russes et emportant avec elle la fortune familiale dans une boîte à chaussures ; ...
La Nuit des longs couteaux constitua le point d'orgue des tensions qui agitaient le parti nazi en 1934. La rivalité entre la SS, les militaires et les conservateurs, et la SA, l'aile sociale-révolutionnaire du parti d'Hitler, déboucha sur l'assassinat de centaines de ces derniers lors de la nuit du 29 juin notamment. Une purge violente dont tirèrent profit Himmler et Göring. De sa mise en place à ses répercussions, en passant par son déroulement, ce livre retrace l'histoire de ce tournant à l'aide de documents remarquables.
Unity Walkyrie Mitford fut l’intime d’Adolf Hitler entre 1935 et 1939. Conçue en 1914 à Swastika (Ontario), petite fille d’un lord anglais ami de Wagner, nièce de Winston Churchill, belle sœur d’Oswald Mosley, leader du Parti fasciste britannique, Unity se rêva garante de l’amitié entre les peuples anglais et allemands mais ne fut qu’un instrument de la propagande d’Hitler vers le futur Edouard VII. Sont historiques ses débauches avec des officiers SS, son vrai-faux suicide en 1939, sa bizarre fin de vie en Angleterre. La rivalité mortelle entre l'amiral Canaris et Reinhard Heydrich forme le nœud de l’intrigue romanesque. Chronique de la vie privée des hiérarques nazis, ce roman historique montre l’homme Hitler, dans sa complexité, dans sa duplicité et dans ses frustrations sexuelles dont la violence et la volonté inextinguible de pouvoir furent l’exutoire. Etrange destinée que celle de Unity Walkyrie Mitford qui, sincère dans son adulation nazie, ne connut que la fin pitoyable d’une groupie qui a raté sa sortie.
L'accession au pouvoir d'un petit bourgeois clochardisé que rien, apparemment, ne pouvait prédestiner à devenir le dictateur que l'on sait. L'auteur s'intéresse au climat politique et social de la République de Weimar, aux mouvements d'opposition, au rôle du PC et des partis catholiques, libéraux, démocrates qui, tous, capitulèrent devant Hitler.
Deux grands noms de l'histoire de l'Allemagne contemporaine dressent une biographie renouvelée du personnage le plus fantasmé du XXe siècle. D'où venait Hitler, quel était son véritable buit et l'a-t-il atteint ? Plus qu'un portrait, c'est un parcours, entre échecs personnels et succès politiques, entre folles obsessions et pragmatisme froid, que retracent Johann Chapoutot et Christian Ingrao. L'une de ses prophéties était :"Il n'y aura plus jamais de novembre 1918 dans l'histoire allemande" ; lui et le peuple allemand ne survivraient pas à la défaite. En déconstruisant méthodiquement le mythe – cette ambition ultime d'Hitler et de Goebbels –, le travail de l'historien peut aider à vaincre une dernière fois le nazisme : Hitler n'était pas un personnage particulièrement remarquable, et pourtant il a su séduire et convaincre ; son projet promettait le bonheur et le règne aux Allemand, et l'ampleur de ses crimes est inédite et documentée. Comment a-t-il pu entraîner toute une population aussi loin dans le meurtre et, in fine, l'autodestruction ? -- 4ème de couverture.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
« Laurence Rees, historien renommé et auteur du remarquable Auschwitz. Les nazis et la Solution finale, pose comme toujours les bonnes questions avant d'y apporter les meilleures réponses. Mêlant témoignages de contemporains, preuves et documents, son livre nous offre une vision saisissante de ces millions d'Allemands tombés sous le « charisme » d'Hitler et l'adulant. » Ian Kershaw « Une étude fascinante. » Antony Beevor
Etudie l'histoire de la réception des films de Leni Riefenstahl (1902-2003) en France pendant la Seconde Guerre mondiale.
Qu’est-ce que la croix gammée vient faire au milieu des « Parfaits » cathares ? Et pourtant… N’a-t-on pas retrouvé des roues solaires et des emblèmes à svastika dans la région pyrénéenne ? N’a-t-on pas vu un avion allemand célébrer, en traçant une croix celtique dans le ciel, le 700e anniversaire de la chute de Montségur, le 16 mars 1944 ? Et que venait faire Otto Rahn, mandaté par le « Sacré Collège » hitlérien, sur les pentes de la forteresse dévastée ? Le Graal, vase du sang pur ou pierre de la Connaissance, était-il enfoui à Montségur comme le croyaient Rosenberg et les SS ? Que Hitler ait voulu créer une nouvelle religion, cela paraît déjà à peine croyable ; mais que l’histoire enseignée dans les universités ait été considérée comme caduque pour faire place aux « mythes », tel celui d’un Graal païen, voilà qui dépasse l’imagination.
Pourquoi Hitler a-t-il ordonné l’exécution d’un violoniste engagé dans l’armée allemande ? Cinquante ans plus tard, Gal Knobel, virtuose du violon et ancien agent spécialisé dans la traque des nazis, est chargé de découvrir le secret qui provoqua la rage d’Hitler. Il lui faudra remonter le fil de l’histoire jusqu’à Rossi, un compositeur juif vénitien, mystérieusement disparu en 1630...
L'essai le plus percutant, incisif et abordable jamais écrit sur Hitler, par un historien qui fut témoin des événements. Préface de Jean Lopez. A travers ce qui est sans doute l'étude la plus originale et la plus stimulante sur Hitler, Sebastian Haffner donne à comprendre l'action d'un homme qui a su séduire et entraîner dans le meurtre de masse une des sociétés les plus modernes de son temps. Le plan de l'ouvrage est inhabituel : Vie. Réalisations. Succès. Erreurs. Fautes. Crimes. Trahison. Sept essais incisifs, surprenants, stimulants. Sept angles différents pour éclairer le phénomène Hitler. Un livre rare qui allie l'histoire populaire à la plus haute exigence intellectuelle.
Tous les jours, dans le silence de la grande cuisine, c'est la peur au ventre que Magda avale ses repas. Chaque bouchée pourrait être la dernière. La jeune femme est l'une des « goûteuses d'Hitler » dont la mission est de tester sa nourriture et de s'offrir en sacrifice en protégeant le Führer d'un empoisonnement. Peu à peu, Magda s'habitue au risque permanent. Dans l'environnement du Berghof, la luxueuse « Tanière du loup », elle pourrait presque en oublier l'horreur de la guerre. Mais, un jour, elle découvre des photos des camps de la mort et sa haine de tout ce que représente le régime nazi ne fait que grandir. Lorsqu'elle apprend qu'un complot contre Hitler est en préparation, elle décide de s'engager au côté d'un jeune et séduisant officier rebelle. Mais dans cet univers de chaos, comment oser croire en un avenir ? Ils vont devoir tout risquer pour espérer, un jour, vivre dans un monde en paix...
Que l’Allemagne ait toujours exercé sur le général de Gaulle une sorte de fascination est une chose connue. Mais ce qu’on ignore en France et ce qu’on a oublié de l’autre côté du Rhin, c’est la façon dont l’Allemagne a jugé le général de Gaulle tout au long de sa vie : - Le lieutenant-colonel d’abord, prônant dans les années 30 un corps blindé opérationnel. - Le chef de la France Libre ensuite, dirigeant de Londres la Résistance française. - L’ermite de Colombey mettant en garde de 1946 à 1958 contre une renaissance de la puissance allemande. - Le président de la Ve République enfin, cherchant à promouvoir avec l’Allemagne une politique commune après avoir conclu en 1963 avec le chancelier Adenauer un traité de réconciliation. En suivant les réactions des Allemands à l’égard du général de Gaulle, on est emporté vers des horizons nouveaux et inhabituels. Le passé devient très différent de celui qu’on nous ressasse depuis si longtemps.
Le dernier grand témoignage, inédit en français, d'un intime d'Hitler. Aristocrate, jeune officier de la Luftwaffe, Nicolaus von Below (1907-1983) entre au service d'Hitler en 1937 comme aide de camp. Investi de la confiance du Führer, il en devient un intime et l'accompagne partout, à Berlin, à Bayreuth - il partage sa loge princière pendant le festival -, au Berghof, dans son appartement à Munich, aux fêtes nazies de Nuremberg, dans tous ses quartiers généraux et jusque dans son dernier bunker, sous le jardin de la Chancellerie, en 1945. Proche parmi les proches, sa signature figure sur le testament privé d'Hitler, rédigé à la veille de son suicide. Durant ces longues années passées à son service, von Below a tout noté des agissements, des rencontres, des discours, des commandements, des prédictions, enfin du comportement d'Hitler. Ses souvenirs constituent une source historique majeure sur l'histoire du IIIe Reich, de sa montée en puissance jusqu'à sa chute ainsi, et surtout, que sur la personnalité énigmatique de son chef.
Dans cet ouvrage, Max Weinreich s'attache à montrer que "la science allemande a fourni les idées et les techniques qui ont conduit à un massacre sans précédent et l'ont justifié" (Hannah Arendt, Commentary). Et ceci non seulement à partir de la prise du pouvoir de Hitler en 1933, sous la férule d'un régime autoritaire, mais dès les années 20, par la manipulation idéologique des discours érudits des différentes disciplines. Le livre se partage en deux parties, la première qui traite de la "plannification et de la préparation", et qui va jusqu'à la guerre, la seconde qui s'intitule "expérimentation à grande échelle". C'est dire que Weinreich relie directement le soubassement théorique élaboré par l'élite intellectuelle allemande et la mise en ouvre pratique de l'extermination à l'échelle européenne. L'étude montre tout d'abord comment le régime nazi a travaillé sans relâche à la conquête des universités et des universitaires, établissant de nombreux instituts scientifiques ad hoc, afin de fonder, mener et justifier sa " solution de la question juive ". Bien avant que certains de ces instituts deviennent des officines du ministère de la Propagande...
La plupart des biographies et études sur Hitler passent sous silence un aspect fondamental de sa personnalité : sa fascination pour l'occulte, les sociétés secrètes et le paranormal. Pour la première fois, la vie d'Adolf Hitler est ici racontée du point de vue de cette passion. Nous le découvrons, jeune artiste à Vienne et membre d'un ordre néo-templier qui prêche la violence, la haine de l'Église et des Juifs. Après la guerre de 1914-1918, ancien combattant, il rencontre un journaliste adepte du satanisme qui deviendra son mentor et un théoricien du national-socialisme. Il découvre la mystérieuse société de Thulé, païenne et raciste, qui prône l'éradication des Juifs et des Gitans, et qui veut dominer le monde par la connaissance des grands secrets de l'histoire. Son symbole, la croix de Wotan, préfigure la croix gammée. Les maîtres de Thulé vont manipuler Hitler, jeune homme déséquilibré et marginal pour servir leurs ambitions. Ils organisent des cérémonies magiques où il devient l'orateur-clé. Poussé par son cercle d'illuminés, nourri de magie et d'astrologie, Hitler devient une figure publique à travers le Parti national-socialiste. Après...
Les passions déchaînées par le fondateur et naufrageur du IIIe Reich ne sont pas en voie d'extinction. Bien au contraire, elles sont très régulièrement entretenues par les manipulateurs des mass-média, assurés d'une large audience à l'évocation des crimes bien réels du chef d'Etat, des erreurs réelles ou supposées du stratège, et mieux encore en prêtant à l'homme les tares les plus ridicules, les vices les plus odieux. Le présent ouvrage ne prétend pas alimenter cet océan de littérature si utile et parfois fort divertissante. Il a pour buts d'étudier aussi objectivement que possible la carrière politique et l'évolution psychologique du personnage, sa santé physique et mentale aux différentes époques de sa vie, ses relations avec les médecins et les chirurgiens qui l'ont soigné, ses conceptions en matière d'hygiène et de santé publique et les décisions voire les crimes qui en ont résulté. Tome 1 : L'essor : Sont présentées les trente-quatre premières années de la vie d'Adolf Hitler, notamment ses années d'enfance et d'adolescence qui ont permis à une foule de psychanalystes et de littérateurs d'exercer leur verve de façon plus souvent...
Et si un inconnu offre de t'accorder ce que tu désires le plus ? C'est ce qui est arrivé à Erik Hanussen, l'astrologue de Hitler. Peu de personnes intervinrent autant dans la vie d'Adolf Hitler que le mystérieux Erik Hanussen considéré, durant de nombreuses années, comme le plus grand voyant de Berlin et conseiller personnel du Dictateur. Deux personnalités ambitieuses qui s'utilisèrent mutuellement pour obtenir ce qu'ils désiraient le plus. Mais... tout a un prix... Hanussen aida Hitler dans sa fulgurante ascension au pouvoir ; cependant, il ne fut pas capable de contrôler les conséquences d'une descendance avec les mêmes gènes que le Führer. A partir de la mystérieuse histoire d'Erik Hanussen, astrologue, voyant, mage et ami personnel d'Adolf Hitler, L'héritage - La fille de Hitler est l'histoire fascinante d'une saga familiale dans une atmosphère fantastique, un récit autour de personnages poursuivis par un passé qui déterminera leurs tragiques destins.
Hitler, qui n'avait reçu aucune instruction militaire et s'était formé seul à la tactique et à la stratégie, avait, de l'avis du haut commandement allemand, des intuitions géniales. De fait, son bilan est impressionnant. La guerre éclair combinant l'emploi massif des blindés et de l'aviation qui fait ses preuves en Pologne, en Belgique, en Hollande et, plus spectaculairement encore, en France, c'est lui. La rapidité d'exécution des Allemands, telle que l'armée française est anéantie en trois semaines, lui encore. Jusqu'en 1943, le Führer accumule les succès, fixant les directives générales d'opérations majeures que sont l'invasion des Balkans, de l'Afrique du Nord, de l'Union soviétique. La chute de Stalingrad en février 1943 marque le début des revers. L'Allemagne confrontée à la triple coalition des Américains, des Anglais et des Russes n'a pas les moyens de lutter sur tous les fronts. Il n'en demeure pas moins que Hitler restera à la tête des opérations et imposera envers et contre tout sa volonté de puissance, entraînant l'Allemagne dans la catastrophe finale.