Petite tortue
Auteure: Abigail Padgett
Nombre de pages: 400Acto, dont le prénom signifie Petite tortue, est un bébé de huit mois d'origine maya. Il a survécu de justesse à un empoisonnement.
Acto, dont le prénom signifie Petite tortue, est un bébé de huit mois d'origine maya. Il a survécu de justesse à un empoisonnement.
Samantha Franer, âgée de trois ans, meurt de blessures internes consécutives à un viol. Sur son ventre, a été peint un curieux visage qui semble fait de brins de paille. Cet indice accuse apparemment Paul Massieu, le beau-père de l'enfant, qui appartient à une ténébreuse secte. De là à crier au satanisme, il n'y a qu'un pas. Mais Bo Bradley, du service de protection de l'enfance de San Diego, n'est pas de cet avis. Elle ne croit pas à la culpabilité de Massieu. Elle se jure de découvrir l'identité du monstre et de l'empêcher de nuire. Cette quête de la vérité va mettre en péril son équilibre et sa vie... Abigail Padgett poursuit le récit des enquêtes de Bo Bradley, l'héroïne fragile et attachante de L'Enfant du silence.
Un enfant de quatre ans, de race blanche, a été retrouvé sur la réserve indienne des Barona, dans une bâtisse inhabitée, à cinq heures trente du matin. Il était attaché à un matelas par une corde à linge. Bo Bradley, du service de protection de l'enfant, a été chargée de son dossier. Pourquoi était-il attaché, et la personne qui l'a mis là avait-elle l'intention de revenir ? Bo découvre que l'enfant est sourd, et s'attache à lui. Mais, bientôt, des tueurs surgissent à l'hôpital où est soigné le rescapé et cherchent à le tuer. Bo engage alors une course contre la montre pour découvrir quelle malédiction pèse sur l'enfant et essayer de le sauver. Abigail Padgett, dont c'est le premier roman, est avocate pour les personnes mentalement dérangées et milite pour la préservation du désert et des cultures des natifs américains.
Bo Bradley se remet de la déprime consécutive à la mort de sa petite chienne lorsqu'un patient est assassiné dans la maison de convalescence, située en plein désert californien, où elle reprend goût à la vie.
Bo Bradley, du service de protection de l'enfance, va tenter de sortir de son cauchemar la petite-fille d'un fabricant de poupées.
Il a les cheveux noirs et la peau brune. Acito, dont le prénom signifie " Petite tortue ", est un bébé de huit mois d'origine maya. Il a survécu de justesse à un empoisonnement. Les analyses révèlent que l'agent toxique est une plante tropicale aussi rare que mortelle. Pour le docteur Andrew Lamarche, il ne peut s'agir d'un accident. Ce qui semble mettre hors de cause la famille dans laquelle l'enfant était gardé, mais jette le soupçon sur sa mère, une chanteuse nommée Chac : elle venait de rendre visite à son fils avant qu'il ne tombe malade. Chargée d'effectuer l'enquête préliminaire pour le compte du service de protection de l'enfance de SanDiego, Bo Bradley va rencontrer Chac à Tijuana, mais c'est une route semée d'embûches qui l'attend, jusqu'à la vérité. Dans cette cinquième enquête de Bob Bradley, on retrouve le ton familier d'Abigail Padgett, mélange d'humour acerbe et d'empathie pour des êtres aux prises avec des situations tragiques. L'œuvre de Padgett a été saluée pour son originalité dans le monde du roman noir féminin.
Le portrait psychologique d'une femme d'exception, la " juive intelligente " de Raymond Chandler dans Le Grand Sommeil, à travers son histoire familiale de judéo-américaine et son lien, aussi unique que douloureux, avec sa sœur jumelle. Des ghettos d'Europe de l'Est au Los Angeles des années vingt, de la grande dépression à la Seconde Guerre mondiale, de l'âge d'or hollywoodien à l'essor du mouvement sioniste, l'histoire pleine de charme, d'humour et de nostalgie d'une famille juive aux prises avec les belles promesses du rêve américain. Cela fait plus de soixante ans que la sœur jumelle d'Elaine Greenstein, brillante avocate, s'est enfuie, coupant les ponts avec sa famille pour toujours. Aussi, quand à la veille de prendre sa retraite, Elaine apprend que Barbara est encore en vie, le choc est terrible. Les souvenirs affleurent : l'épopée de leur mère et de leur grand-père, venus de Roumanie et d'Ukraine sans un sou en poche ; le quartier de leur enfance, Boyle Heights, véritable shtetl reconstitué pour des milliers de réfugiés juifs ; le syndicalisme militant de la cousine Mollie, de toutes les grèves ouvrières ; et Danny, le premier amour... Pourquoi...
« Les bons polars sont américains », « C’est du roman de gare », « Le polar, c’est du sexe et du crime », « Le thriller, c’est du polar en plus sanglant », « Le héros trouve toujours le criminel à la fin de l’histoire »... Le polar tout le monde sait ce que c’est. Tout le monde en a lu, en a vu. Le polar, on l’aime ou on le méprise. On est accro, ou écoeuré... et les lieux communs abondent : «sous »-genre, palpitant, provoquant, mais pas sérieux ! C’est oublier que certains auteurs de « polar » figurent parmi les plus grands noms de la littérature...
André Meynard développe comment, bien au-delà de la seule vocalisation, nous venons au monde grâce à la rencontre avec un tissu langagier désirant, multimodal, qui nous préexiste. Un tel tissu, avec ses divers brins sonores, gestuels, tactiles et visuels, oriente souvent étrangement le cours de notre vie. À partir de quelques traces de son propre roman familial, il évoque ainsi les voies singulières qui ont rendu possible sa rencontre avec les Sourds, ceux donc qui parlent avec les mains et entendent avec les yeux. Prendre langue avec de tels sujets, trop vite qualifiés de handicapés de la parole, n’est en effet pas si simple. À l’épreuve de cette rencontre qui dérange et met en tension nos repères coutumiers, l’auteur s’est notamment attaché à entendre ce que les enfants Sourds transmettent, à travers ces langues gestuelles animées de ces lueurs du pulsionnel qui seules nous humanisent... Dans ce travail référencé, il s’appuie sur sa pratique analytique et sur de nombreuses œuvres artistiques qui se révèlent attentives à ces modalités gestuelles langagières d’ordinaire si négligées, pour montrer que nous pouvons être enseignés par...
Le célèbre avocat J. Radcliffe Stonewiler vient de tirer Dortmunder d'un mauvais pas. Mais, comme le fait judicieusement observer May, sa fidèle compagne : «qu'est-ce que ça va te coûter ? » C'est alors que Dortmunder se souvient de ce petit bristol que l'avocat lui a glissé dans les mains à la fin de l'audience. La carte d'un certain Arnold Chauncey qu'il était censé appeler. De toute façon, pas le temps de se poser des questions ; le téléphone sonne, Stonewiler est au bout du fil, Chauncey attend la visite de Dortmunder. Pourquoi au fait ? Pour commettre un vol, bien sûr. Mais un vol bidon, et pour cela, il faut un voleur honnête. Dortmunder a le profil. C'est le reste qui ne suit pas. Personne n'est parfait. Rivages poursuit la réédition de l'oeuvre de Westlake dans des traductions revues et complétées, qui rendent justice à l'humour et au style du créateur de Dortmunder.
Dictionnaire des littératures policières à vocation encyclopédique proposant aussi bien des articles sur les thèmes caractéristiques du genre policier que sur les collections, les magazines, les auteurs (notices biobibliographiques), les personnages, etc.
Propose de très nombreuses études sur les thèmes caractéristiques du genre policier, mais aussi sur les collections et les auteurs sous forme d'un dictionnaire biobibliographique.
Ernesto Valdés, un journaliste vedette de la presse à scandale, a été assassiné. Les suspects sont légion car nombreux sont ceux dont Valdés n'a pas hésité à ruiner la carrière pour servir la sienne... Cette quatrième aventure du tandem barcelonais tient toutes ses promesses.
Où l'on retrouve les héros créés en 1971, Luj, un petit truand combinard, traîne-savate et d'une grande lucidité à l'égard de la société et la Cloducque, dont on ne sait si c'est un homme ou une femme, il (ou elle) hésitant sans fin entre les lavabos pour hommes et dames. Un livre dingue qui franchit les limites de la bienséance et dynamite les structures romanesques. Un classique de l'absurde.
A Viâtre, petite ville au bord du Rhône, les morts de personnes marginales se succèdent de manière inquiétante. Mais la police n'intervient pas tant que les meurtriers ne s'attaquent qu'aux clochards. Alors ceux qui font partie de ce monde tentent, par solidarité et peût-être aussi par crainte, de mener l'enquête...
La multiplication des "reines du crime" dans la littérature policière est troublante. Sommes-nous en face d'un phénomène qui dessinerait une image du féminin avec une cruauté spécifique, différente de cette pulsion de cruauté liée par Freud à la sexualité masculine dans sa conquête amoureuse ? Ces textes ici réunis tentent de dégager une image originale et spécifique de la cruauté féminine.
Geoffrey Martin, ce n'est pas son vrai nom. Sauf qu'il y a huit ans, quand sa voiture a percuté un arbre et qu'il a repris conscience, c'est celui qui figurait sur ses papiers. De faux papiers, d'après la police. Mais personne n'a pu en savoir plus car il a laissé sa mémoire dans l'accident. " Geoffrey " a donc commencé une nouvelle vie. Il a même rencontré le grand amour avec Josepha. Pourtant, il est hanté par un cauchemar récurrent et inexplicable : un œil détaché de son orbite vient rouler dans le caniveau et se perdre dans les égouts. Et puis, une nuit, c'est la réalité qui devient cauchemar quand i apprend que Josepha s'est suicidée. Il n'y croit pas, le lieutenant Lancelot non plus. Qui était Geoffrey Martin dans sa première vie ? Quel secret si lourd cachait-il, au point d'avoir effacé ses souvenirs ? Remarqué pour son premier roman Braquages, Christian Roux entraîne son lecteur dans un jeu de perpétuels rebondissements où le suspense fait sans cesse écho au tragique.
Leila, dix-neuf ans, prépare le bac et fait de petits boulots, c'est comme cela qu'elle est amenée à rencontrer Viviane et son compagnon Martin qui vivent à Bois-Brûlé, en lisière de la forêt d'Argonne, pour garder leur fils. Surgit Victor, un homme marqué de cicatrices de 14-18 qui a vécu dans cette maison, et il ne sait pas qu'il va réveiller un drame passé et en provoquer un autre. Inédit.
Shuggie Atkins, un adolescent de treize ans, obèse et solitaire, est le petit coeur de sa mère. Son père le pousse à voler des drogues, il accepte de le faire par amour pour sa mère, qui ne cesse de le provoquer sexuellement. Un jour, Jimmy Vin Pearce fait son apparition, le coeur de Glenda chancelle. Shuggie se révolte car il ne veut pas perdre cet amour exclusif et tue à jamais le petit coeur.
Aussi romantique que Jane Austen, aussi sombre que Charlotte Brontë. Jeune femme sensée, Abigail Foster s’inquiète pour l’avenir de sa famille depuis qu’elle est ruinée jusqu’à ce qu’un étrange notaire leur propose d’emménager dans un grand manoir, Pembrooke Park, abandonné depuis dix-huit ans. Son père et elle s’y rendent et sont accueillis par le charmant vicaire, William Chapman, qui leur apprend que, selon des rumeurs, une pièce secrète renfermerait un trésor... Aux prises entre de vieux amis et de nouveaux ennemis, Abigail ignore la nature des dangers auxquels elle devra faire face avant de lever le voile sur ces mystères et de trouver l’amour qu’elle recherche depuis toujours... « Un régal pour les amateurs de romances historiques qui font la part belle aux mystères. » - Booklist « Le style de Julie Klassen séduira tous les lecteurs en quête d’une romance historique captivante. » - RT Book Review
L'édition numérique de la revue d'avant-garde Change dans un fichier PDF (fac-similé) de 8482 pages permettant une recherche par terme au sein des 42 numéros. Construit autour d'un groupe initial constitué de Jean Pierre Faye, Maurice Roche et Jacques Roubaud, le collectif Change aura compté parmi ses membres réguliers Philippe Boyer, Yves Buin, Jean-Claude Montel, Jean Paris, Léon Robel et Mitsou Ronat, et n'aura eu de cesse d'élargir le cercle pour ouvrir le dialogue avec d'autres revues du monde entier dans un « set international ». Parce que « la langue, en se changeant, change les choses », le projet est de faire voir ce change – le battement de l'entrelangues. Et d'ouvrir un champ exploratoire sans bornes où se côtoient poésie et mathématique, roman et linguistique, théorie littéraire et recherche psychiatrique, critique générative et rire rabelaisien. On peut ainsi lire un numéro sur le montage placé sous le signe d'Eisenstein, un autre consacré à la poésie orale en collaboration avec Polyphonix, des analyses sur l'oppression politique, Mel Bochner sur Malevitch, Roubaud sur le Shinkokinshu, deux numéros consacrés à la théorie de la...
Magdalena a quitté le Venezuela pour Madrid, elle est devenue une enquêtrice réputée, tout va bien pour elle, à l’exception d’un amant envahissant et indiscret. On lui propose une nouvelle affaire : un homme politique madrilène lui demande de retrouver sa fille et de la lui ramener, elle aurait été enlevée et retenue à Caracas. Magdalena est sûre de ses compétences et elle a une arme secrète : des dons que lui a accordés María Lionza, la déesse guerrière vénézuélienne, bref elle est un peu sorcière et a des intuitions salvatrices. Mais rien ne va se passer comme prévu, sa magie est intermittente et Caracas, la ville la plus dangereuse du monde, a beaucoup changé. De surprise en surprise, nous allons nous plonger dans une ville en crise et être confrontés à sa faune dangereuse. Un thriller palpitant avec une détective unique en son genre.
Incapable de supporter plus longtemps la liaison que son mari entretient avec une femme plus jeune qu'elle, Mia quitte brusquement New York pour se rendre dans le Minnesota et se réfugier quelque temps auprès de sa mère octogénaire. Parcours d'une femme blessée en forme de "lecture de soi" et d'inattendue épiphanie personnelle, ce roman solaire – féministe au meilleur sens du terme – irradie d'une énergie aussi rebelle que stimulante.
"La mort, l’amour, la vie, telle aurait pu être la devise de celle qui adorait la poésie d’Éluard. D’autant que la mort, contrairement à la plupart des poètes qui ne font que l’effleurer, Alicia Gallienne l’a tutoyée en son adolescence, jusqu’à l’affronter l’année de ses vingt ans, au petit matin du 24 décembre 1990. Ses poèmes sont ceux d’une irradiante jeune fille de dix-sept, dix-huit et dix-neuf ans, d’une jeune femme secrète qui aura vécu intensément un destin de comète. Pareil à ces étoiles qui brûlent à des années-lumière, et dont il nous reste le mystérieux souvenir, voici l’écho bouleversant de ses vives ténèbres et de ses fulgurances." Sophie Nauleau.
Dans ce « journal », qui s'étale sur 30 ans, Roubaud se livre à des essais de traductions de textes écrits par, entre autres, Gertrude Stein, Arnaut Daniel, Charles Reznikoff, Dante, Jack Spicer... Une pratique indissociable de son activité de poète.
On passe lentement un col et au bout de la route, dans la forêt, c'est là. La maison de la grand-mère de Mai, une vieille dame d'origine anglaise menant une vie solide et calme au milieu des érables et des bambous. Mai qui ne veut plus retourner en classe, oppressée par l'angoisse, a été envoyée auprès d'elle pour se reposer. Cette grand-mère un peu sorcière va lui transmettre les secrets des plantes qui guérissent et les gestes bien ordonnés qui permettent de conjurer les émotions qui nous étreignent. Cueillir des fraises des bois et en faire une confiture d'un rouge cramoisi, presque noir. Prendre soin des plantes du potager et aussi des fleurs sauvages simplement parce que leur existence resplendit. Ecouter sa voix intérieure.Ce n'est pas le paradis, même si la lumière y est si limpide, car la mort habite la vie et, en nous, se débattent les ombres de la colère, du dégoût, de la tristesse. Mais auprès de sa grand-mère, Mai apprendra à faire confiance aux forces de la vie, et aussi aux petits miracles tout simples qui nous guident vers la lumière.Ce livre qui prend sa source dans les souvenirs d'enfance de l'écrivaine coule en nous comme une eau...