Finistériens de marque (1)
Auteure: Yves Gestin
Nombre de pages: 188Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Tout commence un soir d'automne, lorsque Lenaïg de Kerdonkuff, fille du vicomte Goulven, franchit le seuil du penty de Gwenn Rosmadec et lui demande d’écrire les mémoires de son père à l’époque où celui-ci gérait d’une main de fer le palais d’un maharadjah en Inde. Évidemment, Gwenn s’empresse d’accepter le travail ! Mais la demande de Lenaïg n’est pas sans arrière-pensées... il semble y avoir beaucoup d’argent en jeu derrière ce simulacre d’album-souvenir, et Gwenn ne sera pas longtemps dupe. Au cœur de l’énigme, trône en effet une statuette en jade d’une valeur inestimable... Quel mystère cache donc cette statuette de Bouddha qui met le pays bigouden sens dessus dessous ? Qui est ce bandit, ce malfaisant dacoït indien qui utilise les moyens les plus perfides pour se l'approprier ? Une fois n’est pas coutume, Gwenn et sa jolie Soazic vont en voir de toutes les couleurs !
Au lendemain de la guerre, le progrès qui semblait ne jamais devoir s'arrêter s'accompagna d'une lente mais considérable amélioration de l'habitat : à la pénurie de logements succéda la prolifération des grands ensembles ; à l'habitat collectif, la propriété individuelle. Mais la crise a stoppé cet élan au milieu des années soixante-dix. Dès lors, le nombre des " exclus " s'est élevé tandis que les classes moyennes ont décliné. L'étude de Christian Bachmann et Nicole Le Guennec sur " la politique de la ville " retrace les combats de ces cinquante années, des squatters de 1946 aux luttes contre la rénovation des centres-villes et le mai 68 urbain, en passant par les castors de 1950, l'abbé Pierre et l'hiver 1954. Sans oublier, bien sûr, les combats actuels pour l'environnement et les émeutes des banlieues. Avec les nouveaux squatters des années 90, assistons-nous au retour à la case départ ? Sommes-nous condamnés à toujours plus de violences urbaines ? Les questions que pose ce brillant essai sont angoissantes et cruciales, le constat qu'il dresse implacable : sans une profonde réarticulation de l'action politique et sociale, nos lendemains urbains ne ...
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Un pirate informatique sévit dans le pays bigouden et rançonne ses victimes. La gendarmerie de Pont l’Abbé s’efforce de traquer ce criminel mais sans succès. Jusqu’au jour où celui-ci commet l’erreur de pirater le compte en banque de Soazic Rosmadec. Gwenn, son mari et Jeannot informaticien et ancien de la DGSE, vont le traquer sans relâche avec leurs moyens, et découvrir un ennemi hargneux prêt à assassiner ceux qui se mettent en travers de sa route. Leur quête va les mener sur les routes de Bretagne et les vallées perdues d’Irlande. Déterminés à en venir à bout, ils le traqueront jusqu’au bout. Ce hacker qui se croyait si malin n’aurait jamais dû s’en prendre aux Rosmadec !
L’ouvrage : « Il y a toujours eu deux sortes de Bretons : ceux qui, une fois pour toutes et quelles que soient les difficultés de l’époque, décident de vivre au pays - et lui demandent l’essentiel de leur vie terrestre et céleste - et ceux qui, par mer ou par terre, veulent aller à la découverte du monde. » Armel Calvé a fort bien étudié les motivations et les rêves de ceux qui sont montés à Paris. Son récit suit la trace des Bretons et de leurs activités depuis les rues de Lutèce dans le plus lointain passé de la ville pour, à travers les époques, s’achever au début des années 80 dans le Paris capitale française et plus grande ville bretonne.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.